Accompagné de Christian Mendive, inspecteur d'académie-DASEN de Haute-Corse et de Pierre-Antoine Nesi, directeur de Cabinet, Philippe Lacombe était ce mercredi matin dès 9 heures au collège Dr Jean-Félix Orabona de Calvi où il a été accueilli par le chef d'établissement, Jean-Louis Angeli et plusieurs enseignants.
Autour d'une collation servie dans la salle du réfectoire, le recteur d'académie a fait le point sur le but de sa visite: " Il ne vous aura pas échappé qu'en 2017 il y a eu des échéances électorales et que nous sommes soumis au devoir de réserve, ce qui nous implique plusieurs contraintes. Donc, nous faisons beaucoup de visites sur le terrain. La priorité est de rencontrer les acteurs des établissements scolaires. Comme vous le savez, on a changé de président de la République et de ministre de l'Education Nationale et que, pour le 1er degré notamment, on doit mettre en oeuvre des mesures de rentrée extrêmement importantes, d'où la nécessité aussi de rencontrer les maires, pas simplement dans le cadre d'une visite de courtoisie ou de cordialité, mais pour discuter du changement de l'organisation du temps scolaire dont le maire est à la fois partenaire et partie prenante. Le président de la République a dit "la fâcherie entre l'Etat et les maires c'est terminé" et c'est bien pour ça que je ne viens pas tout seul aussi.
Concernant les collèges, c'est autre chose. Ici comme ailleurs, on visite les établissements parce que la révolution c'est la liaison école-collège, le travail en réseau avec quelques dossiers phares en Corse comme par exemple la continuité et le bilinguisme. Donc, on veut voir comment concrètement ça se décline. Et puis, je ne ferai pas l'économie de dire, que l'on a parfois des tensions ici ou là sur les questions de dotations horaires globales. Cette visite est donc aussi l'occasion de discuter avec le chef d'établissement des effectifs attendus à la rentrée, le nombre de 6e, de 5e, de 4e, de 3e dont ils ont besoin pour bien fonctionner...
Pour nous, la rentrée c'est aujourd'hui et non le 5 septembre. On a tout l'été pour se mettre en ordre de marche et donc, on vient voir quels sont les besoins.
Le terrain nous enseigne l'humilité, y compris pour le recteur.
On est à l'écoute des collèges et de leurs projets d'établissements. En clair, il faut que tous les collèges soient attractifs et qu'ils aient chacun des filières d'excellence".
Pour répondre aux propos du recteur sur les filières d'excellence, Jean-Louis Angeli, principal du collège Jean-Félix Orabona, met en avant la classe Défense, en partenariat avec le régiment d'élite qu'est le 2e REP de Calvi.
"Pour moi cette classe Défense est une découverte et un motif d'étonnement" précise Philippe Lacombe.
Toujours dans cette filière de l'excellence, Nicole Monfront, professeur de technologie, détaille le dispositif E Twinning de l'établissement qui, dans le cadre de ce projet et celui de la dlasse défense, Sécurité Globale, a débouché au mois d'avril dernier sur un voyage linguistico-historique dans la région espagnole d'Estramadure avec, pour fil conducteur, le devoir de mémoire.
Une exposition est consacré à ce voyage.
Pour rester dans le cadre de l'excellence, le recteur a pu découvrir en salle de musique la chorale du collège chère à Franck Agostini.
Une matinée intense au cours de laquelle Philippe Lacombe aura également participé à l'émission Web-radio "critique littéraire" du collège.
Autour d'une collation servie dans la salle du réfectoire, le recteur d'académie a fait le point sur le but de sa visite: " Il ne vous aura pas échappé qu'en 2017 il y a eu des échéances électorales et que nous sommes soumis au devoir de réserve, ce qui nous implique plusieurs contraintes. Donc, nous faisons beaucoup de visites sur le terrain. La priorité est de rencontrer les acteurs des établissements scolaires. Comme vous le savez, on a changé de président de la République et de ministre de l'Education Nationale et que, pour le 1er degré notamment, on doit mettre en oeuvre des mesures de rentrée extrêmement importantes, d'où la nécessité aussi de rencontrer les maires, pas simplement dans le cadre d'une visite de courtoisie ou de cordialité, mais pour discuter du changement de l'organisation du temps scolaire dont le maire est à la fois partenaire et partie prenante. Le président de la République a dit "la fâcherie entre l'Etat et les maires c'est terminé" et c'est bien pour ça que je ne viens pas tout seul aussi.
Concernant les collèges, c'est autre chose. Ici comme ailleurs, on visite les établissements parce que la révolution c'est la liaison école-collège, le travail en réseau avec quelques dossiers phares en Corse comme par exemple la continuité et le bilinguisme. Donc, on veut voir comment concrètement ça se décline. Et puis, je ne ferai pas l'économie de dire, que l'on a parfois des tensions ici ou là sur les questions de dotations horaires globales. Cette visite est donc aussi l'occasion de discuter avec le chef d'établissement des effectifs attendus à la rentrée, le nombre de 6e, de 5e, de 4e, de 3e dont ils ont besoin pour bien fonctionner...
Pour nous, la rentrée c'est aujourd'hui et non le 5 septembre. On a tout l'été pour se mettre en ordre de marche et donc, on vient voir quels sont les besoins.
Le terrain nous enseigne l'humilité, y compris pour le recteur.
On est à l'écoute des collèges et de leurs projets d'établissements. En clair, il faut que tous les collèges soient attractifs et qu'ils aient chacun des filières d'excellence".
Pour répondre aux propos du recteur sur les filières d'excellence, Jean-Louis Angeli, principal du collège Jean-Félix Orabona, met en avant la classe Défense, en partenariat avec le régiment d'élite qu'est le 2e REP de Calvi.
"Pour moi cette classe Défense est une découverte et un motif d'étonnement" précise Philippe Lacombe.
Toujours dans cette filière de l'excellence, Nicole Monfront, professeur de technologie, détaille le dispositif E Twinning de l'établissement qui, dans le cadre de ce projet et celui de la dlasse défense, Sécurité Globale, a débouché au mois d'avril dernier sur un voyage linguistico-historique dans la région espagnole d'Estramadure avec, pour fil conducteur, le devoir de mémoire.
Une exposition est consacré à ce voyage.
Pour rester dans le cadre de l'excellence, le recteur a pu découvrir en salle de musique la chorale du collège chère à Franck Agostini.
Une matinée intense au cours de laquelle Philippe Lacombe aura également participé à l'émission Web-radio "critique littéraire" du collège.
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