Stade Vélodrome, OM : 3 SCB :0 (2-0)
Buts pour l'OM : Payet (13e et 25e), Gignac (55e)
Arbitre : M. Millot
Avertissements : Romao (17e)à l'OM, Romaric (17e), Cahuzac (35e)au Sporting
OM :
Mandanda - Fanni, N'Koulou, Mendes, Mendy - Romao, Imbula - Payet puis Djadjeje (88e) , Valbuena puis Khalifa (79e), Thauvin puis Ayew (74e) - Gignac.(Samba, Diawara, Bangoura)
SCB :
Landreau puis Leca (52e) - Cioni puis Yatabaré (21e), Squillaci, Modesto, Palmieri - Cahuzac, Romaric - Khazri, Boudebouz, Ba - Cissé puis Bruno (72e). (Harek, Krasic, Sable, Ilan)
Le public du vélodrome avait prévenu : "La victoire ou le KO."
L'OM l'a entendu. 25 minutes après le coup de sifflet final le tableau d'affichage était, déjà, nettement en sa faveur et reflétait parfaitement la domination qui était la sienne sur le terrain.
Pourtant après que Thauvin n'ait pas réussi à cadrer l'un de ses premiers ballons ce fut le Sporting, après que Cissé ait joué au déménageur face à Mendes qui alluma la première mèche par Boudebouz qui ne trouvait pas davantage le cadre malgré un ballon placé.
Ce fut tout pour les Corses au cours de cette première période.
A l'inverse l'OM maître du terrain et du jeu allait frapper, victorieusement, à deux reprises. Et deux fois par le même homme: Payet.
La première fois c'était à la 13e minute.
Thauvin provoquait Palmieri sur la droite avant de centrer fort à mi-hauteur. Modesto repoussait mais le ballon revenait directement sur Payet qui sollicitait aussitôt le une-deux avec Gignac. Le ballon lui était rendu par-dessus la défense. Sur la droite de la surface, l'international français plaçait une demi-volée qui, avec un rebond fort chanceux, parvenait à lober un Landreau qui avait anticipé la frappe rasante !
Et une seconde fois douze minutes plus tard. A la faveur d'un contre rondement mené par Valbuena. Mendy prolongeait et trouvait Payet sur sa droite.
Seul devant la défense bastiaise figée l'ancien nantais avait le temps de contrôler, de choisir l'endroit où il allait placer le ballon puis le mettre en pleine lucarne !
Et 2 à 0 pour l'OM face à un SC Bastia inquiétant qui aurait pu prendre l'eau avant la pause si Gignac s'était montré aussi adroit que son coéquipier un peu plus tôt. Mais sur le coup le gardien bastiais veillait au grain.
A la pause on pouvait justement craindre le pire pour le Sporting.
Le pire ?
Ce fut la blessure de Landreau.
Et presque aussitôt le K.O pour le SCB, qui avait pourtant donné l'impression d'être revenu avec de meilleures intentions sur le terrain avec notamment cette action de Cissé qui trouvait Khazri en première intention mais à l'angle des six mètres, le milieu bastiais frappait sur l'extérieur du montant de Mandanda !
C'était le chant du Cygne pour le Sporting.
En effet à la 53e minute Valbuena résistait à Modesto et recentrait. Aux 25 mètres Imbula décochait une lourde frappe du gauche. Le ballon ricochait sur le dessous de la transversale bastiaise. Et Gignac qui avait suivi expédiait, sans contrôler, le ballon, que Leca n'avait pas encore eu l'occasion de toucher, au fond des filets d'un plat du pied droit !
3 à 0 : la cause était entendue. Et le Sporting K.O debout et dépassé par les événements, perdait l'essentiel de ses duels face à un adversaire sûr de lui et à son affaire durant toute la partie…
Buts pour l'OM : Payet (13e et 25e), Gignac (55e)
Arbitre : M. Millot
Avertissements : Romao (17e)à l'OM, Romaric (17e), Cahuzac (35e)au Sporting
OM :
Mandanda - Fanni, N'Koulou, Mendes, Mendy - Romao, Imbula - Payet puis Djadjeje (88e) , Valbuena puis Khalifa (79e), Thauvin puis Ayew (74e) - Gignac.(Samba, Diawara, Bangoura)
SCB :
Landreau puis Leca (52e) - Cioni puis Yatabaré (21e), Squillaci, Modesto, Palmieri - Cahuzac, Romaric - Khazri, Boudebouz, Ba - Cissé puis Bruno (72e). (Harek, Krasic, Sable, Ilan)
Le public du vélodrome avait prévenu : "La victoire ou le KO."
L'OM l'a entendu. 25 minutes après le coup de sifflet final le tableau d'affichage était, déjà, nettement en sa faveur et reflétait parfaitement la domination qui était la sienne sur le terrain.
Pourtant après que Thauvin n'ait pas réussi à cadrer l'un de ses premiers ballons ce fut le Sporting, après que Cissé ait joué au déménageur face à Mendes qui alluma la première mèche par Boudebouz qui ne trouvait pas davantage le cadre malgré un ballon placé.
Ce fut tout pour les Corses au cours de cette première période.
A l'inverse l'OM maître du terrain et du jeu allait frapper, victorieusement, à deux reprises. Et deux fois par le même homme: Payet.
La première fois c'était à la 13e minute.
Thauvin provoquait Palmieri sur la droite avant de centrer fort à mi-hauteur. Modesto repoussait mais le ballon revenait directement sur Payet qui sollicitait aussitôt le une-deux avec Gignac. Le ballon lui était rendu par-dessus la défense. Sur la droite de la surface, l'international français plaçait une demi-volée qui, avec un rebond fort chanceux, parvenait à lober un Landreau qui avait anticipé la frappe rasante !
Et une seconde fois douze minutes plus tard. A la faveur d'un contre rondement mené par Valbuena. Mendy prolongeait et trouvait Payet sur sa droite.
Seul devant la défense bastiaise figée l'ancien nantais avait le temps de contrôler, de choisir l'endroit où il allait placer le ballon puis le mettre en pleine lucarne !
Et 2 à 0 pour l'OM face à un SC Bastia inquiétant qui aurait pu prendre l'eau avant la pause si Gignac s'était montré aussi adroit que son coéquipier un peu plus tôt. Mais sur le coup le gardien bastiais veillait au grain.
A la pause on pouvait justement craindre le pire pour le Sporting.
Le pire ?
Ce fut la blessure de Landreau.
Et presque aussitôt le K.O pour le SCB, qui avait pourtant donné l'impression d'être revenu avec de meilleures intentions sur le terrain avec notamment cette action de Cissé qui trouvait Khazri en première intention mais à l'angle des six mètres, le milieu bastiais frappait sur l'extérieur du montant de Mandanda !
C'était le chant du Cygne pour le Sporting.
En effet à la 53e minute Valbuena résistait à Modesto et recentrait. Aux 25 mètres Imbula décochait une lourde frappe du gauche. Le ballon ricochait sur le dessous de la transversale bastiaise. Et Gignac qui avait suivi expédiait, sans contrôler, le ballon, que Leca n'avait pas encore eu l'occasion de toucher, au fond des filets d'un plat du pied droit !
3 à 0 : la cause était entendue. Et le Sporting K.O debout et dépassé par les événements, perdait l'essentiel de ses duels face à un adversaire sûr de lui et à son affaire durant toute la partie…