Dans le n° 3203 de l'hebdomadaire l'Express en date du 21 novembre 2012, Christophe BARBIER, l'homme à l'écharpe rouge, s'est fendu d'un éditorial intitulé :« Corse, réveille toi ! »
Certes l'individu est coutumier des attaques violentes contre les Corses mais cette fois ci le propos tutoie les sommets sur l'échelle de l'ostracisme, de l'injure et de l'insulte.
Selon cet éminent journaliste nous confondrions « orgueil » avec « honneur » , nous serions à dessein sourds et aveugles et enfin nous serions « le plus grand gachis de la république »et « l'enfant perdu de l'histoire de France ».
Non, Monsieur BARBIER, votre carte de journaliste vous confère certes une totale liberté de parole et d'écriture mais cette dernière s'arrête là où commence le propos diffamatoire.
Comment pouvez vous affirmer que la majorité d'entre nous semble se résigner voire se satisfaire des dérives qui affectent notre ile ?
Comment osez vous écrire que les CORSES seraient, tout compte fait, de la même espèce que les criminels ?
Non, Monsieur BARBIER, en déversant votre fiel, au risque de tacher votre belle écharpe rouge, vous ne reglez rien car à l'évidence vous ne connaissez pas grand chose aux problèmes qui sont les notres
Vous vous êtes montré méprisant à notre égard.
Prenez garde de ne devenir vous même méprisable et cela ne sera la faute de personne, hors la votre.
Certes l'individu est coutumier des attaques violentes contre les Corses mais cette fois ci le propos tutoie les sommets sur l'échelle de l'ostracisme, de l'injure et de l'insulte.
Selon cet éminent journaliste nous confondrions « orgueil » avec « honneur » , nous serions à dessein sourds et aveugles et enfin nous serions « le plus grand gachis de la république »et « l'enfant perdu de l'histoire de France ».
Non, Monsieur BARBIER, votre carte de journaliste vous confère certes une totale liberté de parole et d'écriture mais cette dernière s'arrête là où commence le propos diffamatoire.
Comment pouvez vous affirmer que la majorité d'entre nous semble se résigner voire se satisfaire des dérives qui affectent notre ile ?
Comment osez vous écrire que les CORSES seraient, tout compte fait, de la même espèce que les criminels ?
Non, Monsieur BARBIER, en déversant votre fiel, au risque de tacher votre belle écharpe rouge, vous ne reglez rien car à l'évidence vous ne connaissez pas grand chose aux problèmes qui sont les notres
Vous vous êtes montré méprisant à notre égard.
Prenez garde de ne devenir vous même méprisable et cela ne sera la faute de personne, hors la votre.
Envoyer à un ami
Version imprimable
