Mathieu Cesari (à gauche) et Pierre-Noël Luiggi : " Oscaro.com et le Sporting qui gagnent"
- Oscaro.com et le Sporting, c'est la Corse qui gagne ?
- Bien sûr que c'est la Corse qui gagne et cela a été le cas depuis le début. Il y des cycles. Je crois que l'on est au début d'un nouveau cycle pour la Corse : c'est la Corse qui gagne, c'est la Corse qui sait travailler ensemble.
- Qu'est ce qui vous a attiré vers le Sporting ?
- Ses dirigeants sont des gens qui vont droit au but , qui ne s'embarassent pas d'égo : chacun sait rester à sa place et chacun partage le travail des autres. Je vois tout le contraire dans les administrations nationales qui travaillent avec Oscaro où chacun essaye de tirer la couverture à soi. Ce n'est absolument pas le cas au Sporting.
- Le Sporting aspire à devenir européen
- Il lui sera plus facile de devenir européen que d'effectuer le parcours qu'il a accompli en trois ans. C'est une ambition tout à fait raisonnable parce que les gens du Sporting que ce soient les dirigeants, les entraîeneurs et les joueurs sont motivés par autre chose que l'argent. Je pense que l'on ne tire pas le meilleur des hommes par l'argent. On peut le faire, aussi, avec beaucoup d'espoir, beaucoup de rêve beaucoup d'abnégation. Et, surtout, en mettant les égos plus bas qu'on ne le fait aujourd'hui dans le sport.
- Le Sport que peut-il apporter à Oscaro aujourd'hui ?
- Il est très important de fréquenter des gens qui nous ressemblent. Sur des sites internet, on s'imagine que tout est fait par des robots. Aujourd'hui à Oscaro il y 800 personnes. C'est une équipe et pour faire comprendre à nos clients que nous aimons le travail d'équipe, l'esprit d'équipe et que nous ne sommes pas un site internet sans âme, quoi de mieux que ce partenariat avec le Sporting qui montre que nous sommes dans la vraie vie ?
- Bien sûr que c'est la Corse qui gagne et cela a été le cas depuis le début. Il y des cycles. Je crois que l'on est au début d'un nouveau cycle pour la Corse : c'est la Corse qui gagne, c'est la Corse qui sait travailler ensemble.
- Qu'est ce qui vous a attiré vers le Sporting ?
- Ses dirigeants sont des gens qui vont droit au but , qui ne s'embarassent pas d'égo : chacun sait rester à sa place et chacun partage le travail des autres. Je vois tout le contraire dans les administrations nationales qui travaillent avec Oscaro où chacun essaye de tirer la couverture à soi. Ce n'est absolument pas le cas au Sporting.
- Le Sporting aspire à devenir européen
- Il lui sera plus facile de devenir européen que d'effectuer le parcours qu'il a accompli en trois ans. C'est une ambition tout à fait raisonnable parce que les gens du Sporting que ce soient les dirigeants, les entraîeneurs et les joueurs sont motivés par autre chose que l'argent. Je pense que l'on ne tire pas le meilleur des hommes par l'argent. On peut le faire, aussi, avec beaucoup d'espoir, beaucoup de rêve beaucoup d'abnégation. Et, surtout, en mettant les égos plus bas qu'on ne le fait aujourd'hui dans le sport.
- Le Sport que peut-il apporter à Oscaro aujourd'hui ?
- Il est très important de fréquenter des gens qui nous ressemblent. Sur des sites internet, on s'imagine que tout est fait par des robots. Aujourd'hui à Oscaro il y 800 personnes. C'est une équipe et pour faire comprendre à nos clients que nous aimons le travail d'équipe, l'esprit d'équipe et que nous ne sommes pas un site internet sans âme, quoi de mieux que ce partenariat avec le Sporting qui montre que nous sommes dans la vraie vie ?
''Il faut donner leurs chances aux gens qui ont envie de faire quelque chose"
Le numéro 1 pour Oscaro !
- Mais pour Oscaro, il n'y a pas que le Sporting : Vous "donnez la main" au Festival du Vent, à la Ligue corse d'échecs, au CAB…
- Le partenarait avec la Ligue d'échecs est très particulier car ça part d'une passion commune avec une partie de ma famille qui joue aux échecs. Mais Oscaro est une boite qui partique les mathématiques appliquées en particulier. On utilise beaucoup les statistiques et on besoin de recruter de jeunes ingénieurs. Le succès des échecs en Europe nous permet de communiquer en direction de ces jeunes ingénieurs. Mais vous savez, il y a toujours une logique dans ce que nous faisons. Les manifestations de La Ligue corse d'échecs et le Festival du Vent ont un rayonnement international : c'est la ligne conductrice.
- Le CAB ?
- C'est un pari. C'est pour Bastia. C'est un club qui occupe aussi une belle place dans le cœur de beaucoup de bastiais.
- C'est un beau coup de pouce aux clubs et associations de Corse ?
- Je pense qu'il faut donner leurs chances aux gens qui ont envie de faire quelque chose. Je suis beaucoup dans l'action, dans le "faire", et quand quelqu'un fait quelque chose, qui a l'air d'être ambititieux et de très construit, pourquoi ne pas essayer de l'épauler ? Peut-être pas autant à la Corse qu'aux entrepreneurs. Etre entrepreneur c'est être capable de se dépasser soi-même pour faire quelque chose dont on a rêvé. C'est une valeur que l'on avait en Corse, que l'on avait en Europe et qui se perd un aujourd'hui.
- Un peu à votre exemple ?
- Moi je suis constitué comme ça. Je ne me suis pas forcé à être comme ça.
- C'est l'histoire de votre rétroviseur cassé qui vous donne l'idée de fonder Oscaro et la vente de pièces automobiles détachées ?
- Quand on voit une chance passer, on l'a saisi
- D'autres projets en Corse ?
- J'espère bien, un jour être, en mesure d'y créer des d'emplois
- Et ailleurs ?
- Notre grand axe de développement ce sera l'Allemagne dans les deux années à venir. Mais nous sommes aussi en Californie où nous avons installé notre laboratoire de recherches. Nous y vendons bien sûr des pièces mais pas autant qu'en Europe…
- Le partenarait avec la Ligue d'échecs est très particulier car ça part d'une passion commune avec une partie de ma famille qui joue aux échecs. Mais Oscaro est une boite qui partique les mathématiques appliquées en particulier. On utilise beaucoup les statistiques et on besoin de recruter de jeunes ingénieurs. Le succès des échecs en Europe nous permet de communiquer en direction de ces jeunes ingénieurs. Mais vous savez, il y a toujours une logique dans ce que nous faisons. Les manifestations de La Ligue corse d'échecs et le Festival du Vent ont un rayonnement international : c'est la ligne conductrice.
- Le CAB ?
- C'est un pari. C'est pour Bastia. C'est un club qui occupe aussi une belle place dans le cœur de beaucoup de bastiais.
- C'est un beau coup de pouce aux clubs et associations de Corse ?
- Je pense qu'il faut donner leurs chances aux gens qui ont envie de faire quelque chose. Je suis beaucoup dans l'action, dans le "faire", et quand quelqu'un fait quelque chose, qui a l'air d'être ambititieux et de très construit, pourquoi ne pas essayer de l'épauler ? Peut-être pas autant à la Corse qu'aux entrepreneurs. Etre entrepreneur c'est être capable de se dépasser soi-même pour faire quelque chose dont on a rêvé. C'est une valeur que l'on avait en Corse, que l'on avait en Europe et qui se perd un aujourd'hui.
- Un peu à votre exemple ?
- Moi je suis constitué comme ça. Je ne me suis pas forcé à être comme ça.
- C'est l'histoire de votre rétroviseur cassé qui vous donne l'idée de fonder Oscaro et la vente de pièces automobiles détachées ?
- Quand on voit une chance passer, on l'a saisi
- D'autres projets en Corse ?
- J'espère bien, un jour être, en mesure d'y créer des d'emplois
- Et ailleurs ?
- Notre grand axe de développement ce sera l'Allemagne dans les deux années à venir. Mais nous sommes aussi en Californie où nous avons installé notre laboratoire de recherches. Nous y vendons bien sûr des pièces mais pas autant qu'en Europe…
Oscaro en bref
Oscaro c'est :
Une plate forme logistique de 9 000m2
3,5 millions de clients
500 000 mille réferences
10 000 cols expédiés chaque jour en moyenne
3,9 millions de visiteurs uniques en Août 2013
200 000 appels et 40 000 email en moyenne traité par mois par le centre relation client qui réunit 170 experts automobiles
Fin 2013 Oscaro franchira le seuil des 800 salariés avec un chiffre d'affaires avoisinant les 250 millions d'euros
Une plate forme logistique de 9 000m2
3,5 millions de clients
500 000 mille réferences
10 000 cols expédiés chaque jour en moyenne
3,9 millions de visiteurs uniques en Août 2013
200 000 appels et 40 000 email en moyenne traité par mois par le centre relation client qui réunit 170 experts automobiles
Fin 2013 Oscaro franchira le seuil des 800 salariés avec un chiffre d'affaires avoisinant les 250 millions d'euros