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François-Xavier Ceccoli sera de retour sur le terrain pour mener une nouvelle campagne pour les élections législatives du 30 juin et 7 juillet. Il repart comme en 2022 avec Hélène Astolfi, deuxième adjointe à la mairie de Calvi qui était sa suppléante lors des dernières élections.
Il y a deux ans, plus de 16621 électeurs ont adhéré à sa vision : "J’y vais par combat, mais c'est aussi par devoir de représenter ceux qui m’ont fait confiance et pour poursuivre l’engagement en espérant une issue favorable à cette fois-ci." Par rappel, seulement 156 voix ont fait la différence en faveur du député de Femu a Corsica, Jean-Félix Acquaviva. Encore une fois, le maire de San Giulianu et président de la fédération Les Républicains de Haute-Corse, candidatera sans arborer les couleurs du parti de droite. Un choix motivé par un "sujet transpartisant" incarné par la situation de la Corse, que Ceccoli juge désastreuse après la mandature nationaliste de Gilles Simeoni à l'exécutif de l'Assemblée de Corse : "Nous assistons malheureusement à une déconfiture totale. Les finances qui sont exsangues. La commande publique est à l'arrêt. Le sujet des déchets n’est toujours pas réglé. C’est malheureusement une longue litanie d'un échec en continu. L'idée de ce présenter aux électeurs une autre manière de faire de la politque."
Il y a deux ans, plus de 16621 électeurs ont adhéré à sa vision : "J’y vais par combat, mais c'est aussi par devoir de représenter ceux qui m’ont fait confiance et pour poursuivre l’engagement en espérant une issue favorable à cette fois-ci." Par rappel, seulement 156 voix ont fait la différence en faveur du député de Femu a Corsica, Jean-Félix Acquaviva. Encore une fois, le maire de San Giulianu et président de la fédération Les Républicains de Haute-Corse, candidatera sans arborer les couleurs du parti de droite. Un choix motivé par un "sujet transpartisant" incarné par la situation de la Corse, que Ceccoli juge désastreuse après la mandature nationaliste de Gilles Simeoni à l'exécutif de l'Assemblée de Corse : "Nous assistons malheureusement à une déconfiture totale. Les finances qui sont exsangues. La commande publique est à l'arrêt. Le sujet des déchets n’est toujours pas réglé. C’est malheureusement une longue litanie d'un échec en continu. L'idée de ce présenter aux électeurs une autre manière de faire de la politque."
"C’est le quotidien des corses qui m’intéresse"
Cette campagne électorale éclair et compliquée à appréhender se basera sur de la communication sur les réseaux sociaux et sur des éventuelles réunions publiques, confie le candidat. Le fer de lance de la campagne de François-Xavier Ceccoli s'organisera sur plusieurs points forts. " Je mettrai un point d’honneur au problème qui n’a pas été diminué" pointe -t-il. Les ressources en eau sont également au centre du programme du maire de San Giulianu. Celui-ci demande, "un plan Marshall de quinze milliards d'euros sur 15 ans, afin de remettre à niveau les besoins en eau de l'île, qui sont en alerte depuis février". Le candidat souhaite s'engager pour améliorer la vie des insulaires en appuyant trois autres points majeurs : "C’est le quotidien des corses qui m’intéresse comme le pouvoir d’achat, le problème de la santé avec l’hôpital de Bastia qui est d’ailleurs, dans un état catastrophique. L'état de nos routes est aussi désolant. Il faut un nouveau Plan Exceptionnel d'Investissement (PEI).