« L’année dernière à la même époque nous nous inquiétions dans une délibération votée en assemblée générale d’une détérioration des rapports internationaux, d’une grave situation, marquée par des attentats terroristes, des conflits et des guerres, occasionnant des centaines de milliers de réfugiés, fuyant misères et chaos.
Un an plus tard, la situation ne s’est pas améliorée. Le moyen Orient est à feu et à sang. C’est toute la région qui aujourd’hui s’enflamme, tous les peuples souffrent et vivent un enfer. La Syrie, l’Irak, l’Iran, le Yémen, l’Egypte, la Lybie, la Palestine… et la Turquie qui s’enfonce dans la dictature. Les grandes puissances s’affrontent par pays interposés. De grandes villes comme Alep en Syrie, ou Mossoul en Irak sont aujourd’hui détruites. Des dizaines de milliers de personnes ont perdu la vie.
C’est le monde entier qui aujourd’hui vit un basculement remettant gravement en cause les fondements de la démocratie.
La confrontation militaire, économique, a supplanté les coopérations.
L’association Per a Pace, Pour la Paix, née de la solidarité avec les peuples des Balkans en guerre au début des années 1990, réaffirme plus que jamais que la guerre n’est pas la solution. « A la force des armes, il faut substituer la force de la diplomatie, du dialogue et de la raison ».
Ce n’est pas au G20 ou à l’OTAN de jouer les gendarmes du monde.
Plus que jamais il faut redonner sens à l’ONU. Le monde a besoin de cette instance internationale aujourd’hui inopérante et muselée par le principe du droit de véto d’un seul membre. C’est le futur de l’humanité qui est en cause et nous avons besoin d’un organisme international qui gère les conflits du monde et c’est à l’ONU de jouer ce rôle.
Un vaste et nécessaire chantier doit s’ouvrir. A sa création, en 1945, cinquante et un Etats composaient l’ONU. Aujourd’hui, l’organisation en compte cent quatre-vingt- treize. En soixante-dix ans de fonctionnement, le conseil de sécurité et quelques pays influents ont joué un rôle bien éloigné des projets de paix durable. Le droit de véto, attribué aux seuls pays vainqueurs de la deuxième guerre mondiale, doit être aboli.
Per a Pace interpelle la communauté internationale pour que cesse les guerres au nom de toutes les victimes innocentes.
Il est urgent de se rassembler le plus largement possible pour défendre les valeurs universelles de liberté et d’humanité car la démocratie est fragilisée. Tous, à notre niveau, nous pouvons et nous devons œuvrer dans ce sens. »
Un an plus tard, la situation ne s’est pas améliorée. Le moyen Orient est à feu et à sang. C’est toute la région qui aujourd’hui s’enflamme, tous les peuples souffrent et vivent un enfer. La Syrie, l’Irak, l’Iran, le Yémen, l’Egypte, la Lybie, la Palestine… et la Turquie qui s’enfonce dans la dictature. Les grandes puissances s’affrontent par pays interposés. De grandes villes comme Alep en Syrie, ou Mossoul en Irak sont aujourd’hui détruites. Des dizaines de milliers de personnes ont perdu la vie.
C’est le monde entier qui aujourd’hui vit un basculement remettant gravement en cause les fondements de la démocratie.
La confrontation militaire, économique, a supplanté les coopérations.
L’association Per a Pace, Pour la Paix, née de la solidarité avec les peuples des Balkans en guerre au début des années 1990, réaffirme plus que jamais que la guerre n’est pas la solution. « A la force des armes, il faut substituer la force de la diplomatie, du dialogue et de la raison ».
Ce n’est pas au G20 ou à l’OTAN de jouer les gendarmes du monde.
Plus que jamais il faut redonner sens à l’ONU. Le monde a besoin de cette instance internationale aujourd’hui inopérante et muselée par le principe du droit de véto d’un seul membre. C’est le futur de l’humanité qui est en cause et nous avons besoin d’un organisme international qui gère les conflits du monde et c’est à l’ONU de jouer ce rôle.
Un vaste et nécessaire chantier doit s’ouvrir. A sa création, en 1945, cinquante et un Etats composaient l’ONU. Aujourd’hui, l’organisation en compte cent quatre-vingt- treize. En soixante-dix ans de fonctionnement, le conseil de sécurité et quelques pays influents ont joué un rôle bien éloigné des projets de paix durable. Le droit de véto, attribué aux seuls pays vainqueurs de la deuxième guerre mondiale, doit être aboli.
Per a Pace interpelle la communauté internationale pour que cesse les guerres au nom de toutes les victimes innocentes.
Il est urgent de se rassembler le plus largement possible pour défendre les valeurs universelles de liberté et d’humanité car la démocratie est fragilisée. Tous, à notre niveau, nous pouvons et nous devons œuvrer dans ce sens. »