"22 dossiers de violence ont été traités en 15 jours par le Référent chargé des violences à Bastia. "
C'est à la suite de cette triste réalité que l'association " Femmes Solidaires" a appelé à un rassemblement de protestation et de recueillement ce jeudi 7 mars.
L'appel a bel et bien été entendu puisque des dizaines de personne mais aussi des personnalités politiques étaient présentes devant le fameux "Banc Rouge ", "couleur du sang des victimes de violence", pour dire stop aux violences faites aux femmes qui ne cessent de s'amplifier ces dernières semaines avec en point d'orgue l'assassinat de Julie Douib, dimanche 3 février à L'Ile-Rousse, par son ex-compagnon.
C'est Rosie Sarrola, Présidente de l'association, qui a pris la parole aux côtés des nombreux élus, dont Jean-Guy Talamoni Président de l’Assemblée de Corse et de Pierre Savelli, maire de Bastia, pour montrer son incompréhension : "On a enregistré des progrès depuis des années, on a une augmentation des dépôts de plainte, on a obtenu des lois afin de lutter contre cette violence, alors comment est-ce possible qu'on dénombre déjà 30 féminicides, en France, depuis le mois de janvier ?"
Pour faire face à ce fléau elle a énuméré une liste de propositions qui sera remise à Marlène Schiappa, Secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre la discrimination, qu'elle définit comme "la liste de proposition de la population corse ".
Parmi les mesures citées on note des mesures visant "l'éducation non violente et sexiste dès le plus jeune âge", "une formation plus développée de la police, de la justice, et des enseignants sur la question des violences conjugales", et elle a demandé par dessus tout "une réelle application de la loi".
Pour clôturer ce rassemblement elle a également rappelé que "la détermination finit toujours par payer, et que la peur doit changer de camp".
C'est à la suite de cette triste réalité que l'association " Femmes Solidaires" a appelé à un rassemblement de protestation et de recueillement ce jeudi 7 mars.
L'appel a bel et bien été entendu puisque des dizaines de personne mais aussi des personnalités politiques étaient présentes devant le fameux "Banc Rouge ", "couleur du sang des victimes de violence", pour dire stop aux violences faites aux femmes qui ne cessent de s'amplifier ces dernières semaines avec en point d'orgue l'assassinat de Julie Douib, dimanche 3 février à L'Ile-Rousse, par son ex-compagnon.
C'est Rosie Sarrola, Présidente de l'association, qui a pris la parole aux côtés des nombreux élus, dont Jean-Guy Talamoni Président de l’Assemblée de Corse et de Pierre Savelli, maire de Bastia, pour montrer son incompréhension : "On a enregistré des progrès depuis des années, on a une augmentation des dépôts de plainte, on a obtenu des lois afin de lutter contre cette violence, alors comment est-ce possible qu'on dénombre déjà 30 féminicides, en France, depuis le mois de janvier ?"
Pour faire face à ce fléau elle a énuméré une liste de propositions qui sera remise à Marlène Schiappa, Secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre la discrimination, qu'elle définit comme "la liste de proposition de la population corse ".
Parmi les mesures citées on note des mesures visant "l'éducation non violente et sexiste dès le plus jeune âge", "une formation plus développée de la police, de la justice, et des enseignants sur la question des violences conjugales", et elle a demandé par dessus tout "une réelle application de la loi".
Pour clôturer ce rassemblement elle a également rappelé que "la détermination finit toujours par payer, et que la peur doit changer de camp".
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