L'ambiance
Comme la température. De la chaleureuse au coup renvoi, elle est tombée de plusieurs degrés durant toute la première période jeu notamment. Mais, même si le "Vert" de Saint-Etienne a dominé les débats, c'est la foi "bleue" qui est montée, comme toujours, de la tribune Est, qui a été, comme toujours, remarquable.
Le match
"Saint-Etienne viendra à Bastia pour gagner" : le message de Christophe Galtier avait été on ne peut plus clair. Et les Stéphanois n'ont pas manqué de manifester leurs intentions d'entrée de jeu. En monopolisant le ballon. En jouant vite et bien. Et le plus souvent à une touche de balle. Dans ces conditions le Sporting, où le meilleur joueur de la première demi-heure fut encore François Modesto, eut bien du mal à suivre le train imposé par les visiteurs qui ne se montraient pas cependant pas plus efficaces.
Au terme de la première demi-heure de jeu ni Leca et pas davantage Ruffier n'avait eu à s'employer.
On s'est surpris alors à se demander si le Sporting comme Saint-Etienne allait continuer longtemps à ronronner de la sorte.
La réponse survint trois minutes plus tard après un corner obtenu par Lemoine : le numéro 18 visiteur mystifiait dans un mouchoir de poche et Cahuzac et Diakité et sur le coup de pied de coin Brandao, étrangement démarqué au second poteau trompait facilement Leca d'un plat du pied.
Il n'y avait rien à dire. L'AS Saint-Etienne s'était montrée la meilleure jusque-là.
On attendit alors la révolte bastiaise. Mais elle ne vint jamais. Même pas lorsque Leca, touché par Perrin, resta quelques minutes au sol.
A la pause le bilan n'était donc pas particulièrement brillant.
Elle ne s'enrichit pas davantage durant la seconde période où les bastiais, hormis quelques coups-francs de Khazri - dont l'un renvoyé des deux poings par Ruffier- n'eurent que très rarement l'occasion de se mettre en évidence face à un adversaire qui recula sans pour autant rompre et qui trouva un allié précieux avec Fethi Harek qui trompa malheureusement Leca avancé au moment où le Sporting poussait pour revenir dans le match (90e)
Le Sporting
Une bien mauvaise soirée. Pas entamée en tout cas par le bon bout de la lorgnette. Longtemps condamné à courir après le ballon, le Sporting n'a jamais offert l'image que préconisait la veille encore Hantz : solide et solidaire derrière, créateur devant. Au lieu de cela l'on droit qu'à une pale copie du Sporting qui certes avait été battu par Monaco mais qui avait été généreux, vaillant courageux,seulement battu par plus fort. Samedi soir encore, Saint-Etienne était au-dessus mais il y bien longtemps qu'à Furiani, le Sporting avait été ainsi mis dans l'incapacité d'un tant soit peu s'exprimer.
L'adversaire
Ils avaient bien raison les stéphanois de ne pas se montrer inquiets avant ce match. La démonstration qu'ils ont effectuée à Furiani traduit bien leur niveau et leurs qualités qui sont celles d'une équipe du haut du tableau. Pour eux l'Europe n'est pas loin...
Le bilan
Deux matches consécutifs à Furiani et deux défaites. Certes en face il y eut et Monaco et Saint-Etienne. Certes le Sporting ne disposait de tous ses moyens. Mais ces 6 points - ceux qui manquent encore au Sporting pour parler de maintien définitif - il faudra donc encore aller les chercher avant de songer à viser plus haut !
vvvv
Comme la température. De la chaleureuse au coup renvoi, elle est tombée de plusieurs degrés durant toute la première période jeu notamment. Mais, même si le "Vert" de Saint-Etienne a dominé les débats, c'est la foi "bleue" qui est montée, comme toujours, de la tribune Est, qui a été, comme toujours, remarquable.
Le match
"Saint-Etienne viendra à Bastia pour gagner" : le message de Christophe Galtier avait été on ne peut plus clair. Et les Stéphanois n'ont pas manqué de manifester leurs intentions d'entrée de jeu. En monopolisant le ballon. En jouant vite et bien. Et le plus souvent à une touche de balle. Dans ces conditions le Sporting, où le meilleur joueur de la première demi-heure fut encore François Modesto, eut bien du mal à suivre le train imposé par les visiteurs qui ne se montraient pas cependant pas plus efficaces.
Au terme de la première demi-heure de jeu ni Leca et pas davantage Ruffier n'avait eu à s'employer.
On s'est surpris alors à se demander si le Sporting comme Saint-Etienne allait continuer longtemps à ronronner de la sorte.
La réponse survint trois minutes plus tard après un corner obtenu par Lemoine : le numéro 18 visiteur mystifiait dans un mouchoir de poche et Cahuzac et Diakité et sur le coup de pied de coin Brandao, étrangement démarqué au second poteau trompait facilement Leca d'un plat du pied.
Il n'y avait rien à dire. L'AS Saint-Etienne s'était montrée la meilleure jusque-là.
On attendit alors la révolte bastiaise. Mais elle ne vint jamais. Même pas lorsque Leca, touché par Perrin, resta quelques minutes au sol.
A la pause le bilan n'était donc pas particulièrement brillant.
Elle ne s'enrichit pas davantage durant la seconde période où les bastiais, hormis quelques coups-francs de Khazri - dont l'un renvoyé des deux poings par Ruffier- n'eurent que très rarement l'occasion de se mettre en évidence face à un adversaire qui recula sans pour autant rompre et qui trouva un allié précieux avec Fethi Harek qui trompa malheureusement Leca avancé au moment où le Sporting poussait pour revenir dans le match (90e)
Le Sporting
Une bien mauvaise soirée. Pas entamée en tout cas par le bon bout de la lorgnette. Longtemps condamné à courir après le ballon, le Sporting n'a jamais offert l'image que préconisait la veille encore Hantz : solide et solidaire derrière, créateur devant. Au lieu de cela l'on droit qu'à une pale copie du Sporting qui certes avait été battu par Monaco mais qui avait été généreux, vaillant courageux,seulement battu par plus fort. Samedi soir encore, Saint-Etienne était au-dessus mais il y bien longtemps qu'à Furiani, le Sporting avait été ainsi mis dans l'incapacité d'un tant soit peu s'exprimer.
L'adversaire
Ils avaient bien raison les stéphanois de ne pas se montrer inquiets avant ce match. La démonstration qu'ils ont effectuée à Furiani traduit bien leur niveau et leurs qualités qui sont celles d'une équipe du haut du tableau. Pour eux l'Europe n'est pas loin...
Le bilan
Deux matches consécutifs à Furiani et deux défaites. Certes en face il y eut et Monaco et Saint-Etienne. Certes le Sporting ne disposait de tous ses moyens. Mais ces 6 points - ceux qui manquent encore au Sporting pour parler de maintien définitif - il faudra donc encore aller les chercher avant de songer à viser plus haut !
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La fiche technique
A Furiani
SCB : 0 AS Saint-Etienne : 2 (0-1)
Buts pour Saint-Etienne : Brandao (33e), Harek (Csc)
Arbitre : M. Lannoy
Avertissements : Boudebouz (44e)au SCB
Spectateurs : 13 515
SCB :
Leca, Diakité, Modesto, Squillaci, Harek, Cahuzac puis Sable (46e), Yatabaré puis Bruno (85e), Boudebouz, puis Ilan (46e), Cissé, Khazri (Samuel, Achilli, Keita,Maoulida)
Saint-Etienne :
Ruffier, Tremoulinas, Perrin, Sall,Clerc, Clement, Cohade puis Zouma (87e), Mollo, Lemoine puis Guilavogui (68e),Tabanou, Brandao (Moulin,Zouma,,Brison, Gradel, Erding, Hamouma)
SCB : 0 AS Saint-Etienne : 2 (0-1)
Buts pour Saint-Etienne : Brandao (33e), Harek (Csc)
Arbitre : M. Lannoy
Avertissements : Boudebouz (44e)au SCB
Spectateurs : 13 515
SCB :
Leca, Diakité, Modesto, Squillaci, Harek, Cahuzac puis Sable (46e), Yatabaré puis Bruno (85e), Boudebouz, puis Ilan (46e), Cissé, Khazri (Samuel, Achilli, Keita,Maoulida)
Saint-Etienne :
Ruffier, Tremoulinas, Perrin, Sall,Clerc, Clement, Cohade puis Zouma (87e), Mollo, Lemoine puis Guilavogui (68e),Tabanou, Brandao (Moulin,Zouma,,Brison, Gradel, Erding, Hamouma)