Cioni (ligaments croisés), Landreau (déchirure musculaire), Boudebouz (orteil) feront défaut mardi soir au Sporting qui met son calendrier à jour à Toulouse face au TFC.
Un match qui peut propulser, en cas de victoire, l'équipe de Frédéric Hantz parmi les 10 meilleures de la compétition.
Mais, on l'a vu l'autre jour à Marseille, il y a encore loin de la coupe aux lèvres.
Le Sporting de l'extérieur n'est inexpliquablement pas celui de Furiani.
Un Sporting qui ne sait plus loin d'Armand-Cesari se révolter lorsque les choses ne "tournent plus rond" comme il avait été capable de le faire, ne serait-ce qu'à Saint-Etienne et même à Monaco.
Lundi matin en conférence d'avant match Frédéric Hantz rappelait que le récent revers marseillais avait constitué une "épreuve terrible pour tout le monde : les joueurs, le staff, les dirigeants, les supporters".
"Nous avons tous passé un mauvais dimanche" ajoutait-il en faisant parallèlement état de "l'énorme déception" que le 3 à 0 avait engendré.
Mais pour Hantz, qui croit au top 10, c'est fatal "il y aura une réaction" à Toulouse.
"J'en suis convaincu, car la majorité des joueurs que j'ai choisis sont dans la souffrance de puis notre match de Marseille. Ce que nous avons fait est très insatisfaisants mais aujourd'hui il faut nous projeter sur le match suivant."
Et le suivant, c'est Toulouse.
Toulouse où il s'agira de pas se rater davantage car on aura beau dire et répéter que le Sporting a le 19e budget de Ligue 1 et qu'il joue le maintien - c'est une réalité - on admettrait cependant très mal que pour la seconde fois consécutive le Sporting s'incline sans lutter comme il vient de le faire à Marseille !
Le groupe du Sporting :
Leca, Samuel, Squillaci, Modesto, Diakité, Harek, Achili, Palmieri, Cahuzac, Yatabaré, Sablé, Romaric, Krasic, Ba, Khazri, Ilan, Bruno, Cissé
Un match qui peut propulser, en cas de victoire, l'équipe de Frédéric Hantz parmi les 10 meilleures de la compétition.
Mais, on l'a vu l'autre jour à Marseille, il y a encore loin de la coupe aux lèvres.
Le Sporting de l'extérieur n'est inexpliquablement pas celui de Furiani.
Un Sporting qui ne sait plus loin d'Armand-Cesari se révolter lorsque les choses ne "tournent plus rond" comme il avait été capable de le faire, ne serait-ce qu'à Saint-Etienne et même à Monaco.
Lundi matin en conférence d'avant match Frédéric Hantz rappelait que le récent revers marseillais avait constitué une "épreuve terrible pour tout le monde : les joueurs, le staff, les dirigeants, les supporters".
"Nous avons tous passé un mauvais dimanche" ajoutait-il en faisant parallèlement état de "l'énorme déception" que le 3 à 0 avait engendré.
Mais pour Hantz, qui croit au top 10, c'est fatal "il y aura une réaction" à Toulouse.
"J'en suis convaincu, car la majorité des joueurs que j'ai choisis sont dans la souffrance de puis notre match de Marseille. Ce que nous avons fait est très insatisfaisants mais aujourd'hui il faut nous projeter sur le match suivant."
Et le suivant, c'est Toulouse.
Toulouse où il s'agira de pas se rater davantage car on aura beau dire et répéter que le Sporting a le 19e budget de Ligue 1 et qu'il joue le maintien - c'est une réalité - on admettrait cependant très mal que pour la seconde fois consécutive le Sporting s'incline sans lutter comme il vient de le faire à Marseille !
Le groupe du Sporting :
Leca, Samuel, Squillaci, Modesto, Diakité, Harek, Achili, Palmieri, Cahuzac, Yatabaré, Sablé, Romaric, Krasic, Ba, Khazri, Ilan, Bruno, Cissé