Stéphane Meloni a décidé de mettre ses compétences au service des femmes. A 42 ans, ce passionné d’arts martiaux depuis l’enfance a crée, à Lucciana, il y a 12 ans, un club de krav maga, une méthode d’auto-défense développée par l’armée israélienne afin de répondre de façon efficace et rapide à des situations menaçantes.
La discipline s’est répandue au fil des années dans la société civile et attire aujourd’hui de nombreuses femmes. "Depuis trois ans, je constate que le public féminin s’intéresse de façon accrue à cette pratique, et dès le plus jeune puisque dans notre cours destiné aux enfants il y a une majorité de jeunes filles. Les parents veulent que leurs enfants soient capables de se défendre en cas d’agression. C’est assez nouveau".
Et pas besoin d’être une superwoman pour pratiquer. C’est bien là tout l’intérêt. « Une femme de 40 kilos peut très bien faire face à un homme de 90 ou 100 kilos, poursuit l’instructeur, car on travaille sur des zones de frappe de points sensibles telles que les parties génitales, le tirage de cheveux, les doigts dans les yeux ou encore la frappe au niveau des articulations ».
Le krav maga s’adapte ainsi à tous types de situations et peut véritablement sauver la vie. « On essaye de parer à toutes types d’agressions que pourraient rencontrer les femmes grâce à des gestes simples. Ca peut être un homme qui vous met un coup de poing, une gifle, une tentative de viol où la femme est sur le dos, qui vous attrape le poignet durement pour vous ceinturer. »
C’est ce qui a motivé Marie-Dominique, 52 ans. Elle fréquente le cours de Stéphane depuis plusieurs années. Sa motivation : apprendre à se défendre et ne plus être une victime. « Ca m’a vraiment aidé à gagner confiance en moi, me sentir mieux, et être plus ouverte aux autres. J’incite toutes les femmes à essayer ».
Outre les cours dispensés au Cosec de Lucciania, Krav Maga Corse organise régulièrement des stages à destination du public féminin. Le club est d’ailleurs partenaire de l’association de lutte contre les violences faites aux femmes Donne di Corsica.
Conscient de l’augmentation continuelle des violences, Stéphane souhaiterait pouvoir multiplier les actions, et pourquoi pas intervenir dans les établissements scolaires.
La discipline s’est répandue au fil des années dans la société civile et attire aujourd’hui de nombreuses femmes. "Depuis trois ans, je constate que le public féminin s’intéresse de façon accrue à cette pratique, et dès le plus jeune puisque dans notre cours destiné aux enfants il y a une majorité de jeunes filles. Les parents veulent que leurs enfants soient capables de se défendre en cas d’agression. C’est assez nouveau".
Et pas besoin d’être une superwoman pour pratiquer. C’est bien là tout l’intérêt. « Une femme de 40 kilos peut très bien faire face à un homme de 90 ou 100 kilos, poursuit l’instructeur, car on travaille sur des zones de frappe de points sensibles telles que les parties génitales, le tirage de cheveux, les doigts dans les yeux ou encore la frappe au niveau des articulations ».
Le krav maga s’adapte ainsi à tous types de situations et peut véritablement sauver la vie. « On essaye de parer à toutes types d’agressions que pourraient rencontrer les femmes grâce à des gestes simples. Ca peut être un homme qui vous met un coup de poing, une gifle, une tentative de viol où la femme est sur le dos, qui vous attrape le poignet durement pour vous ceinturer. »
C’est ce qui a motivé Marie-Dominique, 52 ans. Elle fréquente le cours de Stéphane depuis plusieurs années. Sa motivation : apprendre à se défendre et ne plus être une victime. « Ca m’a vraiment aidé à gagner confiance en moi, me sentir mieux, et être plus ouverte aux autres. J’incite toutes les femmes à essayer ».
Outre les cours dispensés au Cosec de Lucciania, Krav Maga Corse organise régulièrement des stages à destination du public féminin. Le club est d’ailleurs partenaire de l’association de lutte contre les violences faites aux femmes Donne di Corsica.
Conscient de l’augmentation continuelle des violences, Stéphane souhaiterait pouvoir multiplier les actions, et pourquoi pas intervenir dans les établissements scolaires.