A 11h30, après avoir regretté l’absence de Paul Giacobbi, président de l’Exécutif de Corse, retenu à Paris en raison d’une grève des aiguilleurs du ciel et de Dominique Bucchini, président de l’Assemblée de Corse, Gilles Brun, président de la Communauté de communes de Calvi-Balagne, entouré de Ange Santini, maire de Calvi, Alain Rousseau, préfet de Haute-Corse, Christian Guyard, sous-préfet de Calvi, Jean-Toussaint Guglielmacci, conseiller général de Calvi-Lumio, de nombreux élus de la microrégion et invités, coupait le ruban tricolore, avant de prendre la parole (voir encadré). Ange Santini, maire de Calvi, s'est, quant à lui, exprimé de la sorte :
« Je profite de l’instant pour souligner le fait que, certes cet équipement est sur le territoire de la commune de Calvi, qui a d’ailleurs cédé gratuitement 2,5 hectares de terrain pour sa réalisation, certes ce bâtiment était porté par la communauté de communes de Calvi – Balagne, mais non, il ne doit pas servir qu’aux calvais et qu’aux membres de la communauté de communes. C’est un équipement indispensable à la microrégion toute entière. Et la présence ce matin d’élus, représentants des communes qui ne sont pas intégrées à la CCCB montre bien l’importance que nos amis lui accorde aussi à cette dimension que je viens d’indiquer. C’est l’équipement de la Balagne C’est l’équipement que les Balanins doivent s’approprier tout au long de l’année. C’est un équipement qui a été fait pour eux.
Priorité à la piscine
Alors naturellement nous mesurons ensemble le chemin parcouru. Je voulais rappeler sous forme de clin d’œil qu’en 1995 pour celles et ceux qui m’accompagnaient dans nos premières campagnes électorales calvaises, nous avions indiqué qu’il fallait pour la microrégion une piscine. Nous avions aussi indiqué que pour la réaliser elle ne pourrait se faire que dans le cadre de l’intercommunalité. Et nous y sommes.
Sans doute avions-nous quelques prémonitions sur la manière dont devait se gouverner et se gérer les territoires.
Sans doute avions nous anticipé sur ce qui devrait se faire dans le futur puisqu’il aura fallu 18 ans pour arriver à ce résultat ».
Et de poursuivre : « En 2004, j’étais comme l’a souligné Gilles Brun président de la CCCB en exercice. A l’occasion de la première délibération nous avions réuni le conseil communautaire et aussi les élus et les maires qui ne siègent pas à l’intérieur du conseil pour leur poser la question suivante : « Nous allons réaliser un équipement si possible mais que faut-il y mettre ? Et nous revenions sans cesse sur cette fameuse interrogation : piscine ou non ?, stade de football ou non ?
Et je me souviens que la réflexion unanime à l’époque consistait à dire : un stade de football c’est bien si c’est possible mais ce qui est mieux c’est ce qui manque , c’est ce qu’il n’ y a nulle part ailleurs, ce qui permet de pouvoir pratiquer notamment un sport, quel que soit l’âge que l’ on, à toute étape de la vie, quel que soit le sexe, quel que soit la condition … il manque une piscine.
Et, à l’unanimité, les élus de la CCCB ont suggéré, décidé, soutenu le projet de piscine, tout en sachant pertinemment que ce n’était pas la voie la plus facile, ni la plus populaire. Et surement pas la voie qui devait faire réaliser des économies mais c’était l’équipement qu’il manquait. Gilles Brun a bien souligné cet aspect sportif convivial, sociétal que l’on retrouve dans une piscine et autour. Une piscine c’est par excellence l’équipement qui permet de réunir toutes ces conditions .
J’ai toujours considéré que l’équipement de la Corse comme toutes les régions devait être territorialisé. Je prenais souvent comme exemple qu’ il valait mieux un vrai complexe sportif dans une microrégion plutôt que 10 stades de football qui au bout de quelques années ne servaient plus qu’a quelques animaux en divagation, mais en tout cas certainement pas à des footballeurs en herbe Cet équipent je le dit avec fierté, c’est l’exemple de ce qu’il faut faire dans l’équipement de nos microrégions, c’est l’exemple de ce qu’il faut faire pour la Corse.
Gilles Brun l’a rappelé, avec le préfet Michel Delpuech nous avions naturellement soutenu trois projets au sein du COREPA pour la période 2007 – 2013 : la fin de la réhabilitation des tribunes de Furiani, une halle des sports à Ajaccio et le complexe sportif de Calvi – Balagne que nous inaugurons ce matin. C’est dire que les choix ont été judicieux, espacés sur le territoire insulaire et que vraiment c’est une volonté aussi de l’Etat M. le Préfet d’accompagner ce type de projet dans le cadre de la territorialisation des politiques. C’est important de le souligner
La Balagne aujourd’hui peut être fière de posséder un tel équipement.
Alors je sais les petits tracas ne font que commencer Monsieur le président , dans le fonctionnement de la structure, et nous savons pertinemment qu’une telle structure ne va pas générer des bénéfices, elle n’est pas faite pour ça. C’est un équipement public, au même titre que les écoles, les cantines scolaires , les halte-garderies et tant d’autres établissements publiques . Ce n’est pas le but premier . Il faut bien sur gérer cela en bon père de famille et faire en sorte de diminuer au maximum les déficits structurels.
Aujourd’hui la communauté de communes de Calvi-Balagne a rempli une grande partie des missions qui lui ont été confiées il y a une dizaine d’années en arrière.
Demain, Monsieur le président, sous votre autorité, avec un certain nombre de membres du conseil communautaire, nous allons nous réunir en jury pour déterminer les 4 ou 5 candidats retenus pour la réalisation future du Centre culturel qui aura également un rayonnement sur l’ensemble du territoire de Balagne.
Les missions qui ont été assignées à la CCCB il y a une dizaines d’années sont des missions financièrement lourdes à supporter . Le président a fait état du financement mais sans doute par modestie il a pas dit forcément l’essentiel mais quelque chose qui va marquer les esprits, c’est 10 millions € . Alors à celles et ceux qui trouvent que ça ne va pas assez vite, que c’est trop lent, qu’il n’y a qua , qu’il faut que et que tout cela se fait naturellement d’un coup de baguette magique et bien il faut avoir conscience que 10 millions € par les temps qui courent , grâce au soutien monsieur le préfet, de l’Etat , plus de 4,5 Millions€ dans le cadre du PEI, grâce au soutien de la Collectivité territoriale de Corse nous avons réussi alors que ce n’était pas gagné d’avance.
Voila ce que je voulais dire en ma qualité de maire de Calvi .
Je forme un vœu après l’inauguration, et ça a déjà commencé, que ce soit la population de Balagne qui fasse sien de cet équipement. A ce moment- là notre pari sera réussi.
M. Alain Rousseau devait conclure les interventions , non sans avoir dit au préalable combien il était heureux de venir en Balagne. Parlant de la structure qu’il jugeait immense, et pour laquelle l’Etat a apporté son concours, le préfet de Haute-Corse ajoutait :
« C’est comme vous l’avez dit une ambition et aussi une réussite. Ambition car vous avez jugé qu’il était nécessaire d’apporter des services à la population à l’échelle de la communauté de communes. Vous y avait travaillé, vous avez discuté, vous avez pris le temps nécessaire à l’élaboration d’un tel projet. Et si je dis réussite c’est aussi que la réussite n’est pas toujours acquise lorsqu’on porte un projet d’une telle ampleur. C’est toujours un travail considérable. Il faut rappeler que beaucoup d’argent public est investi , aussi il faut l’investir intelligemment, au service de tous. Ensuite il faut trouver les financements et c’est toujours un travail considérable. J’ai une chance que je crois aucun autre préfet n’a en dehors de mon collègue de Corse-du-Sud aujourd’hui, c’est de pouvoir annoncer un tel niveau d’aide. Vous l’avez dit, presque 50% au total de l’ensemble de l’investissement a été donné par l’Etat dans cette affaire. Vous le savez ça correspond à une volonté, confirmée par Monsieur le ministre Emmanuel Valls il y a quelques mois lorsqu’il est venu signer la dernière tranche du PEI . Ce programme du PEI qui est un engagement fort de l’Etat depuis 2002 d’appuyer un travail sur la construction de nouvelles infrastructures en Corse pour qu’il y ai un effet de rattrapage. Nous sommes donc dans ce programme avec des investissements important à hauteur de 10 millions€. »
Et de conclure « L’intercommunalité n’est pas la fin des communes. Ces dernières doivent accepter de se regrouper et de travailler ensemble. La communauté de communes de Calvi-Balagne est un bel exemple ».
Une visite guidée des lieux et un buffet devaient suivre.
« Je profite de l’instant pour souligner le fait que, certes cet équipement est sur le territoire de la commune de Calvi, qui a d’ailleurs cédé gratuitement 2,5 hectares de terrain pour sa réalisation, certes ce bâtiment était porté par la communauté de communes de Calvi – Balagne, mais non, il ne doit pas servir qu’aux calvais et qu’aux membres de la communauté de communes. C’est un équipement indispensable à la microrégion toute entière. Et la présence ce matin d’élus, représentants des communes qui ne sont pas intégrées à la CCCB montre bien l’importance que nos amis lui accorde aussi à cette dimension que je viens d’indiquer. C’est l’équipement de la Balagne C’est l’équipement que les Balanins doivent s’approprier tout au long de l’année. C’est un équipement qui a été fait pour eux.
Priorité à la piscine
Alors naturellement nous mesurons ensemble le chemin parcouru. Je voulais rappeler sous forme de clin d’œil qu’en 1995 pour celles et ceux qui m’accompagnaient dans nos premières campagnes électorales calvaises, nous avions indiqué qu’il fallait pour la microrégion une piscine. Nous avions aussi indiqué que pour la réaliser elle ne pourrait se faire que dans le cadre de l’intercommunalité. Et nous y sommes.
Sans doute avions-nous quelques prémonitions sur la manière dont devait se gouverner et se gérer les territoires.
Sans doute avions nous anticipé sur ce qui devrait se faire dans le futur puisqu’il aura fallu 18 ans pour arriver à ce résultat ».
Et de poursuivre : « En 2004, j’étais comme l’a souligné Gilles Brun président de la CCCB en exercice. A l’occasion de la première délibération nous avions réuni le conseil communautaire et aussi les élus et les maires qui ne siègent pas à l’intérieur du conseil pour leur poser la question suivante : « Nous allons réaliser un équipement si possible mais que faut-il y mettre ? Et nous revenions sans cesse sur cette fameuse interrogation : piscine ou non ?, stade de football ou non ?
Et je me souviens que la réflexion unanime à l’époque consistait à dire : un stade de football c’est bien si c’est possible mais ce qui est mieux c’est ce qui manque , c’est ce qu’il n’ y a nulle part ailleurs, ce qui permet de pouvoir pratiquer notamment un sport, quel que soit l’âge que l’ on, à toute étape de la vie, quel que soit le sexe, quel que soit la condition … il manque une piscine.
Et, à l’unanimité, les élus de la CCCB ont suggéré, décidé, soutenu le projet de piscine, tout en sachant pertinemment que ce n’était pas la voie la plus facile, ni la plus populaire. Et surement pas la voie qui devait faire réaliser des économies mais c’était l’équipement qu’il manquait. Gilles Brun a bien souligné cet aspect sportif convivial, sociétal que l’on retrouve dans une piscine et autour. Une piscine c’est par excellence l’équipement qui permet de réunir toutes ces conditions .
J’ai toujours considéré que l’équipement de la Corse comme toutes les régions devait être territorialisé. Je prenais souvent comme exemple qu’ il valait mieux un vrai complexe sportif dans une microrégion plutôt que 10 stades de football qui au bout de quelques années ne servaient plus qu’a quelques animaux en divagation, mais en tout cas certainement pas à des footballeurs en herbe Cet équipent je le dit avec fierté, c’est l’exemple de ce qu’il faut faire dans l’équipement de nos microrégions, c’est l’exemple de ce qu’il faut faire pour la Corse.
Gilles Brun l’a rappelé, avec le préfet Michel Delpuech nous avions naturellement soutenu trois projets au sein du COREPA pour la période 2007 – 2013 : la fin de la réhabilitation des tribunes de Furiani, une halle des sports à Ajaccio et le complexe sportif de Calvi – Balagne que nous inaugurons ce matin. C’est dire que les choix ont été judicieux, espacés sur le territoire insulaire et que vraiment c’est une volonté aussi de l’Etat M. le Préfet d’accompagner ce type de projet dans le cadre de la territorialisation des politiques. C’est important de le souligner
La Balagne aujourd’hui peut être fière de posséder un tel équipement.
Alors je sais les petits tracas ne font que commencer Monsieur le président , dans le fonctionnement de la structure, et nous savons pertinemment qu’une telle structure ne va pas générer des bénéfices, elle n’est pas faite pour ça. C’est un équipement public, au même titre que les écoles, les cantines scolaires , les halte-garderies et tant d’autres établissements publiques . Ce n’est pas le but premier . Il faut bien sur gérer cela en bon père de famille et faire en sorte de diminuer au maximum les déficits structurels.
Aujourd’hui la communauté de communes de Calvi-Balagne a rempli une grande partie des missions qui lui ont été confiées il y a une dizaine d’années en arrière.
Demain, Monsieur le président, sous votre autorité, avec un certain nombre de membres du conseil communautaire, nous allons nous réunir en jury pour déterminer les 4 ou 5 candidats retenus pour la réalisation future du Centre culturel qui aura également un rayonnement sur l’ensemble du territoire de Balagne.
Les missions qui ont été assignées à la CCCB il y a une dizaines d’années sont des missions financièrement lourdes à supporter . Le président a fait état du financement mais sans doute par modestie il a pas dit forcément l’essentiel mais quelque chose qui va marquer les esprits, c’est 10 millions € . Alors à celles et ceux qui trouvent que ça ne va pas assez vite, que c’est trop lent, qu’il n’y a qua , qu’il faut que et que tout cela se fait naturellement d’un coup de baguette magique et bien il faut avoir conscience que 10 millions € par les temps qui courent , grâce au soutien monsieur le préfet, de l’Etat , plus de 4,5 Millions€ dans le cadre du PEI, grâce au soutien de la Collectivité territoriale de Corse nous avons réussi alors que ce n’était pas gagné d’avance.
Voila ce que je voulais dire en ma qualité de maire de Calvi .
Je forme un vœu après l’inauguration, et ça a déjà commencé, que ce soit la population de Balagne qui fasse sien de cet équipement. A ce moment- là notre pari sera réussi.
M. Alain Rousseau devait conclure les interventions , non sans avoir dit au préalable combien il était heureux de venir en Balagne. Parlant de la structure qu’il jugeait immense, et pour laquelle l’Etat a apporté son concours, le préfet de Haute-Corse ajoutait :
« C’est comme vous l’avez dit une ambition et aussi une réussite. Ambition car vous avez jugé qu’il était nécessaire d’apporter des services à la population à l’échelle de la communauté de communes. Vous y avait travaillé, vous avez discuté, vous avez pris le temps nécessaire à l’élaboration d’un tel projet. Et si je dis réussite c’est aussi que la réussite n’est pas toujours acquise lorsqu’on porte un projet d’une telle ampleur. C’est toujours un travail considérable. Il faut rappeler que beaucoup d’argent public est investi , aussi il faut l’investir intelligemment, au service de tous. Ensuite il faut trouver les financements et c’est toujours un travail considérable. J’ai une chance que je crois aucun autre préfet n’a en dehors de mon collègue de Corse-du-Sud aujourd’hui, c’est de pouvoir annoncer un tel niveau d’aide. Vous l’avez dit, presque 50% au total de l’ensemble de l’investissement a été donné par l’Etat dans cette affaire. Vous le savez ça correspond à une volonté, confirmée par Monsieur le ministre Emmanuel Valls il y a quelques mois lorsqu’il est venu signer la dernière tranche du PEI . Ce programme du PEI qui est un engagement fort de l’Etat depuis 2002 d’appuyer un travail sur la construction de nouvelles infrastructures en Corse pour qu’il y ai un effet de rattrapage. Nous sommes donc dans ce programme avec des investissements important à hauteur de 10 millions€. »
Et de conclure « L’intercommunalité n’est pas la fin des communes. Ces dernières doivent accepter de se regrouper et de travailler ensemble. La communauté de communes de Calvi-Balagne est un bel exemple ».
Une visite guidée des lieux et un buffet devaient suivre.
Le discours de Gilles Brun, président de la communauté de communes de Calvi-Balagne
"J’ai la chance aujourd’hui d’être entouré par le précédent président du conseil exécutif, l’actuel n’ayant malheureusement pas pu nous rejoindre en raison d’une grève des aiguilleurs du ciel. Leur rôle est toujours très important pour ces dossiers d’envergure, j’y reviendrai plus tard.
Ce moment, je ne vous le cache pas, nous l’attendions depuis plusieurs mois.
Je tiens tout d’abord à remercier les élus du Conseil Communautaire qui ont cru à ce projet et qui par la suite, l’ont toujours soutenu, mais rien n’aurait été possible sans l’appui financier, efficace et décisif de l’Etat et de la Collectivité Territoriale de Corse qui ont participé à l’investissement à hauteur de 50% pour l’Etat, 30% pour la Collectivité Territoriale et 20% d’autofinancement assuré par notre Communauté de communes, financé sans emprunt, je tiens à le souligner.
Je souhaite tout particulièrement à remercier aujourd’hui, au nom de notre micro région, Ange SANTINI, qui a impulsé, appuyé sans relâche, s’est impliqué du début à la fin de ce dossier. Il m’a soutenu et a toujours été à mes côtés ainsi que les Elus du Conseil Communautaire pendant certains moments difficiles.
Cinq dates importantes sont à retenir :
9 Juin 2004 : 1ère délibération du Conseil Communautaire pour le lancement du projet : Appel à concepteur
23 Mars 2007 : Le Préfet de Région, Michel DELPUECH, et le Président du Conseil Exécutif, Ange SANTINI, ont validé en COREPA le financement du Complexe sportif,
1er Septembre 2008 : Le début des travaux,
17 Juin2013 : La réception du bâtiment.
Une inauguration, c’est toujours, pour les initiateurs du projet, un moment de vérité… A-t-on bien fait ? Peut-on s’interroger ? Comment les habitants vont-ils juger notre action ?
Vu l’engouement et la fréquentation de l’établissement depuis l’ouverture, nous avons constaté que nous étions dans la bonne direction, confortée par une politique sociale que tous ensemble, nous avons décidée pour permettre, grâce à des prix attractifs, à toutes les familles d’accéder à nos installations. Aurions-nous pu faire mieux ou plus ?
Oui, nous allons, avec l’appui du président du conseil exécutif, Paul Giacobbi, étendre et améliorer notre Complexe.
Nous sommes là au cœur de notre mission d’Elus locaux, penser, réfléchir à notre développement de demain et aménager nos territoires pour qu’ils soient attractifs et surtout pour que chacun se sente bien là où il vit… C’est une mission passionnante. Je pense très sincèrement, que c’est en effet un droit pour nous tous, de disposer au sein du territoire intercommunal, d’équipements, de structures modernes et de lieux d’animations comme celui-ci. Nous avons fait le choix, du dynamisme, de la jeunesse, de l’espérance. Un développement bien réfléchi, dicté par le bon sens, la coopération, la solidarité et l’action de tous au service de chacun…
A travers cet équipement, nous concrétisons notre souhait de maintenir et développer la pratique sportive mais également et c’est très important, de conforter une réelle vie associative locale.
Le Complexe constitue en effet un excellent vecteur d’échanges et de rencontre.
Le sport, c’est un peu l’école de la vie… on y apprend le dépassement de soi, la discipline, la rigueur, le goût et le sens de l’effort, la solidarité et l’humilité dans la victoire comme dans la défaite (cela peut parfois arriver !). Le sport, c’est avant tout de formidables moments d’échanges, de vérité, de dialogue et de partage. Le sport est également créateur de lien social, de lien entre les générations.
En ces lieux résonnera désormais le souffle de l’effort, de la volonté de bien faire, de l’esprit d’équipe, du respect de l’autre, de la tolérance et de la solidarité.Ce sont des valeurs profondément ancrées dans mon esprit, je sais bien qu’elles le sont aussi dans le vôtre.
Ces valeurs conduisent vers l’harmonie et l’équilibre nécessaire à chacun.
Les équipements qui sont à la disposition de la population, une piscine de 25 mètres et un bassin d’apprentissage, un gymnase avec une tribune de 500 places comprenant un terrain de handball, de volleyball, de basketball, 7 terrains de badminton, 4 courts de squash, un dojo et une salle de danse.
Je veux profiter de cet instant pour féliciter et remercier les Présidents ou Responsables de Clubs ou d’Associations, les nombreux bénévoles, bref toute cette grande famille du sport qui anime nos communes et tissent ensemble ces liens d’amitié si importants au maintien d’une vie sociale.
Je veux leur dire que je mesure tout leur dévouement, leur disponibilité et leur patience : des qualités indispensables à la réussite sportive de tous et notamment les plus jeunes.
Je souhaite remercier toutes celles et tous ceux qui, de près ou de loin ont participé à la construction de ces nouvelles installations et ainsi répondre aux attentes des habitants de notre micro région (le cabinet d’architecte Madotto et Pinna, les bureaux d’études et les entreprises).
Je tiens à souligner, la dimension assez exceptionnelle de ce bâtiment qui concentre en un unique lieu tant d’activités sportives. Les espaces de jeux, homologués, ont été conçus pour accueillir des compétitions, qu’elles soient régionales, nationales voire internationales.
En effet, nous avons déjà été sollicités pour organiser les championnats d’Europe de badminton et de squash. Je n’ai aucun doute sur le rayonnement de notre complexe sportif.»
Ce moment, je ne vous le cache pas, nous l’attendions depuis plusieurs mois.
Je tiens tout d’abord à remercier les élus du Conseil Communautaire qui ont cru à ce projet et qui par la suite, l’ont toujours soutenu, mais rien n’aurait été possible sans l’appui financier, efficace et décisif de l’Etat et de la Collectivité Territoriale de Corse qui ont participé à l’investissement à hauteur de 50% pour l’Etat, 30% pour la Collectivité Territoriale et 20% d’autofinancement assuré par notre Communauté de communes, financé sans emprunt, je tiens à le souligner.
Je souhaite tout particulièrement à remercier aujourd’hui, au nom de notre micro région, Ange SANTINI, qui a impulsé, appuyé sans relâche, s’est impliqué du début à la fin de ce dossier. Il m’a soutenu et a toujours été à mes côtés ainsi que les Elus du Conseil Communautaire pendant certains moments difficiles.
Cinq dates importantes sont à retenir :
9 Juin 2004 : 1ère délibération du Conseil Communautaire pour le lancement du projet : Appel à concepteur
23 Mars 2007 : Le Préfet de Région, Michel DELPUECH, et le Président du Conseil Exécutif, Ange SANTINI, ont validé en COREPA le financement du Complexe sportif,
1er Septembre 2008 : Le début des travaux,
17 Juin2013 : La réception du bâtiment.
Une inauguration, c’est toujours, pour les initiateurs du projet, un moment de vérité… A-t-on bien fait ? Peut-on s’interroger ? Comment les habitants vont-ils juger notre action ?
Vu l’engouement et la fréquentation de l’établissement depuis l’ouverture, nous avons constaté que nous étions dans la bonne direction, confortée par une politique sociale que tous ensemble, nous avons décidée pour permettre, grâce à des prix attractifs, à toutes les familles d’accéder à nos installations. Aurions-nous pu faire mieux ou plus ?
Oui, nous allons, avec l’appui du président du conseil exécutif, Paul Giacobbi, étendre et améliorer notre Complexe.
Nous sommes là au cœur de notre mission d’Elus locaux, penser, réfléchir à notre développement de demain et aménager nos territoires pour qu’ils soient attractifs et surtout pour que chacun se sente bien là où il vit… C’est une mission passionnante. Je pense très sincèrement, que c’est en effet un droit pour nous tous, de disposer au sein du territoire intercommunal, d’équipements, de structures modernes et de lieux d’animations comme celui-ci. Nous avons fait le choix, du dynamisme, de la jeunesse, de l’espérance. Un développement bien réfléchi, dicté par le bon sens, la coopération, la solidarité et l’action de tous au service de chacun…
A travers cet équipement, nous concrétisons notre souhait de maintenir et développer la pratique sportive mais également et c’est très important, de conforter une réelle vie associative locale.
Le Complexe constitue en effet un excellent vecteur d’échanges et de rencontre.
Le sport, c’est un peu l’école de la vie… on y apprend le dépassement de soi, la discipline, la rigueur, le goût et le sens de l’effort, la solidarité et l’humilité dans la victoire comme dans la défaite (cela peut parfois arriver !). Le sport, c’est avant tout de formidables moments d’échanges, de vérité, de dialogue et de partage. Le sport est également créateur de lien social, de lien entre les générations.
En ces lieux résonnera désormais le souffle de l’effort, de la volonté de bien faire, de l’esprit d’équipe, du respect de l’autre, de la tolérance et de la solidarité.Ce sont des valeurs profondément ancrées dans mon esprit, je sais bien qu’elles le sont aussi dans le vôtre.
Ces valeurs conduisent vers l’harmonie et l’équilibre nécessaire à chacun.
Les équipements qui sont à la disposition de la population, une piscine de 25 mètres et un bassin d’apprentissage, un gymnase avec une tribune de 500 places comprenant un terrain de handball, de volleyball, de basketball, 7 terrains de badminton, 4 courts de squash, un dojo et une salle de danse.
Je veux profiter de cet instant pour féliciter et remercier les Présidents ou Responsables de Clubs ou d’Associations, les nombreux bénévoles, bref toute cette grande famille du sport qui anime nos communes et tissent ensemble ces liens d’amitié si importants au maintien d’une vie sociale.
Je veux leur dire que je mesure tout leur dévouement, leur disponibilité et leur patience : des qualités indispensables à la réussite sportive de tous et notamment les plus jeunes.
Je souhaite remercier toutes celles et tous ceux qui, de près ou de loin ont participé à la construction de ces nouvelles installations et ainsi répondre aux attentes des habitants de notre micro région (le cabinet d’architecte Madotto et Pinna, les bureaux d’études et les entreprises).
Je tiens à souligner, la dimension assez exceptionnelle de ce bâtiment qui concentre en un unique lieu tant d’activités sportives. Les espaces de jeux, homologués, ont été conçus pour accueillir des compétitions, qu’elles soient régionales, nationales voire internationales.
En effet, nous avons déjà été sollicités pour organiser les championnats d’Europe de badminton et de squash. Je n’ai aucun doute sur le rayonnement de notre complexe sportif.»