Moment de recuillement devant le monument où les noms de 200 victimes de la grande guerre sont gravés dans le marbre.
« C’est un devoir de mémoire que nous nous devons d’avoir. On y travaille depuis la rentrée » explique Pierre Rossi, le principal du collège Simon-Vinciguerra.
Elèves internes ou enseignants du Lycée de garçons de Bastia entre 1914 et 1918, ils furent envoyés au front. Les noms de 200 d'entre eux, victimes de cette Grande Guerre, sont depuis 1920 gravés dans le marbre dans l’enceinte même de l’établissement. 200 hommes jeunes, de toute l'île dont les noms ont été cités par les collégiens. Ils étaient aviateurs, télégraphistes, aspirants, brigadiers, sous-lieutenants, capitaines au long cours, de simples soldats, certains à peine bacheliers et tout juste âgés de 17 ans.
En présence de Philippe Peretti, adjoint au patrimoine, représentant le maire de Bastia, des extraits de lettres de poilus ont été lus par les élèves et des chants interprétés par la classe CHAM du collège. Après un dépôt de gerbes et une minute de silence, la chorale a entonné le Diu vi Salve Regina. Un beau moment émouvant, de partage.
«Il est très important de faire ce devoir de mémoire. Notre mission à nous élèves, est de perpétuer cet hommage, de transmettre ce devoir de mémoire, de faire en sorte qu’on n’oublie pas les victimes de cette terrible guerre », déclare Mattea, élève de 3e.
Elèves internes ou enseignants du Lycée de garçons de Bastia entre 1914 et 1918, ils furent envoyés au front. Les noms de 200 d'entre eux, victimes de cette Grande Guerre, sont depuis 1920 gravés dans le marbre dans l’enceinte même de l’établissement. 200 hommes jeunes, de toute l'île dont les noms ont été cités par les collégiens. Ils étaient aviateurs, télégraphistes, aspirants, brigadiers, sous-lieutenants, capitaines au long cours, de simples soldats, certains à peine bacheliers et tout juste âgés de 17 ans.
En présence de Philippe Peretti, adjoint au patrimoine, représentant le maire de Bastia, des extraits de lettres de poilus ont été lus par les élèves et des chants interprétés par la classe CHAM du collège. Après un dépôt de gerbes et une minute de silence, la chorale a entonné le Diu vi Salve Regina. Un beau moment émouvant, de partage.
«Il est très important de faire ce devoir de mémoire. Notre mission à nous élèves, est de perpétuer cet hommage, de transmettre ce devoir de mémoire, de faire en sorte qu’on n’oublie pas les victimes de cette terrible guerre », déclare Mattea, élève de 3e.