Cependant, le préfet de Corse reste confiant. Pour lui des facteurs positifs et rassurants pour l’avenir existent :
- l’évolution démographique de la Corse : l’Insee montre une attractivité incontestable des deux départements ce qui en fait la région la plus dynamique de France sur ce plan.
- La situation de l’agriculture : pour la déclinaison de la politique agricole commune des dotations plus importantes ont été engagées afin que la Corse puisse poursuivre l’effort d’adaptation de son économie agricole.
- Des résultats probants pour la lutte contre le grand banditisme affairiste
- Une lutte contre la délinquance qui porte ses fruits et dont les chiffres seront présentés le 29 janvier prochain.
La situation économique de la Corse, nécessite de veiller à la consultation des entreprises qui s’y trouve. « La situation est difficile, on a une augmentation du chômage qui est incontestable, même si les derniers chiffres du mois de décembre semblent s’être stabilisés, sans être favorables pour les entreprises. Nous avons pour but d’accompagner celles en difficulté pour répondre à leurs attentes. Pour cela, nous poursuivrons la mise en œuvre du plan compétitivité emploi qui permettra aux entreprises de bénéficier d’un remboursement automatique de crédit d’impôt et du dispositif des emplois d’avenir (150 000 au plannational) qui sera renforcé. En 2013 la Corse avait dépassé les objectifs (110% des objectifs impartis). Quant aux contrats de génération, ils ont été conformes à l’objectif des moyennes nationales. »
- l’évolution démographique de la Corse : l’Insee montre une attractivité incontestable des deux départements ce qui en fait la région la plus dynamique de France sur ce plan.
- La situation de l’agriculture : pour la déclinaison de la politique agricole commune des dotations plus importantes ont été engagées afin que la Corse puisse poursuivre l’effort d’adaptation de son économie agricole.
- Des résultats probants pour la lutte contre le grand banditisme affairiste
- Une lutte contre la délinquance qui porte ses fruits et dont les chiffres seront présentés le 29 janvier prochain.
La situation économique de la Corse, nécessite de veiller à la consultation des entreprises qui s’y trouve. « La situation est difficile, on a une augmentation du chômage qui est incontestable, même si les derniers chiffres du mois de décembre semblent s’être stabilisés, sans être favorables pour les entreprises. Nous avons pour but d’accompagner celles en difficulté pour répondre à leurs attentes. Pour cela, nous poursuivrons la mise en œuvre du plan compétitivité emploi qui permettra aux entreprises de bénéficier d’un remboursement automatique de crédit d’impôt et du dispositif des emplois d’avenir (150 000 au plannational) qui sera renforcé. En 2013 la Corse avait dépassé les objectifs (110% des objectifs impartis). Quant aux contrats de génération, ils ont été conformes à l’objectif des moyennes nationales. »
Des priorités
Marylise Lebranchu ministre de la Décentralisation se déplacera en Corse le 3 février. Ce voyage fait suite à la réunion qui avait eu lieu à Paris le 22 novembre avec les élus de l’assemblée de Corse, les municipalités d’Ajaccio et Bastia et les parlementaires, pour engager l’exercice de concertation institutionnelle avec les élus.
Les services de l’état pour 2014 souhaitent renforcer les liens avec les collectivités territoriales, notamment avec l’engagement des fonds structurels européens qui seront engagés en 2014, la poursuite de la préparation du Padduc et, bien sûr, le partenariat étroit avec les mairies et le conseil général.
"Côté urbanisme, sujet sensible en Corse, une petite inquiétude réside danse le retard des communes de Corse à fournir les documents de planification afin d’élaborer le Padduc, qui reste le document clef de voûte qui leur permettra de disposer d’une impression générale sur l’organisation de l’espace. L’Etat apportera son concours à ce travail de planification et son aide à la délivrance des permis de construire. Il y a une recherche de situation d’équilibre en permettant à la fois la réalisation de ces documents d’urbanisme, l’accompagnement des projets de développement des communes, et de faire en sorte que les permis de construire puissent être instruits avec une volonté très forte d’appliquer la loi."
Cela est aussi valable pour la gestion du domaine maritime, "pour lequel une stratégie de gestion est en cours d’élaboration et qui permettra des remontées plus transparentes et plus claires en ce qui concerne les règles du jeu du domaine public maritime. C’est un exercice qui était demandé au niveau national dans tous les départements littoraux et qui sera mis en œuvre en Corse du sud par les services de la direction départementale des territoires et de la mer."
Les services de l’état pour 2014 souhaitent renforcer les liens avec les collectivités territoriales, notamment avec l’engagement des fonds structurels européens qui seront engagés en 2014, la poursuite de la préparation du Padduc et, bien sûr, le partenariat étroit avec les mairies et le conseil général.
"Côté urbanisme, sujet sensible en Corse, une petite inquiétude réside danse le retard des communes de Corse à fournir les documents de planification afin d’élaborer le Padduc, qui reste le document clef de voûte qui leur permettra de disposer d’une impression générale sur l’organisation de l’espace. L’Etat apportera son concours à ce travail de planification et son aide à la délivrance des permis de construire. Il y a une recherche de situation d’équilibre en permettant à la fois la réalisation de ces documents d’urbanisme, l’accompagnement des projets de développement des communes, et de faire en sorte que les permis de construire puissent être instruits avec une volonté très forte d’appliquer la loi."
Cela est aussi valable pour la gestion du domaine maritime, "pour lequel une stratégie de gestion est en cours d’élaboration et qui permettra des remontées plus transparentes et plus claires en ce qui concerne les règles du jeu du domaine public maritime. C’est un exercice qui était demandé au niveau national dans tous les départements littoraux et qui sera mis en œuvre en Corse du sud par les services de la direction départementale des territoires et de la mer."