Un homme d’affaires, spécialisé dans l’informatique, utilisant son jet privé, son yacht et son hélicoptère comme bureau est tombé sous le charme de Calvi et a décidé d’y jeter l’ancre de son yacht pour y séjourner durant plusieurs jours. La présence toute proche de l’aéroport de Calvi-Balagne ne faisait que le conforter dans cette volonté de séjour.
Le personnel de cet homme d’affaires prenait aussitôt toutes les dispositions pour que ce séjour se passe au mieux. Des prestations étaient demandées à des organismes privés pour satisfaire à toutes ces demandes et une réservation était faite auprès d’un établissement de luxe de Calvi. Tout était donc pour le mieux et ce à la grande satisfaction des professionnels sollicités.
Avoir un client de cette importance dans les premiers jours du mois d’octobre méritait que chacun prenne toutes ses dispositions, et c’est ce qui fut fait, jusqu’à qu’un petit grain de sable vienne tout réduire à néant.
L’homme d’affaires avait annoncé devoir se rendre avec son jet privé grand luxe à Londres, avant de revenir pour le week-end et séjourner dans un établissement de luxe de Calvi.
Son hélicoptère devait entre temps rejoindre Calvi pour se poser sur le yacht au mouillage en baie de Calvi. Et c’est là que tout s’est compliqué.
Cette manœuvre de « posé » sur une Héli-surface en baie de Calvi est en effet soumise à autorisation.
Selon les informations que nous avons pu recueillir, cette autorisation ne pouvait s’obtenir dans un délai très court et au grand dam des professionnels sollicités, l’homme d’affaires a renoncé à son séjour à Calvi.
Bien évidemment cette décision que l’on peut comprendre a engendré de la colère et de l’amertume chez ceux qui à longueur d’année font des efforts pour offrir des prestations de qualité.
La polémique dans cette affaire vient du fait que, selon les éléments que nous avons pu recueillir, les délais demandés pour obtenir cette autorisation de se poser étaient beaucoup trop longs. Certains avançaient que cette procédure pouvait prendre des semaines, d’autres incriminaient la Direction Générale de l’Aviation Civile….
Interrogée par téléphone, Mme Maryelle Toutain, chef de l’organisme de contrôle Bastia-Calvi au sein de la DGAC a bien voulu nous éclairer sur la procédure de l’utilisation d’une héli-station en mer :« Dans ce cas bien précis c’est le commandant du navire qui doit adresser une demande d’autorisation à la préfecture maritime pour poser son hélicoptère sur l’héli-surface. Cette dernière demande avis à la Direction Générale de l’Aviation Civile, mais la décision finale appartient à la préfecture maritime ».
Et d’ajouter : « Nous avons bien conscience à travers cette affaire qu’il y a des choses à améliorer et nous allons nous y atteler ».
Un problème sur lequel les responsables du tourisme et autorités concernées devront également se pencher pour qu’à l’avenir on puisse répondre favorablement à ce type de demande qui n’a rien d’insurmontable.
Le personnel de cet homme d’affaires prenait aussitôt toutes les dispositions pour que ce séjour se passe au mieux. Des prestations étaient demandées à des organismes privés pour satisfaire à toutes ces demandes et une réservation était faite auprès d’un établissement de luxe de Calvi. Tout était donc pour le mieux et ce à la grande satisfaction des professionnels sollicités.
Avoir un client de cette importance dans les premiers jours du mois d’octobre méritait que chacun prenne toutes ses dispositions, et c’est ce qui fut fait, jusqu’à qu’un petit grain de sable vienne tout réduire à néant.
L’homme d’affaires avait annoncé devoir se rendre avec son jet privé grand luxe à Londres, avant de revenir pour le week-end et séjourner dans un établissement de luxe de Calvi.
Son hélicoptère devait entre temps rejoindre Calvi pour se poser sur le yacht au mouillage en baie de Calvi. Et c’est là que tout s’est compliqué.
Cette manœuvre de « posé » sur une Héli-surface en baie de Calvi est en effet soumise à autorisation.
Selon les informations que nous avons pu recueillir, cette autorisation ne pouvait s’obtenir dans un délai très court et au grand dam des professionnels sollicités, l’homme d’affaires a renoncé à son séjour à Calvi.
Bien évidemment cette décision que l’on peut comprendre a engendré de la colère et de l’amertume chez ceux qui à longueur d’année font des efforts pour offrir des prestations de qualité.
La polémique dans cette affaire vient du fait que, selon les éléments que nous avons pu recueillir, les délais demandés pour obtenir cette autorisation de se poser étaient beaucoup trop longs. Certains avançaient que cette procédure pouvait prendre des semaines, d’autres incriminaient la Direction Générale de l’Aviation Civile….
Interrogée par téléphone, Mme Maryelle Toutain, chef de l’organisme de contrôle Bastia-Calvi au sein de la DGAC a bien voulu nous éclairer sur la procédure de l’utilisation d’une héli-station en mer :« Dans ce cas bien précis c’est le commandant du navire qui doit adresser une demande d’autorisation à la préfecture maritime pour poser son hélicoptère sur l’héli-surface. Cette dernière demande avis à la Direction Générale de l’Aviation Civile, mais la décision finale appartient à la préfecture maritime ».
Et d’ajouter : « Nous avons bien conscience à travers cette affaire qu’il y a des choses à améliorer et nous allons nous y atteler ».
Un problème sur lequel les responsables du tourisme et autorités concernées devront également se pencher pour qu’à l’avenir on puisse répondre favorablement à ce type de demande qui n’a rien d’insurmontable.