Jean-François Bernardini, 1er invité du colloque, Fondateur des « I Muvrini » s’est exprimé durant cette première soirée, pour la non-violence en Corse et a invité le public à réfléchir sur un sujet pour le moins sensible.
La corse est-elle une terre de non-violence ?
Jean-François Bernardini a répondu à la question du soir avec une grande sagesse et humilité en donnant sa vision personnelle. Il a appris à dire non à une forme de mensonge sur l’image de la Corse, dont le trauma, selon, lui subsiste dans l’inconscient collectif depuis si longtemps.
Un grand silence, une écoute dans l’assemblée ce soir-là suivi d’un débat où le public, s’est retrouvé face à un sujet qui touche et remue à l’heure où les médias annoncent régulièrement des événements d’une grande violence, ailleurs comme en Corse, subis de près ou de loin par les populations. Il va s’en dire que le thème de ces rencontres interpelle et renvoie à une pensée commune.
« La Corse est une terre de non-violence, selon Jean-François Bernardini, elle y aspire tout du moins si l’on considère « le ras le bol » général de la population face aux évènements parfois très durs. Il demeure une profonde volonté de cultiver la non-violence en Corse, une réelle aversion à l’inégalité et à l’injustice. Se résigner n’est pas dire Non. Etre violent face à la violence n’est pas dire Non. La seule alternative est la non-violence. Que faire de la colère, de la douleur ? Répondre par les mêmes gestes revanchistes ? Non, le meurtre n’est pas négociable », souligne-t-il avec gravité.
La corse est-elle une terre de non-violence ?
Jean-François Bernardini a répondu à la question du soir avec une grande sagesse et humilité en donnant sa vision personnelle. Il a appris à dire non à une forme de mensonge sur l’image de la Corse, dont le trauma, selon, lui subsiste dans l’inconscient collectif depuis si longtemps.
Un grand silence, une écoute dans l’assemblée ce soir-là suivi d’un débat où le public, s’est retrouvé face à un sujet qui touche et remue à l’heure où les médias annoncent régulièrement des événements d’une grande violence, ailleurs comme en Corse, subis de près ou de loin par les populations. Il va s’en dire que le thème de ces rencontres interpelle et renvoie à une pensée commune.
« La Corse est une terre de non-violence, selon Jean-François Bernardini, elle y aspire tout du moins si l’on considère « le ras le bol » général de la population face aux évènements parfois très durs. Il demeure une profonde volonté de cultiver la non-violence en Corse, une réelle aversion à l’inégalité et à l’injustice. Se résigner n’est pas dire Non. Etre violent face à la violence n’est pas dire Non. La seule alternative est la non-violence. Que faire de la colère, de la douleur ? Répondre par les mêmes gestes revanchistes ? Non, le meurtre n’est pas négociable », souligne-t-il avec gravité.
Envoyer à un ami
Version imprimable
