Après une semaine de grève, le conflit qui oppose la direction et les syndicats STC et CGT sur le versement de la prime COVID semble en voie d’apaisement à l’ADMR de Haute-Corse, comme nous l’indiquions ce dimanche soir. Mais en Corse-du-Sud, la situation n’est pas la même, car chaque ADMR a un employeur distinct.
Vendredi 25 septembre, des avancées ont été obtenues dans le cadre de la session de l’Assemblée de Corse : « La prime a été revalorisée de 1 000 à 1 500 euros et les critères d’attribution ont également été modifiés, ils sont plus favorables » explique Christine Lerouge, déléguée syndicale CGT.
Néanmoins, une partie des salariés reste toujours exclue du dispositif, notamment les personnels administratifs. « On veut une égalité de traitement pour tous les salariés » indique t-elle. C’est pourquoi les syndicats de l’ADMR de Corse-du-Sud poursuivent aujourd’hui le mouvement de grève. Les locaux sont toujours occupés, même de nuit, par plusieurs salariées.
Si le dialogue avec la Collectivité s’est avéré fructueux, c’est celui avec les employeurs qui fait aujourd’hui défaut, selon les syndicats. « L’employeur ne peut pas éternellement se retrancher derrière la Collectivité » souligne Marie Lyne Attard, déléguée syndicale STC.
De nouvelles négociations entre les syndicats et direction sont prévus ce lundi 28 septembre à 15h.
Vendredi 25 septembre, des avancées ont été obtenues dans le cadre de la session de l’Assemblée de Corse : « La prime a été revalorisée de 1 000 à 1 500 euros et les critères d’attribution ont également été modifiés, ils sont plus favorables » explique Christine Lerouge, déléguée syndicale CGT.
Néanmoins, une partie des salariés reste toujours exclue du dispositif, notamment les personnels administratifs. « On veut une égalité de traitement pour tous les salariés » indique t-elle. C’est pourquoi les syndicats de l’ADMR de Corse-du-Sud poursuivent aujourd’hui le mouvement de grève. Les locaux sont toujours occupés, même de nuit, par plusieurs salariées.
Si le dialogue avec la Collectivité s’est avéré fructueux, c’est celui avec les employeurs qui fait aujourd’hui défaut, selon les syndicats. « L’employeur ne peut pas éternellement se retrancher derrière la Collectivité » souligne Marie Lyne Attard, déléguée syndicale STC.
De nouvelles négociations entre les syndicats et direction sont prévus ce lundi 28 septembre à 15h.