Qiuelques mots ont suffi à Frédéric Hantz pour tracer, vendredi matin, la feuille de route du Sporting samedi à Furiani. "On vient de prendre une claque à Reims. On a envie de réagir."
Il est vrai que les 4 buts encaissés en Champagne ont fait mal. Mais l'entraîneur bastiais persiste. Sur ce qu'elle a démontré ces dernières semaines son équipe est en progrès. "Il n'est plus que des ajustements à faire" souligne t-il pour expliquer la défaite à Reims face "à l'une des meilleures équipes françaises du moment".
Il n'en demeure pas moins que ce revers, spectaculaire par l'ampleur du score, ne manque pas d'interpeller. Il met aussi - une fois encore serait-on tenté d'écrire - le Sporting dans l'obligation de réussir une performance à Furiani.
Et le prochain hôte du Sporting n'est autre que le Stade Rennais, l'équipe en forme du moment qui vient d'être accrochée par l'OM à domicile après avoir humilié Toulouse (5-0) au stadium. "Une équipe qui ressemble à Nice" affirme Hantz.
"J'aurais aimé affronter Rennes il y a deux mois" concédait-il.
Pour Hantz, c'est incontestable, Rennes est une "vraie équipe du top 10. Elle sera dans peu de temps dans la top 5."
Dès lors la meilleure façon d'avoir une chance de la voir mettre un genou à terre, est d'aborder ce match avec "le même état d'esprit qui avait été le nôtre face à Nice."
Le challenge, fixé, ne sera pas facile à réaliser mais…
"Le groupe a bien travaillé" a rappelé Hantz "mais pour parvenir à nos fins nous devrons être complets dans tous les compartiments du jeu, ambitieux, constants et compacts."
Bref le Sporting que l'on a vu face à Toulouse, Lorient puis face à Nice.
Furiani, c'est sûr, va lui donner des ailes. Pour, sans doute, le remettre une fois encore dans le, bon, sens de la marche.
Mais Hantz prévient .
"Les rencontres à venir vont déterminer ce que l'on pourra ambitionner de faire dans la seconde partie de la saison. J'ai rappelé à l'effectif que j'étais prêt à jouer le top 10, mais il faut quand même rappeler que je suis l'entraîneur du 19e club de la Ligue 1 pour l'importance de son budget. Reste que si la possibilité nous est donnée de jouer autre chose, nous le ferons".
Ainsi même si la moitié de l'équipe a été renouvelée, que si des joueurs ont pris le train en marche et que de ce fait tous les automatismes ne sont pas encore ce qu'ils devraient être, notre petit doigt nous dit qu'il faudra être rudement forts pour empêcher les couleurs bleu et blanches d'être brandies victorieusement à Furiani ce samedi et au cours des semaines à venir !
Le groupe du Sporting :
Landreau, Leca, Cioni, Diakité, Modesto, Squillaci, Palmieri, Romaric, Cahuzac, Sablé, Boudebouz, Keserü, Khazri, Ilan, Krasic, Ba, Raspentino, Bruno.
Le groupe de Rennes :
Costil, Ndiaye - Moreira, Armand, Danzé, Emerson, Hountondji, M'Bengue, Kana-Biyik -Alessandrini, Bakayoko, Féret, Hunou, Makoun, Konradsen, Kadir - Pitroipa, Romero, Oliveira
Il est vrai que les 4 buts encaissés en Champagne ont fait mal. Mais l'entraîneur bastiais persiste. Sur ce qu'elle a démontré ces dernières semaines son équipe est en progrès. "Il n'est plus que des ajustements à faire" souligne t-il pour expliquer la défaite à Reims face "à l'une des meilleures équipes françaises du moment".
Il n'en demeure pas moins que ce revers, spectaculaire par l'ampleur du score, ne manque pas d'interpeller. Il met aussi - une fois encore serait-on tenté d'écrire - le Sporting dans l'obligation de réussir une performance à Furiani.
Et le prochain hôte du Sporting n'est autre que le Stade Rennais, l'équipe en forme du moment qui vient d'être accrochée par l'OM à domicile après avoir humilié Toulouse (5-0) au stadium. "Une équipe qui ressemble à Nice" affirme Hantz.
"J'aurais aimé affronter Rennes il y a deux mois" concédait-il.
Pour Hantz, c'est incontestable, Rennes est une "vraie équipe du top 10. Elle sera dans peu de temps dans la top 5."
Dès lors la meilleure façon d'avoir une chance de la voir mettre un genou à terre, est d'aborder ce match avec "le même état d'esprit qui avait été le nôtre face à Nice."
Le challenge, fixé, ne sera pas facile à réaliser mais…
"Le groupe a bien travaillé" a rappelé Hantz "mais pour parvenir à nos fins nous devrons être complets dans tous les compartiments du jeu, ambitieux, constants et compacts."
Bref le Sporting que l'on a vu face à Toulouse, Lorient puis face à Nice.
Furiani, c'est sûr, va lui donner des ailes. Pour, sans doute, le remettre une fois encore dans le, bon, sens de la marche.
Mais Hantz prévient .
"Les rencontres à venir vont déterminer ce que l'on pourra ambitionner de faire dans la seconde partie de la saison. J'ai rappelé à l'effectif que j'étais prêt à jouer le top 10, mais il faut quand même rappeler que je suis l'entraîneur du 19e club de la Ligue 1 pour l'importance de son budget. Reste que si la possibilité nous est donnée de jouer autre chose, nous le ferons".
Ainsi même si la moitié de l'équipe a été renouvelée, que si des joueurs ont pris le train en marche et que de ce fait tous les automatismes ne sont pas encore ce qu'ils devraient être, notre petit doigt nous dit qu'il faudra être rudement forts pour empêcher les couleurs bleu et blanches d'être brandies victorieusement à Furiani ce samedi et au cours des semaines à venir !
Le groupe du Sporting :
Landreau, Leca, Cioni, Diakité, Modesto, Squillaci, Palmieri, Romaric, Cahuzac, Sablé, Boudebouz, Keserü, Khazri, Ilan, Krasic, Ba, Raspentino, Bruno.
Le groupe de Rennes :
Costil, Ndiaye - Moreira, Armand, Danzé, Emerson, Hountondji, M'Bengue, Kana-Biyik -Alessandrini, Bakayoko, Féret, Hunou, Makoun, Konradsen, Kadir - Pitroipa, Romero, Oliveira