En présence de nombreux civils, calvais et touristes, la cérémonie était présidée par le lieutenant-colonel Hubert Favrot, commandant en second le 2e REP. En présence des autorités civiles et militaires c'est Marc Cadot, président de l'amicale du 1er bataillon de choc, rappelait lors de son élocution, cet épisode de l'histoire de la Corse.
Une première gerbe a été déposée au pied de la stèle par Ange Santini le maire de Calvi. Suivi dans un second temps par Jérôme Seguy, sous préfet de Calvi et de la Conca d'oru, du lieutenant-colonnel Hubert Favrot, commandant en second du 2e REP et du capitaine Hervé Pascal, commandant en second de de la compagnie de gendarmerie de calvi.
Puis, Marc cadot président de l'amicale du 1er bataillon de choc, Claude Decenink président des anciens combattants de Calvi et le lieutenant-colonel Pierre Neville, ancien du bataillon de choc âgé de 94 ans clôturaient ce dépôt de gerbe.
*Le bataillon de choc est un soutien à la résistance française. C'est unité d'élite de l'Armée française formée en mai 1943 en Algérie. Les hommes, volontaires, sont entraînés au parachutisme et aux méthodes commandos.
Le bataillon sera dissout à la fin de l'année 1963.
Une première gerbe a été déposée au pied de la stèle par Ange Santini le maire de Calvi. Suivi dans un second temps par Jérôme Seguy, sous préfet de Calvi et de la Conca d'oru, du lieutenant-colonnel Hubert Favrot, commandant en second du 2e REP et du capitaine Hervé Pascal, commandant en second de de la compagnie de gendarmerie de calvi.
Puis, Marc cadot président de l'amicale du 1er bataillon de choc, Claude Decenink président des anciens combattants de Calvi et le lieutenant-colonel Pierre Neville, ancien du bataillon de choc âgé de 94 ans clôturaient ce dépôt de gerbe.
*Le bataillon de choc est un soutien à la résistance française. C'est unité d'élite de l'Armée française formée en mai 1943 en Algérie. Les hommes, volontaires, sont entraînés au parachutisme et aux méthodes commandos.
Le bataillon sera dissout à la fin de l'année 1963.