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"Mon client ne veut ni ne peut laisser dire plus longtemps que sa position dans ces deux procès est motivée par la peur. La seule pression qu’il a reçue dans ces dossiers provient de Madame Anne Tazartes qui lui a fait écrire une lettre recommandée pour l’intimider et essayer de lui faire changer ses écrits devant le Tribunal ! "
Il tient par ailleurs à préciser : "Il n'y a jamais eu de menaces de la part de Paul Canarelli. Elles sont une invention de la partie adverse."
Maître Gilbert Collard tient également à éclaircir les circonstances de la vente et l’enchaînement des événements qui ont abouti à la situation actuelle. "Dès que mon client a été alerté par des agriculteurs du caractère litigieux de l’acte, il a immédiatement écrit au notaire en lui demandant d’intervenir auprès des Tazartes pour annuler l’acte de vente. Paul d’Ortoli a demandé l’annulation de la vente bien avant que la justice soit saisie. Des courriers le prouvent et tout cela a été donné aux juges. Puis, au fil de l’enquête et des audiences, il a pris conscience de la gravité de ces "manœuvres" auxquelles il s'est opposé dès qu’il a su. "
Le conseil de Paul d’Ortoli revient sur la réponse du notaire qui lui a assuré que le problème de la SAFER était réglé et que la vente avait échappé à son droit de préemption au moyen de l’acte de vente en nue-propriété qu’il avait établi. Par ailleurs, la connaissance de l’existence d’un bail entre Paul d’Ortoli et Paul Canarelli ne fait plus aucun doute pour l’avocat : "Mon client a été honnête et loyal et a bien donné au notaire toutes les informations concernant la maison et notamment le fait qu’elle était louée. C’est d’ailleurs pour cela que l’acte de vente stipule qu’il y avait une « situation locative éventuelle », formule bizarre pour un homme de loi... "
Maître Gilbert Collard revient également sur les intentions du couple Tazartes : Leurs intentions étaient de s'emparer du domaine de Murtoli tout entier, en se servant de Paul d’Ortoli comme d’un cheval de Troie. Et leur mise de départ (le prix de vente est dans les actes) leur aurait permis de toucher le jack-pot !
Mon client s'est retrouvé, malgré lui, complice et victime dans cette affaire qu'il vit très mal. Etant un homme de la terre, discret et honnête, il n'a jamais voulu communiquer dans cette affaire et a toujours voulu laisser faire la justice à laquelle il a toujours réservé ses déclarations en lui donnant tous ces éléments. Mais il s'est aperçu qu'il n'a pas été entendu jusqu'à présent et que l'on a préféré écouter les effets de manches des avocats des Tazartes qui, en l’absence d’arguments sérieux, ont grossièrement mis en avant le "mythe" corse."
Alors aujourd'hui nous disons "basta !" et parlons, librement et en conscience : oui, Anne Tazartes savait et a acheté en connaissance de cause. "
Il tient par ailleurs à préciser : "Il n'y a jamais eu de menaces de la part de Paul Canarelli. Elles sont une invention de la partie adverse."
Maître Gilbert Collard tient également à éclaircir les circonstances de la vente et l’enchaînement des événements qui ont abouti à la situation actuelle. "Dès que mon client a été alerté par des agriculteurs du caractère litigieux de l’acte, il a immédiatement écrit au notaire en lui demandant d’intervenir auprès des Tazartes pour annuler l’acte de vente. Paul d’Ortoli a demandé l’annulation de la vente bien avant que la justice soit saisie. Des courriers le prouvent et tout cela a été donné aux juges. Puis, au fil de l’enquête et des audiences, il a pris conscience de la gravité de ces "manœuvres" auxquelles il s'est opposé dès qu’il a su. "
Le conseil de Paul d’Ortoli revient sur la réponse du notaire qui lui a assuré que le problème de la SAFER était réglé et que la vente avait échappé à son droit de préemption au moyen de l’acte de vente en nue-propriété qu’il avait établi. Par ailleurs, la connaissance de l’existence d’un bail entre Paul d’Ortoli et Paul Canarelli ne fait plus aucun doute pour l’avocat : "Mon client a été honnête et loyal et a bien donné au notaire toutes les informations concernant la maison et notamment le fait qu’elle était louée. C’est d’ailleurs pour cela que l’acte de vente stipule qu’il y avait une « situation locative éventuelle », formule bizarre pour un homme de loi... "
Maître Gilbert Collard revient également sur les intentions du couple Tazartes : Leurs intentions étaient de s'emparer du domaine de Murtoli tout entier, en se servant de Paul d’Ortoli comme d’un cheval de Troie. Et leur mise de départ (le prix de vente est dans les actes) leur aurait permis de toucher le jack-pot !
Mon client s'est retrouvé, malgré lui, complice et victime dans cette affaire qu'il vit très mal. Etant un homme de la terre, discret et honnête, il n'a jamais voulu communiquer dans cette affaire et a toujours voulu laisser faire la justice à laquelle il a toujours réservé ses déclarations en lui donnant tous ces éléments. Mais il s'est aperçu qu'il n'a pas été entendu jusqu'à présent et que l'on a préféré écouter les effets de manches des avocats des Tazartes qui, en l’absence d’arguments sérieux, ont grossièrement mis en avant le "mythe" corse."
Alors aujourd'hui nous disons "basta !" et parlons, librement et en conscience : oui, Anne Tazartes savait et a acheté en connaissance de cause. "