En mai dernier, le ministre de l'Education nationale, Jean-Michel Blanquer déclarait lors d'un débat au Sénat "On doit favoriser les langues régionales, mais on ne doit pas passer de l'autre côté du cheval (...), c'est-à-dire les favoriser à tel point qu'à la fin on ne parle plus français à l'école."
A la suite de ces propos, la classe politique corse s'est indignée si bien que François Alfonsi, député européen et Paul Molac, député du Morbihan, ont créé un collectif dont le but est de valoriser et encourager l’enseignement des langues régionales à l’école, « Pour que vivent nos langues ».
Le 30 novembre prochain, ils seront à Paris aux côtés de 37 associations et de parlementaires de différentes régions de France pour une grande manifestation de soutien aux langues régionales.
L'euro-député corse explique d'ailleurs qu’" Il y a danger, pour le peu qui existe en matière d'enseignement des langues régionales. On souhaite que se réouvre une perspective d'avenir pour nos langues’, notamment avec l'enseignement par immersion, la forme la plus adaptée pour espérer transmettre le corse aux jeunes."
François Alfonsi explique les motifs de ce déplacement en vidéo.
A la suite de ces propos, la classe politique corse s'est indignée si bien que François Alfonsi, député européen et Paul Molac, député du Morbihan, ont créé un collectif dont le but est de valoriser et encourager l’enseignement des langues régionales à l’école, « Pour que vivent nos langues ».
Le 30 novembre prochain, ils seront à Paris aux côtés de 37 associations et de parlementaires de différentes régions de France pour une grande manifestation de soutien aux langues régionales.
L'euro-député corse explique d'ailleurs qu’" Il y a danger, pour le peu qui existe en matière d'enseignement des langues régionales. On souhaite que se réouvre une perspective d'avenir pour nos langues’, notamment avec l'enseignement par immersion, la forme la plus adaptée pour espérer transmettre le corse aux jeunes."
François Alfonsi explique les motifs de ce déplacement en vidéo.