Intitulé «Les mauvais sujets», le nouveau roman du duo Michèle Corotti et Philippe Petretti a été présenté ce weekend à la librairie des deux mondes de Bastia. Devant un public venu nombreux assister à la lecture et signature du livre, les auteurs ont présenté leur nouveau roman inspiré par l’histoire de la conquête française de l’ile.
« Apres avoir raconté dans notre premier livre l’histoire de Bastia pendant les années du fascisme, – nous dit Philippe Peretti – j’ai eu envie d’enquêter sur un moment charnière de l’histoire de la Corse qui nous a éloigné de l’Italie. ».
Dans ce deuxième roman le choix et la recherche documentaire, parfois inédites, sont à mettre au crédit de Philippe Peretti, la plume et l’imagination romanesque de celui Michèle Corrotti.
A partir de l’histoire de la conquête française de l’île, les auteurs ont mêlé aux personnages réels, des personnages inventés, des faits imaginés à des fait avérés pour le plus grand plaisir des lecteurs.
Dans ce deuxième roman le choix et la recherche documentaire, parfois inédites, sont à mettre au crédit de Philippe Peretti, la plume et l’imagination romanesque de celui Michèle Corrotti.
A partir de l’histoire de la conquête française de l’île, les auteurs ont mêlé aux personnages réels, des personnages inventés, des faits imaginés à des fait avérés pour le plus grand plaisir des lecteurs.
Le roman raconte des faits se déroulant entre 1768 et 1770, le protagoniste c'est un tout jeune Mirabeau, le mauvais sujet, phénomène de laideur et de précocité, catapulté parmi les Corses, mauvais sujets de sa Majesté Louis XV. C’est le moment charnière de l'histoire de Corse où la France prend possession de l’île, et de Bastia, ville de garnison et cité marchande.
« C’est Philippe qui est historien qui trouve les sujets. – explique à CNI Michèle Corrotti - Il savait que Mirabau était venu à Bastia au moment de la bataille de Ponte Novu, quand la France se saisit de la Corse. Il a réuni une documentation considérable et moi j’ai inventé des rebondissements et des intrigues en écrivant ce livre dans l’esprit du dix-huitième siècle, une époque que, en tant que professeure de littérature, j’affection particulièrement. ».
L'un des mérites de l'ouvrage au-delà d'une histoire romancée fort bien racontée, c'est qu'il s'y trouve pour les Corses d'aujourd'hui des leçons toujours actuelles, qu'ils feraient bien de garder à l'esprit.
« C’est Philippe qui est historien qui trouve les sujets. – explique à CNI Michèle Corrotti - Il savait que Mirabau était venu à Bastia au moment de la bataille de Ponte Novu, quand la France se saisit de la Corse. Il a réuni une documentation considérable et moi j’ai inventé des rebondissements et des intrigues en écrivant ce livre dans l’esprit du dix-huitième siècle, une époque que, en tant que professeure de littérature, j’affection particulièrement. ».
L'un des mérites de l'ouvrage au-delà d'une histoire romancée fort bien racontée, c'est qu'il s'y trouve pour les Corses d'aujourd'hui des leçons toujours actuelles, qu'ils feraient bien de garder à l'esprit.