La préfète de Corse, Josiane Chevalier a présenté ce lundi 18 novembre un point d’étape concernant l'état d’avancement du paiement des aides PAC.
Un point important pour les agriculteurs insulaires dont certains ont vu leurs aides suspendues le temps des contrôles.
La représentante de l’État, accompagnée de Sabine Hofferer, directrice régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt, s’est voulue rassurante.
« Nous avons la volonté de terminer les contrôles dans des délais raisonnables, à savoir fin décembre afin de pouvoir verser les aides. Nous devons effectuer une centaine de contrôles par semaine et pour cela nous avons déployé les moyens adéquats. Nous sommes ainsi passer de 10 contrôleurs à 25. Il nous reste encore 500 agriculteurs à contrôler. Nous avons déjà effectué 100 contrôles qui se sont déroulés sereinement et dans le dialogue. Il en ressort qu’il y a peu d’erreur entre les déclarations et les vérifications ».
La préfecture et les institutions agricoles continuent de solliciter les agriculteurs qui doivent répondre aux sollicitations. Une centaine d’entre eux n’ont toujours pas répondu, ce qui pourrait les pénaliser sur le paiement de leurs aides. Aujourd’hui entre 18 et 22 M€ ont déjà été versés sur les 36M€ prévus.
Par ailleurs, a été mise en place une cellule de suivi avec l’ASP et l’ODARC. Trois réunions ont déjà eu lieu, une quatrième est prévue prochainement. De plus, cette mesure est assortie d’une autre cellule, d’accompagnement cette fois, des agriculteurs en difficulté. Douze dossiers ont été reçus et une cinquantaine d’agriculteurs ont déjà appelé pour des renseignements.
« Nous travaillons également sur le foncier agricole, a rajouté Josiane Chevalier. J’ai reçu à ce titre le président du GIRTEC. Nous avons ainsi décidé de lancer une expérimentation sur la communauté des communes du Fiumorbu ».
La représentante de l’État se veut donc confiante quant aux contrôles à venir. Elle souligne que la procédure de contrôle via les images par satellite ont permis à 200 dossiers d’aboutir normalement et que les contrôles effectués sur le terrain jusqu’à présent se sont déroulés dans de bonnes conditions.
Un point important pour les agriculteurs insulaires dont certains ont vu leurs aides suspendues le temps des contrôles.
La représentante de l’État, accompagnée de Sabine Hofferer, directrice régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt, s’est voulue rassurante.
« Nous avons la volonté de terminer les contrôles dans des délais raisonnables, à savoir fin décembre afin de pouvoir verser les aides. Nous devons effectuer une centaine de contrôles par semaine et pour cela nous avons déployé les moyens adéquats. Nous sommes ainsi passer de 10 contrôleurs à 25. Il nous reste encore 500 agriculteurs à contrôler. Nous avons déjà effectué 100 contrôles qui se sont déroulés sereinement et dans le dialogue. Il en ressort qu’il y a peu d’erreur entre les déclarations et les vérifications ».
La préfecture et les institutions agricoles continuent de solliciter les agriculteurs qui doivent répondre aux sollicitations. Une centaine d’entre eux n’ont toujours pas répondu, ce qui pourrait les pénaliser sur le paiement de leurs aides. Aujourd’hui entre 18 et 22 M€ ont déjà été versés sur les 36M€ prévus.
Par ailleurs, a été mise en place une cellule de suivi avec l’ASP et l’ODARC. Trois réunions ont déjà eu lieu, une quatrième est prévue prochainement. De plus, cette mesure est assortie d’une autre cellule, d’accompagnement cette fois, des agriculteurs en difficulté. Douze dossiers ont été reçus et une cinquantaine d’agriculteurs ont déjà appelé pour des renseignements.
« Nous travaillons également sur le foncier agricole, a rajouté Josiane Chevalier. J’ai reçu à ce titre le président du GIRTEC. Nous avons ainsi décidé de lancer une expérimentation sur la communauté des communes du Fiumorbu ».
La représentante de l’État se veut donc confiante quant aux contrôles à venir. Elle souligne que la procédure de contrôle via les images par satellite ont permis à 200 dossiers d’aboutir normalement et que les contrôles effectués sur le terrain jusqu’à présent se sont déroulés dans de bonnes conditions.