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OGC C Nice : 0 SC Bastia : 2 (0-0)
Spectateurs : 14.541.
Arbitre : M. Gautier.
Buts Diallo (61e), F. Ayité (64e).
Avertissements : Koziello (17e), Le Marchand (5e'), M. Traoré (67e) à Nice;: Mostefa (25e), Modesto (27e), Cahuzac (57e), Danic (70e), Djiku (73e.
Exclusion : Baysse (58e) à Nice
OGC Nice
Cardinale - Ricardo Pereira, Baysse, Le Marchand, Pied - Koziello puis Seri (52e), N. Mendy, Bodmer (cap) - Walter puis Traoré (67() - Pléa, Germain. Entraîneur : Claude Puel.
BASTIA : Leca - Djiku, Peybernes, Squillaci, Marange puid Danic (62e) - Cahuzac (cap), Modesto puid Keita (79e), S. Diallo puid Fofana (78e) - Mostefa - F. Ayité, Brandao. Entraîneur : François Ciccolini.
Spectateurs : 14.541.
Arbitre : M. Gautier.
Buts Diallo (61e), F. Ayité (64e).
Avertissements : Koziello (17e), Le Marchand (5e'), M. Traoré (67e) à Nice;: Mostefa (25e), Modesto (27e), Cahuzac (57e), Danic (70e), Djiku (73e.
Exclusion : Baysse (58e) à Nice
OGC Nice
Cardinale - Ricardo Pereira, Baysse, Le Marchand, Pied - Koziello puis Seri (52e), N. Mendy, Bodmer (cap) - Walter puis Traoré (67() - Pléa, Germain. Entraîneur : Claude Puel.
BASTIA : Leca - Djiku, Peybernes, Squillaci, Marange puid Danic (62e) - Cahuzac (cap), Modesto puid Keita (79e), S. Diallo puid Fofana (78e) - Mostefa - F. Ayité, Brandao. Entraîneur : François Ciccolini.
Il y a incontestablement quelque chose de changé au sein de cette équipe du Sporting. Disparue l'équipe hésitante et empruntée que l'on avait l'habitude de voir évoluer à l'extérieur depuis le début de la saison.
Aujourd'hui il y a de la détermination. De l'engagement. Et cette volonté permanente de ne pas céder le moindre pouce de terrain. On bloque. On relance. Et on repart à 100 à l'heure vers l'avant. La méthode de Ciccolini a incontestablement du bon.
La victoire de Reims venant après celle obtenue, de la façon que l'on sait, à Furiani face à Lyon, a donné des ailes à cette équipe qui a,désormais, fait un incroyable plein de confiance.
Et celle-ci ne lui pas manqué vendredi soir à Nice.
Certes Plea pour les Niçois avait bien donné le signal des hostilités mais Jean-Louis Leca malgré la bronca que lui réserva l'Allianz Arena fit rapidement la preuve qu'il aurait fallu bien plus que cela pour le perturber.
C'était un premier signe incontestable de cette confiance.
La confiance ce fut celle qu'afficha le bloc bastiais tout au long de la première période de la partie face à un OGCN qui posséda le ballon bien plus que souvent son adversaire mais qui n'a jamais réussi qu'à se casser les dents sur une défense bastiaise solide et confiante, elle aussi, à l'image d'un Djiku jamais dépassé par les événements.
Et puis la confiance ce fut celle qui habita encore et Ayité et Brandao, qui ont certes eut du mal pendant un temps à se trouver, mais qui n'ont jamais hésité à prendre leur chance lorsque l'occasion leur fut donnée.
Mais à la pause rien n'était encore joué
Et puis il y eut cette faute de Baysse sur Ayité qui s'en allait tout seul vers le but de Cardinale.
Carton rouge pour le niçois et coup-franc pour le Sporting.
La suite vous l'avez vue comme nous devant votre petit écran. Toujours marquée par cette confiance qui habite tous les joueurs de Ciccoloni aujourd'hui.
En tout cas cette confiance aura permis - et de quelle façon - à Sadio DIallo de retrouver ces belles facultés lorsqu'il s'agit de prendre sa chance sur coup de pied arrêté.
L'Allianz Riviera assommée n'eut pas le temps de se remettre de ces émotions. Une poignée de minutes plus tard Ayité, décisif depuis plusieurs matches, trouva le bas du poteau de Cardinale avant de prendre en défaut le gardien niçois.
2 à 0 pour le Sporting. La défaite du match aller (1-3) oubliée. Et la perspective après trois victoires consécutives de recevoir trois fois au cours des prochains jours à Furiani : Oui la confiance est revenue au Sporting.
Aujourd'hui avec les trois points supplémentaires de Vendredi soir il a tracé ce beau sillage qui mène tout droit au maintien.
Hier on s'inquiétait encore de son avenir à ce niveau.
Aujourd'hui avec de surcroit de confiance, il peut, mais oui, ambitionner de regarder vers le haut.
Incroyable il y a encore quelques semaines, mais vrai aujourd'hui.