crédit photo : Anton Prevrel
Depuis maintenant deux ans le cinéaste a abandonné la politique et ses charges électives. Il semble avoir augmenté ses cadences de tournages. L'hiver dernier avec son équipe il a tourné 6 films et un entretien. La maturité aidant, son travail se tourne de plus en plus vers l'international. De films expérimentaux en productions prestigieuses, le réalisateur nous a donner à voir les multiples facettes de son talent. Pour la première fois, il explore les codes du cinéma fantastique. The Man Who Dreamed Of Fearyland est un film délicatement parsemé d'effets spéciaux, de lutins, de fées, de reine diabolique, de druide-dieu-guerrier, de nombreuses fiancées rousses incandescentes, d'images sublimes et de paysages à couper le souffle, d'une musique épique et de séquences émotion.
Journal d'un tournage
La mobilisation autour de ce projet fut immense, et en particulier pour une scène complètement surréaliste et fantasmagorique qui s'est déroulée un dimanche de septembre dans le golfe d'Ajaccio : ''Silence... Moteur... ça tourne ... annonce : The Man Who Dreamed Of Fearyland séquence 33 première ... et Action !'' Dans la torpeur de l'aube, sur une plage de sable blanc, seules quelques mouettes rieuses osent braver l'interdit et émettent des cris secs. De petites vagues déferlent sur la bute, un peu plus haut une centaine de personnes, quelques chiens et un serpent retiennent leur souffle. Il est 6 heures trente, le soleil caresse délicatement de ses rayons dorés le voile d'une mariée, car il s'agit bien d'une marche nuptiale que l'on filme, nuptiale et funeste.
Isabelle, qui interprète Aisling la fiancée maudite, part avec son cortège pour rejoindre Faeryland, le pays des sirènes. Derrière elle des hommes et des femmes en habits d'époque, tenues gothiques, nues corps peints, robes impériales et costumes traditionnels. Les chiens solidement tenu par leurs maîtres s'observent dubitatifs. Depuis trois heures du matin on s'affaire à la technique, Cindy la maquilleuse est la première dans les loges de l'hôtel Marina Viva, car elle doit entièrement peindre le corps de son modèle, un arbre, une œuvre d'art. Franck, le chef opérateur, prépare son matériel : objectifs, caméra, caisson sous-marin et drone pour les vues aériennes sont prêts pour le tournage. Le tournage est dense. Il est 5 heures du matin, Victor et Stéphane apportent les costumes du Sofitel. Le prestigieux établissement de Porticcio a été largement privatisé pendant 4 jours et a servi de plateaux de tournage à Magà Ettori et son équipe. Salon, plage privée, chambre, spa et même la boutique Nine de Francesca Benvenuti au sein du Sofitel ont été investis par le cinéaste pour tourner des séquences du film. A deux heures du matin, Magà achevait sa dernière scène avec Marion, Alexandra, Aline, Emilie et Morgane cinq top-models simplement vêtus de fines pièces de lingerie de la marque GLC créées à la demande du cinéaste par Ghislaine Laurent. Lors de la scène précédente c'est Marion, Mélanie et Lauren qui montraient l'étendue de leur talent.
Avec ce conte initiatique entièrement tourné en anglais, une diffusion en France mais également en Irlande et aux Etats-Unis, Magà Ettori ouvre la voie vers une carrière internationale. En 1992 déjà, Magà avait créé un collectif d'artistes citoyens du Monde, il lui aura fallu plus de 20 ans d'efforts soutenus, un projet fantastique et l'aide de nombreuses fées, trolles, gnomes et autres sirènes pour atteindre son objectif
Isabelle, qui interprète Aisling la fiancée maudite, part avec son cortège pour rejoindre Faeryland, le pays des sirènes. Derrière elle des hommes et des femmes en habits d'époque, tenues gothiques, nues corps peints, robes impériales et costumes traditionnels. Les chiens solidement tenu par leurs maîtres s'observent dubitatifs. Depuis trois heures du matin on s'affaire à la technique, Cindy la maquilleuse est la première dans les loges de l'hôtel Marina Viva, car elle doit entièrement peindre le corps de son modèle, un arbre, une œuvre d'art. Franck, le chef opérateur, prépare son matériel : objectifs, caméra, caisson sous-marin et drone pour les vues aériennes sont prêts pour le tournage. Le tournage est dense. Il est 5 heures du matin, Victor et Stéphane apportent les costumes du Sofitel. Le prestigieux établissement de Porticcio a été largement privatisé pendant 4 jours et a servi de plateaux de tournage à Magà Ettori et son équipe. Salon, plage privée, chambre, spa et même la boutique Nine de Francesca Benvenuti au sein du Sofitel ont été investis par le cinéaste pour tourner des séquences du film. A deux heures du matin, Magà achevait sa dernière scène avec Marion, Alexandra, Aline, Emilie et Morgane cinq top-models simplement vêtus de fines pièces de lingerie de la marque GLC créées à la demande du cinéaste par Ghislaine Laurent. Lors de la scène précédente c'est Marion, Mélanie et Lauren qui montraient l'étendue de leur talent.
Avec ce conte initiatique entièrement tourné en anglais, une diffusion en France mais également en Irlande et aux Etats-Unis, Magà Ettori ouvre la voie vers une carrière internationale. En 1992 déjà, Magà avait créé un collectif d'artistes citoyens du Monde, il lui aura fallu plus de 20 ans d'efforts soutenus, un projet fantastique et l'aide de nombreuses fées, trolles, gnomes et autres sirènes pour atteindre son objectif
Partenaires associés
Atelier C'Fée, Boutique Nine, Brasserie Pietra, Brigitte Mattei création, Clos Capitoro, Claire Garvey, Comité Sampiero Corso, Corse net infos, Corsxtrem, C-Red, Club Marina viva, Crena Care, Eclat Mezzavia, Ecole Monique Mufraggi, Evidanse, Ghislaine Laurent Création- GLC, Institut Régional du Cinéma et de l'Audiovisuel, Jeremy Bueno, Kulturarte, Les Jupon de Tess, New Shop, Neo Ciné TV, Nine-Home, Romain Thévenin Paris, Salon l'Atmosph'Air, Sofitel Golfe d'Ajaccio, Worldino Productions.
https://www.facebook.com/fearyland?ref=hl
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