" Nous rêvons tous d'une Méditerranée de paix. " C'est ce qu'a expliqué Jean-Valère Geronimi, président du CPIE Bastia "U Marinu". A travers cet événement, crée pour la première fois en 1994, l'organisation cherche à "développer chez la jeunesse un sentiment méditerranéen, afin d'avancer vers une stabilisation durable des générations à mieux connaître et protéger ce milieu de vie riche et fragile".
En effet, la mer Méditerranée est réputée pour être la région maritime la plus polluée du globe où se mêlent bétonnisation excessive, trafic maritime intense, et par conséquent une biodiversité de plus en plus menacée.
L'occasion donc, pour cette rencontre annuelle, de "promouvoir cette mer en danger comme une aire éco-culturelle de solidarité et de paix".
Si en 2018, 1 600 enfants ont pu assister à cette rencontre, Jean-Valère Geronimi espère cette année voir ce chiffre s'accroître. "Notre démarche, avec l'Office de l'Environnement, est d'encourager les enseignants pour que nos jeunes puissent comprendre que ce sont, eux, les futurs responsables et que l'avenir leur appartient".
Au programme de cette journée, une vingtaine d'ateliers transdisciplinaires "afin que l'élève ait une vision globale" tel que le tri sélectif, la présentation d'un conte pour enfants concernant le mérou, ou encore la présence de maîtres-chiens sauveteurs aquatiques qui fait chaque année son petit effet auprès du jeune public.
"Le but est de laisser place au côté artistique de l'élève : le bateau à un certain quotient émotionnel, c'est-à-dire que les élèves apprennent différemment sur un bateau que dans une salle d'école."
Si la popularité de ce projet n'est plus à prouver, -"certains seront présents pour la 2ème et 3ème fois" - cette année les responsables espèrent réaliser un nouvel événement d'envergure.
A noter que "Mare in Festa" sera également présent le 21 Mai à Ajaccio à bord du Jean-Nicoli, et le 23 Mai à Marseille à bord du Danielle-Casanova.
En effet, la mer Méditerranée est réputée pour être la région maritime la plus polluée du globe où se mêlent bétonnisation excessive, trafic maritime intense, et par conséquent une biodiversité de plus en plus menacée.
L'occasion donc, pour cette rencontre annuelle, de "promouvoir cette mer en danger comme une aire éco-culturelle de solidarité et de paix".
Si en 2018, 1 600 enfants ont pu assister à cette rencontre, Jean-Valère Geronimi espère cette année voir ce chiffre s'accroître. "Notre démarche, avec l'Office de l'Environnement, est d'encourager les enseignants pour que nos jeunes puissent comprendre que ce sont, eux, les futurs responsables et que l'avenir leur appartient".
Au programme de cette journée, une vingtaine d'ateliers transdisciplinaires "afin que l'élève ait une vision globale" tel que le tri sélectif, la présentation d'un conte pour enfants concernant le mérou, ou encore la présence de maîtres-chiens sauveteurs aquatiques qui fait chaque année son petit effet auprès du jeune public.
"Le but est de laisser place au côté artistique de l'élève : le bateau à un certain quotient émotionnel, c'est-à-dire que les élèves apprennent différemment sur un bateau que dans une salle d'école."
Si la popularité de ce projet n'est plus à prouver, -"certains seront présents pour la 2ème et 3ème fois" - cette année les responsables espèrent réaliser un nouvel événement d'envergure.
A noter que "Mare in Festa" sera également présent le 21 Mai à Ajaccio à bord du Jean-Nicoli, et le 23 Mai à Marseille à bord du Danielle-Casanova.