Le mouvement lancé il y a quelques jours dans de nombreux établissements scolaires de l'île, s'est répandu au lycée de la Plaine Orientale
Vendredi matin les élèves, réunis devant les grilles de l'établissement, ont manifesté contre la censure du Conseil constitutionnel des arrêtés Miot et pour réclamer la coofficialité de la langue corse notamment
Ce sont donc près de 150 élèves qui ont souhaité exprimer leur mécontentement, à l'aide de banderoles sur lesquelles on pouvait lire par exemple : "Simu di stu paese ci vulemu campà".
La solidarité était de mise, ici aucun blocage de l'accès aux cours n'a été nécessaire pour marquer les esprits. 100% des élèves sont restés à l'extérieur en signe de soutien.
Des palettes et des pneus ont été incendiés.
Sur place la gendarmerie et les sapeurs pompiers de Ghisonaccia assuraient la sécurité.
Une manifestation qui s'est déroulée sans heurts et dans une ambiance bon enfant.
Le piquet de grève devait rester en place toute la journée.
Le but principal des lycéens était de faire passer leur message, c'est désormais chose faite.
Vendredi matin les élèves, réunis devant les grilles de l'établissement, ont manifesté contre la censure du Conseil constitutionnel des arrêtés Miot et pour réclamer la coofficialité de la langue corse notamment
Ce sont donc près de 150 élèves qui ont souhaité exprimer leur mécontentement, à l'aide de banderoles sur lesquelles on pouvait lire par exemple : "Simu di stu paese ci vulemu campà".
La solidarité était de mise, ici aucun blocage de l'accès aux cours n'a été nécessaire pour marquer les esprits. 100% des élèves sont restés à l'extérieur en signe de soutien.
Des palettes et des pneus ont été incendiés.
Sur place la gendarmerie et les sapeurs pompiers de Ghisonaccia assuraient la sécurité.
Une manifestation qui s'est déroulée sans heurts et dans une ambiance bon enfant.
Le piquet de grève devait rester en place toute la journée.
Le but principal des lycéens était de faire passer leur message, c'est désormais chose faite.