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Alors que les discussions sur l'avenir institutionnel et l'autonomie de la Corse sont en cours, les organisations syndicales représentatives d’Air France Court Courrier (FO et CGT) réunies ce mercredi, sollicitent une rencontre avec le président de l'exécutif afin de réaffirmer leur volonté et leur détermination à préserver les emplois locaux, tout en maintenant un service de qualité pour les usagers.
Selon les syndicats, l'arrivée de nouvelles compagnies low-cost étrangères, "axées uniquement sur le profit," menace sérieusement le modèle du partenariat historique entre Air France et Air Corsica, tant sur le plan social qu'économique. Ils pointent du doigt la compagnie low-cost espagnole Volotea, accusée de chercher à siphonner les fonds alloués à la continuité territoriale, rappelant une tentative similaire par la défunte compagnie Air Littoral en 1999.
Les syndicats insistent sur la convergence d'intérêts entre les usagers et les personnels, soulignant que la garantie de formations qualifiantes pour les employés et l'assurance de maintenir leurs emplois en Corse sont essentielles. De même, "pour les usagers, la régularité, la ponctualité, et une prise en charge adéquate des critères fondamentaux du service public, tels que le transport des malades, des enfants non accompagnés, des civières et du fret sensible, sont des éléments cruciaux."
Ils rappellent également que "actuellement, pour chaque euro investi dans le secteur aérien insulaire, 3 euros sont réinjectés dans l'économie corse, notamment grâce au tourisme et aux emplois directs et indirects qu'il génère."
Face à l'arrivée potentielle de Volotea, les syndicats mettent en garde contre le spectre de l'effondrement économique et social de la Corse.
Les syndicats appellent donc les élus à prendre en compte "les multiples dangers que représente l'arrivée éventuelle de cette compagnie low-cost, dont les pratiques commerciales suscitent des doutes quant à son engagement en faveur de la Corse, au détriment des intérêts financiers de ses actionnaires et des profits générés."
Selon les syndicats, l'arrivée de nouvelles compagnies low-cost étrangères, "axées uniquement sur le profit," menace sérieusement le modèle du partenariat historique entre Air France et Air Corsica, tant sur le plan social qu'économique. Ils pointent du doigt la compagnie low-cost espagnole Volotea, accusée de chercher à siphonner les fonds alloués à la continuité territoriale, rappelant une tentative similaire par la défunte compagnie Air Littoral en 1999.
Les syndicats insistent sur la convergence d'intérêts entre les usagers et les personnels, soulignant que la garantie de formations qualifiantes pour les employés et l'assurance de maintenir leurs emplois en Corse sont essentielles. De même, "pour les usagers, la régularité, la ponctualité, et une prise en charge adéquate des critères fondamentaux du service public, tels que le transport des malades, des enfants non accompagnés, des civières et du fret sensible, sont des éléments cruciaux."
Ils rappellent également que "actuellement, pour chaque euro investi dans le secteur aérien insulaire, 3 euros sont réinjectés dans l'économie corse, notamment grâce au tourisme et aux emplois directs et indirects qu'il génère."
Face à l'arrivée potentielle de Volotea, les syndicats mettent en garde contre le spectre de l'effondrement économique et social de la Corse.
Les syndicats appellent donc les élus à prendre en compte "les multiples dangers que représente l'arrivée éventuelle de cette compagnie low-cost, dont les pratiques commerciales suscitent des doutes quant à son engagement en faveur de la Corse, au détriment des intérêts financiers de ses actionnaires et des profits générés."