- Avec cet aval du Conseil de la nature, peut-on dire que la décision de réalisation du port de la Carbonite est sur la bonne voie ?
- La Commission nationale de protection de la Nature s’est réunie le jeudi 20 décembre. Elle a donné un avis favorable, mais pas un avis favorable à la création d’un port. Elle a donné un avis favorable pour approuver les mesures de compensation qui étaient prévues au titre de ce dossier, notamment pour les herbiers de Posidonie. Cela ne veut pas dire que la décision concernant le port est prise.
- Que reste-t-il à faire ?
- Il faut maintenant faire tout un travail extrêmement approfondi, notamment sur le plan financier et technique, avant d’aboutir. Il y a déjà eu une concertation. Il y aura probablement une déclaration d’utilité publique. Mais cet aval n’est qu’une étape sur un très vaste dossier.
- N’était-ce pas, quand même, le point qui fâchait le plus ?
- C’était une condition nécessaire, mais pas suffisante.
- Le principe du port, en lui-même, n'est-il donc pas acquis ?
- Pas encore ! A ce stade, nous avons donc obtenu une condition supplémentaire, mais il reste encore beaucoup d’études à faire, à la fois sur le plan technique, concernant par exemple le raccordement routier, et financier qui est un aspect très important. C’est un dossier qui progresse.
- Quand débuteront les études ?
- Les études sont prévues et financées. Il faut maintenant lancer les études opérationnelles sur l’ensemble des travaux. C’est un calendrier que nous sommes en train d’établir. Cela ne saurait tarder.
- Si la décision est prise, dans combien de temps peut-on raisonnablement espérer le démarrage des travaux ?
- Il faut être extrêmement prudent et sérieux. Ce ne sont pas des réalisations qui se font en un jour. Il faudra, certainement, attendre plus d’une décennie avant de voir commencer les travaux.
Propos recueillis par Nicole MARI
- La Commission nationale de protection de la Nature s’est réunie le jeudi 20 décembre. Elle a donné un avis favorable, mais pas un avis favorable à la création d’un port. Elle a donné un avis favorable pour approuver les mesures de compensation qui étaient prévues au titre de ce dossier, notamment pour les herbiers de Posidonie. Cela ne veut pas dire que la décision concernant le port est prise.
- Que reste-t-il à faire ?
- Il faut maintenant faire tout un travail extrêmement approfondi, notamment sur le plan financier et technique, avant d’aboutir. Il y a déjà eu une concertation. Il y aura probablement une déclaration d’utilité publique. Mais cet aval n’est qu’une étape sur un très vaste dossier.
- N’était-ce pas, quand même, le point qui fâchait le plus ?
- C’était une condition nécessaire, mais pas suffisante.
- Le principe du port, en lui-même, n'est-il donc pas acquis ?
- Pas encore ! A ce stade, nous avons donc obtenu une condition supplémentaire, mais il reste encore beaucoup d’études à faire, à la fois sur le plan technique, concernant par exemple le raccordement routier, et financier qui est un aspect très important. C’est un dossier qui progresse.
- Quand débuteront les études ?
- Les études sont prévues et financées. Il faut maintenant lancer les études opérationnelles sur l’ensemble des travaux. C’est un calendrier que nous sommes en train d’établir. Cela ne saurait tarder.
- Si la décision est prise, dans combien de temps peut-on raisonnablement espérer le démarrage des travaux ?
- Il faut être extrêmement prudent et sérieux. Ce ne sont pas des réalisations qui se font en un jour. Il faudra, certainement, attendre plus d’une décennie avant de voir commencer les travaux.
Propos recueillis par Nicole MARI