C’est accompagné de Jean-Christophe Angelini, le président de l’ADEC mais aussi des conseillers territoriaux de la microrégion Joseph Pucci, Paul-André Colombani et Julie Giuseppi, que Jean-Felix Acquaviva a entamé sa visite.
Le coup d’envoi fut donné le matin, depuis Bonifacio, en présence du maire Jean-Charles Orsucci. « C’est le moment d’entamer une réflexion stratégique concernant les ports de Porto-Vecchio et Bonifacio. Il ne faut rien s’interdire car au-delà de l’avenir des ports, c’est l’avenir de ces territoires qui est en jeu. Nous allons le construire ensemble, sans tabou » précisa d’emblée le président de l’OTC.
Il n’est pas venu les mains vides. Dans sa besace, la modique somme de 13 millions d’Euros pour la cité des Falaises. 8 Millions pour la réfection du quai n°4, et les 5 autres pour celle du Quai n°2. C’est que la continuité maritime transfrontalière Corso-Sarde arrive à grands pas, cet été plus précisément, et qu’au-delà de l’avenir des ports, « c’est celui du développement économique dont il est question » martela Jean-Felix Acquaviva.
L’ouverture sur la Méditerranée et les coopérations stratégiques qui en découlent font partie des engagements programmatiques majeurs de la nouvelle majorité. Ils ont été réaffirmés à l’occasion de cette journée. Il va de soi que le modèle à construire en terme de trafic est tout à la fois économique et sociétal tant il est question d’échanges culturels avec « l’île sœur », distante d’à peine 320 kilomètres d’avec la Corse. Jouer la complémentarité entre Propriano-Bonifacio et Porto-Vecchio, c’est-à-dire les 3 ports de l’extrême-Sud fut également versé au débat avec en corollaire la réaffirmation que le port de Porto-vecchio ne serait plus « le parent pauvre » précisa Jean-Christophe Angelini. « Quand un bateau arrive, ce sont des retombées pour tout l’extrême Sud » exhorta le président de l’Adec.
Le coup d’envoi fut donné le matin, depuis Bonifacio, en présence du maire Jean-Charles Orsucci. « C’est le moment d’entamer une réflexion stratégique concernant les ports de Porto-Vecchio et Bonifacio. Il ne faut rien s’interdire car au-delà de l’avenir des ports, c’est l’avenir de ces territoires qui est en jeu. Nous allons le construire ensemble, sans tabou » précisa d’emblée le président de l’OTC.
Il n’est pas venu les mains vides. Dans sa besace, la modique somme de 13 millions d’Euros pour la cité des Falaises. 8 Millions pour la réfection du quai n°4, et les 5 autres pour celle du Quai n°2. C’est que la continuité maritime transfrontalière Corso-Sarde arrive à grands pas, cet été plus précisément, et qu’au-delà de l’avenir des ports, « c’est celui du développement économique dont il est question » martela Jean-Felix Acquaviva.
L’ouverture sur la Méditerranée et les coopérations stratégiques qui en découlent font partie des engagements programmatiques majeurs de la nouvelle majorité. Ils ont été réaffirmés à l’occasion de cette journée. Il va de soi que le modèle à construire en terme de trafic est tout à la fois économique et sociétal tant il est question d’échanges culturels avec « l’île sœur », distante d’à peine 320 kilomètres d’avec la Corse. Jouer la complémentarité entre Propriano-Bonifacio et Porto-Vecchio, c’est-à-dire les 3 ports de l’extrême-Sud fut également versé au débat avec en corollaire la réaffirmation que le port de Porto-vecchio ne serait plus « le parent pauvre » précisa Jean-Christophe Angelini. « Quand un bateau arrive, ce sont des retombées pour tout l’extrême Sud » exhorta le président de l’Adec.
A ce titre, l’office des transports s’est engagé à mettre en place les fameuses opérations de dragage nécessaires au développement du port de Porto-Vecchio. A la clé, 12 millions d’Euros versés par la collectivité. Et qui vont s’échelonner sur la période 2017-2019.
Autres sujet sensible évoqué : l’intermodalité. Car à Porto-Vecchio, en effet, manque le ferroviaire comme chacun sait. Et le président de l’OTC a pu revenir sur l’excèdent de l’enveloppe de continuité territoriale. Il a pu annoncer que 550.000 € pour la route et le rail et plus précisément pour l’aménagement de l’entrée de Sainte Lucie étaient à l’étude.
Enfin, c’est par l’aéroport de Figari que se clôturait cette visite. Avec là encore une annonce : 15 à 18 millions d’euros alloués au renforcement de la piste et 5 millions d’Euros pour l’extension du parking commercial.
Un déplacement qui en en appelle d’autres.
Rendez –vous est donc pris au printemps prochain pour évoquer un thème en particulier : la spécialisation des ports de l’extrême Sud. Ou l’autre nom du « saut qualitatif », terme maintes fois évoqué pendant ce périple dans l’extrême Sud.
Autres sujet sensible évoqué : l’intermodalité. Car à Porto-Vecchio, en effet, manque le ferroviaire comme chacun sait. Et le président de l’OTC a pu revenir sur l’excèdent de l’enveloppe de continuité territoriale. Il a pu annoncer que 550.000 € pour la route et le rail et plus précisément pour l’aménagement de l’entrée de Sainte Lucie étaient à l’étude.
Enfin, c’est par l’aéroport de Figari que se clôturait cette visite. Avec là encore une annonce : 15 à 18 millions d’euros alloués au renforcement de la piste et 5 millions d’Euros pour l’extension du parking commercial.
Un déplacement qui en en appelle d’autres.
Rendez –vous est donc pris au printemps prochain pour évoquer un thème en particulier : la spécialisation des ports de l’extrême Sud. Ou l’autre nom du « saut qualitatif », terme maintes fois évoqué pendant ce périple dans l’extrême Sud.