Eric Maire / Photo Marilyne SANTI
« Pendant 34 mois, vous avez tenu un poste difficile dans un territoire qui l’est tout autant. Exercer le métier préfectoral en Corse, exige des qualités professionnelles et personnelles hors du commun. Ici, l’Etat est en permanence sur la sellette, ce qui est rassurant, car cela signifie qu’on attend beaucoup de lui et qu’il a son utilité. Et ce qui fonde notre métier de fonctionnaire, c’est justement l’utilité au service de l’intérêt général», soulignera le préfet de Corse-du-Sud.
Secrétaire général de la préfecture de la Corse-du-Sud depuis presque trois ans, Éric Maire, 58 ans, était arrivé en juin 2010 à Ajaccio. Il avait assuré l’intérim de la préfecture durant 6 semaines, il y a deux ans, lors du départ de Stéphane Bouillon, juste avant l’arrivée de Patrick Strzoda.
Responsable de l’affectation des moyens de fonctionnement des 2 préfectures et des 3 sous-préfectures de la Corse, en charge du management interne de la préfecture d’Ajaccio, mais aussi sous-préfet de l’arrondissement du chef lieu, Eric Maire dont « la légitimité et l’autorité étaient reconnues de tous en interne comme en externe » , était un homme privilégiant le dialogue.
Paul Giacobbi, témoignera « de la qualité de la relation que le secrétaire général a entretenu avec les élus, alors que sa fonction de secrétaire général n’appelait pas forcément la facilité. »
Secrétaire général de la préfecture de la Corse-du-Sud depuis presque trois ans, Éric Maire, 58 ans, était arrivé en juin 2010 à Ajaccio. Il avait assuré l’intérim de la préfecture durant 6 semaines, il y a deux ans, lors du départ de Stéphane Bouillon, juste avant l’arrivée de Patrick Strzoda.
Responsable de l’affectation des moyens de fonctionnement des 2 préfectures et des 3 sous-préfectures de la Corse, en charge du management interne de la préfecture d’Ajaccio, mais aussi sous-préfet de l’arrondissement du chef lieu, Eric Maire dont « la légitimité et l’autorité étaient reconnues de tous en interne comme en externe » , était un homme privilégiant le dialogue.
Paul Giacobbi, témoignera « de la qualité de la relation que le secrétaire général a entretenu avec les élus, alors que sa fonction de secrétaire général n’appelait pas forcément la facilité. »
Eric Maire, s’est dit triste de quitter cette île où il avait tissé de nombreux liens, « mais ce départ c’est aussi la récompense d’un travail collectif, réalisé depuis près de trois ans. C’est aussi la satisfaction de voir son travail reconnu, d’abord par son préfet, ensuite par le ministère de l’intérieur. Cette réussite je la dois au travail, à un peu de talent et beaucoup de chance. La chance d’avoir rencontré un environnement humain exceptionnel, au total engagement… » Eric Maire remerciera les élus, venus nombreux, « car à travers ma personne c’est l’état qu’ils honorent et l’Etat est respecté en Corse, ce qui facilite le travail de ses représentants. »
« Une Corse chaleureuse, une Corse accueillante, une Corse qui entreprend, une Corse qui croit au développement et à la paix, une Corse qui prépare l’avenir de ses enfants » conclura t-il, non sans avoir prononcé quelques mots en Corse.
« Une Corse chaleureuse, une Corse accueillante, une Corse qui entreprend, une Corse qui croit au développement et à la paix, une Corse qui prépare l’avenir de ses enfants » conclura t-il, non sans avoir prononcé quelques mots en Corse.