" Nous procédons au nettoyage du port de plaisance avec la capitainerie port de Lisula et les écoles de plongée. On essaie de mener une action sympathique et citoyenne pour nettoyer ce port de plaisanciers et de pêcheurs", explique entre deux remontées, Sabastien, directeur de l’association Épir.
L’amas de déchets qui même s’il est important reste tout de même minime, ce qui fait du port de Lisula, un port relativement propre, témoigne de l'investissement de tous.
" On y trouve de nombreuses choses. Beaucoup de petits morceaux en plastique, ce qui est d’ailleurs le plus polluant et pas mal de produits liés à la pêche comme du fil", mais aussi "des objets tels que des pneus, des batteries et même des bouteilles de vin encore fermées !"
"Aujourd’hui, il faut essayer de garder notre port propre. C’est notre outil de travail, de hobby et de loisirs. Plus on arrivera à sauver nos eaux en les protégeant de toutes ces pollutions, et mieux ce sera. Il y a de la vie au fond du port de plaisance". Et il faut la préserver car, vers, spirographes, hippocampes se mêlent à de "petits poulpes et poissons, et il est très rare que l’on ait une telle visibilité au fond d’un autre port de plaisance", continue le directeur du centre de plongée.
L'action visait également à sensibiliser le grand public aux enjeux écologiques et à la nécessité de préserver le littoral insulaire.
" Un nettoyage de ce genre a déjà été réalisé il y a 5 ans et on a décidé d’en refaire un cette année, à l’initiative l’Apir dirigée par Francis Rouge. L’école de Plongée de l’île rousse a mis tout le matériel à disposition et des plongeurs professionnels ont coordonné toute la plongée. Nous souhaitons renouveler ce genre d’opération tous les ans ", précise , pour sa part, Alexandre Marcelli, capitaine du port de plaisance.
Sur place il y avait aussi, Angèle Bastiani, maire de Lisula et Antoine Guerini, premier adjoint en charge du port et président du SPIC.
"C’est une belle opération qui s’inscrit dans une politique de développement durable pour la protection de notre environnement et de notre patrimoine marins. Cela m s’inscrit également dans le projet d’organisation et d’agrandissement du port en "port propre" avec des travaux qui seront initiés très rapidement" expliquait Angèle Bastian aux côtés de laquelle Antoine Guerini soulignait," dans la première phase de ces travaux, on va refaire la capitainerie et les infrastructures avec la récupération des eaux usées, les bornes écologiques, le traitement des eaux grises ou noires, pour être labellisés port propre avec le soutient de l’ATC, pour un montant estimé à environ 550 000€, financé à 70 % par l’ATC "
L’amas de déchets qui même s’il est important reste tout de même minime, ce qui fait du port de Lisula, un port relativement propre, témoigne de l'investissement de tous.
" On y trouve de nombreuses choses. Beaucoup de petits morceaux en plastique, ce qui est d’ailleurs le plus polluant et pas mal de produits liés à la pêche comme du fil", mais aussi "des objets tels que des pneus, des batteries et même des bouteilles de vin encore fermées !"
"Aujourd’hui, il faut essayer de garder notre port propre. C’est notre outil de travail, de hobby et de loisirs. Plus on arrivera à sauver nos eaux en les protégeant de toutes ces pollutions, et mieux ce sera. Il y a de la vie au fond du port de plaisance". Et il faut la préserver car, vers, spirographes, hippocampes se mêlent à de "petits poulpes et poissons, et il est très rare que l’on ait une telle visibilité au fond d’un autre port de plaisance", continue le directeur du centre de plongée.
L'action visait également à sensibiliser le grand public aux enjeux écologiques et à la nécessité de préserver le littoral insulaire.
" Un nettoyage de ce genre a déjà été réalisé il y a 5 ans et on a décidé d’en refaire un cette année, à l’initiative l’Apir dirigée par Francis Rouge. L’école de Plongée de l’île rousse a mis tout le matériel à disposition et des plongeurs professionnels ont coordonné toute la plongée. Nous souhaitons renouveler ce genre d’opération tous les ans ", précise , pour sa part, Alexandre Marcelli, capitaine du port de plaisance.
Sur place il y avait aussi, Angèle Bastiani, maire de Lisula et Antoine Guerini, premier adjoint en charge du port et président du SPIC.
"C’est une belle opération qui s’inscrit dans une politique de développement durable pour la protection de notre environnement et de notre patrimoine marins. Cela m s’inscrit également dans le projet d’organisation et d’agrandissement du port en "port propre" avec des travaux qui seront initiés très rapidement" expliquait Angèle Bastian aux côtés de laquelle Antoine Guerini soulignait," dans la première phase de ces travaux, on va refaire la capitainerie et les infrastructures avec la récupération des eaux usées, les bornes écologiques, le traitement des eaux grises ou noires, pour être labellisés port propre avec le soutient de l’ATC, pour un montant estimé à environ 550 000€, financé à 70 % par l’ATC "