On ne présente plus Pierre-Paul Marchini considéré, aujourd’hui et à juste titre, comme l’un des chefs de file de l’art pictural contemporain. Sa technique du couteau, de laquelle naissent bien des toiles aux couleurs innombrables, aux contours multiformes, aux lumières lui a valu, outre la reconnaissance internationale, le surnom de « Il Spadaccino ». Un art contemporain abstrait où s’entremêlent le langage des couleurs et celui du silence. Entendez par là, celui de l’inconscient, porte d’entrée vers l’inconnaissable. Une sorte de «désordre ordonné » qu’il est libre à chacun d’interpréter.
Au surnom de « Il Spadaccino », peut s’ajouter celui de Globe-Trotter (on ne compte plus ses expositions…) ou ambassadeur de la Corse. Sa Corse. Son île, sa fierté. La participation de Pierre-Paul Marchini à la Biennale de Palerme, qui abrite un événement de réputation mondiale, résonne donc comme une nouvelle dimension dans la mesure où il représentera la Corse. « C’est pour moi une très grande fierté, avoue-t-il, je tâcherai, comme je le fais à chacune de mes expositions d’être l’ambassadeur de mon île. Cette manifestation aura, bien sûr, une connotation particulière. » L’artiste ajaccien a, en effet, été sélectionné par la commission scientifique (présidée par Paolo Levi fondateur de l’’événement). Une sorte de carrefour mondial de l’art contemporain au milieu des Cinq Continents représentés. Née à Palerme (1946), cette foire s’est muée en un gigantesque salon, devenu le plus important centre d'exposition de la Sicile. Ils seront donc plusieurs centaines à venir participer à cet événement : peintres, sculpteurs, graphistes, photographes, céramistes…
L’occasion, pour « Il Spadaccino », d’acquérir, sans doute, une dimension bien au-delà du Vieux Continent…
Au surnom de « Il Spadaccino », peut s’ajouter celui de Globe-Trotter (on ne compte plus ses expositions…) ou ambassadeur de la Corse. Sa Corse. Son île, sa fierté. La participation de Pierre-Paul Marchini à la Biennale de Palerme, qui abrite un événement de réputation mondiale, résonne donc comme une nouvelle dimension dans la mesure où il représentera la Corse. « C’est pour moi une très grande fierté, avoue-t-il, je tâcherai, comme je le fais à chacune de mes expositions d’être l’ambassadeur de mon île. Cette manifestation aura, bien sûr, une connotation particulière. » L’artiste ajaccien a, en effet, été sélectionné par la commission scientifique (présidée par Paolo Levi fondateur de l’’événement). Une sorte de carrefour mondial de l’art contemporain au milieu des Cinq Continents représentés. Née à Palerme (1946), cette foire s’est muée en un gigantesque salon, devenu le plus important centre d'exposition de la Sicile. Ils seront donc plusieurs centaines à venir participer à cet événement : peintres, sculpteurs, graphistes, photographes, céramistes…
L’occasion, pour « Il Spadaccino », d’acquérir, sans doute, une dimension bien au-delà du Vieux Continent…