Keserü et le Sporting n'ont pas tenu la distance à Monaco
Assommés, groggy, KO debout : ils étaient comme ça les bastiais en rentrant aux vestiaires à la pause.
En tout cas ils se demandaient ce qui avait bien pu leur arriver dans les dernières minutes de la première période..
Ils avaient dominé les débats jusqu'à la demi-heure de jeu. Et s'étaient créé des occasions.
Khazri avait pris sa chance. Puis avait récidivé avec le concours de Boudebouz. Keserü avait osé. Derrière le bloc du Sporting muselait, sans problème, la constallation monégasque.
Une domination ponctuée de trois corners consécutifs qui laissaient augurer de belles choses pour les "bleus" de Bastia soutenus par près d'un millier de supporters qui avaient la mer dans le courant de la matinée.
Mais François Modesto le disait encore la veille. "Face à un tel adversaire il faut se garder de la moindre erreur, elle se paye cash". Le plus monégasque des bastiais faisait certes allusion à son opposition avec Falcao. Mais ce fut Riviere, qui avait déjà pris sa chance face à un Landreau déterminant, qui le premier lui fit des misères.
Auteur d'un appel croisé, l'attaquant monégasque, mis sur orbite par Rodriguez, passait devant Modesto et se jetait pour tromper Landreau au premier poteau.
Dur pour le Sporting.
Le Sporting n'avait pas encore repris ses esprits quand Falcao décidait de frapper à son tour après une ouverture dans le dos de la défense bleu. "El Tigre" passait devant le dernier défenseur corse et, sur la droite de la surface, crucifiait Landreau d'une demi-volée en force.
Dur, dur pour le Sporting.
Et cela ne s'arrangeait pas à la reprise avec la sortie de Cahuzac, qui donnait l'occasion à Julien Sablé de disputer son 300e match de Ligue 1, puis celle de Squillaci qui contraignait Frédéric Hantz à replacer Harek dans l'axe.
Mais cela ne démontait pas Khazri qui obligeait encore une fois Subasic à sortir le grand jeu. Le Tunisien, toujours dans tous les bons coups bastiais, décochait un missile depuis l'extérieur de la surface sur la gauche. Mais Subasic s'envolait pour détourner le ballon en corner !
Mais cela n'avait pas le don de démonter la phalange monégasque qui, hormis, les banderilles posés par Khazri, puis un peu plus tard par Bruno, contenait sans trop de difficulté son adversaire.
Pire même : il enfonçait le clou. Après que Rivière se soit encore cassé les dents sur Landreau, en toute fin de partie l'inévitable Falcao envoyait au fond des filets bastiais un ballon renvoyé par Harek.
3 à 0 : c'est net mais dur pour le Sporting qui n'a pas réussi à maintenir son niveau de jeu de la première demi-heure.
Dommage.
En tout cas ils se demandaient ce qui avait bien pu leur arriver dans les dernières minutes de la première période..
Ils avaient dominé les débats jusqu'à la demi-heure de jeu. Et s'étaient créé des occasions.
Khazri avait pris sa chance. Puis avait récidivé avec le concours de Boudebouz. Keserü avait osé. Derrière le bloc du Sporting muselait, sans problème, la constallation monégasque.
Une domination ponctuée de trois corners consécutifs qui laissaient augurer de belles choses pour les "bleus" de Bastia soutenus par près d'un millier de supporters qui avaient la mer dans le courant de la matinée.
Mais François Modesto le disait encore la veille. "Face à un tel adversaire il faut se garder de la moindre erreur, elle se paye cash". Le plus monégasque des bastiais faisait certes allusion à son opposition avec Falcao. Mais ce fut Riviere, qui avait déjà pris sa chance face à un Landreau déterminant, qui le premier lui fit des misères.
Auteur d'un appel croisé, l'attaquant monégasque, mis sur orbite par Rodriguez, passait devant Modesto et se jetait pour tromper Landreau au premier poteau.
Dur pour le Sporting.
Le Sporting n'avait pas encore repris ses esprits quand Falcao décidait de frapper à son tour après une ouverture dans le dos de la défense bleu. "El Tigre" passait devant le dernier défenseur corse et, sur la droite de la surface, crucifiait Landreau d'une demi-volée en force.
Dur, dur pour le Sporting.
Et cela ne s'arrangeait pas à la reprise avec la sortie de Cahuzac, qui donnait l'occasion à Julien Sablé de disputer son 300e match de Ligue 1, puis celle de Squillaci qui contraignait Frédéric Hantz à replacer Harek dans l'axe.
Mais cela ne démontait pas Khazri qui obligeait encore une fois Subasic à sortir le grand jeu. Le Tunisien, toujours dans tous les bons coups bastiais, décochait un missile depuis l'extérieur de la surface sur la gauche. Mais Subasic s'envolait pour détourner le ballon en corner !
Mais cela n'avait pas le don de démonter la phalange monégasque qui, hormis, les banderilles posés par Khazri, puis un peu plus tard par Bruno, contenait sans trop de difficulté son adversaire.
Pire même : il enfonçait le clou. Après que Rivière se soit encore cassé les dents sur Landreau, en toute fin de partie l'inévitable Falcao envoyait au fond des filets bastiais un ballon renvoyé par Harek.
3 à 0 : c'est net mais dur pour le Sporting qui n'a pas réussi à maintenir son niveau de jeu de la première demi-heure.
Dommage.
La fiche technique
AS Monaco : 3 SCB : 0 (2-0)
Buts pour Monaco :
Rivière (39e), Falcao (41e et 89e)
Arbitre : M. Jaffredo
Avertissements : Romaric (77e) au SCB, Falcao (90+1) à Monaco
Monaco : Subasic, Raggi puis Fabinho (80e), Carvalho, Abidal, Kurzwa, Ocampos puis Carrasco (65e), Kindogbia, Joao Moutinho, James, Falaco, Rivière
SCB : Landreau, Diakité, Squillaci puis Palmieri (51e), Modesto, Harek, Cahuzac puis Sable (49e), Romaric, Khazri, Boudebouz, Krasic puis Bruno, Keserü
Buts pour Monaco :
Rivière (39e), Falcao (41e et 89e)
Arbitre : M. Jaffredo
Avertissements : Romaric (77e) au SCB, Falcao (90+1) à Monaco
Monaco : Subasic, Raggi puis Fabinho (80e), Carvalho, Abidal, Kurzwa, Ocampos puis Carrasco (65e), Kindogbia, Joao Moutinho, James, Falaco, Rivière
SCB : Landreau, Diakité, Squillaci puis Palmieri (51e), Modesto, Harek, Cahuzac puis Sable (49e), Romaric, Khazri, Boudebouz, Krasic puis Bruno, Keserü
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