Chaque jour, au pic de la saison, l'Office de tourisme intercommunal de Bastia accueille entre 800 et 1000 visiteurs.
À la recherche de la visite à ne rater sous aucun prétexte, de la pépite qui ne serait mentionnée sur aucun guide, du village offrant la plus belle vue, des horaires du petit train… Au pic de la saison estivale, ce sont entre 800 et 1 000 touristes qui franchissent chaque jour les portes de l'Office de tourisme intercommunal de Bastia, ce lieu clé de la ville, idéalement situé sur la place Saint-Nicolas, et à quelques encablures seulement du port. Et avec eux un flot de demandes.
« La majorité des personnes qui viennent à l'Office de tourisme sont à la recherche de lieux à visiter au sein de la vieille ville de Bastia. Ils viennent nous voir pour dégoter la petite information en plus, le bon conseil. Nous les dirigeons généralement vers les ruelles de la Citadelle, vers les villages balcons comme Ville-di-Pietrabugno… », raconte Jean-Jacques Ristorcelli, responsable marketing et digital au sein de la structure. Beaucoup de visiteurs franchissent également les portes de l’Office, afin de profiter d’une des offres touristiques qu’il propose, à l'instar des Légendines, ces visites de la ville programmées chaque mardi d'avril à octobre. À la fin de la journée, nombreux sont ceux qui viennent aussi chercher des conseils avant de s'engager sur les plus beaux sentiers.
« La majorité des personnes qui viennent à l'Office de tourisme sont à la recherche de lieux à visiter au sein de la vieille ville de Bastia. Ils viennent nous voir pour dégoter la petite information en plus, le bon conseil. Nous les dirigeons généralement vers les ruelles de la Citadelle, vers les villages balcons comme Ville-di-Pietrabugno… », raconte Jean-Jacques Ristorcelli, responsable marketing et digital au sein de la structure. Beaucoup de visiteurs franchissent également les portes de l’Office, afin de profiter d’une des offres touristiques qu’il propose, à l'instar des Légendines, ces visites de la ville programmées chaque mardi d'avril à octobre. À la fin de la journée, nombreux sont ceux qui viennent aussi chercher des conseils avant de s'engager sur les plus beaux sentiers.
"Pietra Carbonara, Century 21…"
Mais au sein de l’Office, ces demandes récurrentes en côtoient aussi d’autres pour le moins originales. « Nous avons notre lot de questions farfelues », sourit Jean-Jacques Ristorcelli, en confiant que les employés de la structure notent les interactions les plus hilarantes, « pour se les remémorer en fin de saison ». « Les erreurs les plus fréquentes portent sur les noms de nos villages, qui peuvent, je l'admets, être parfois compliqués à intégrer », dévoile-t-il. Ainsi, chaque jour, certains touristes sollicitent la structure en quête de renseignements sur « Pietra Carbonara », comprendre Pietracorbara, « Century 21 » à la place de Centuri ou encore sur la « Place Stanislas » au lieu de la place Saint-Nicolas.
Jean-Jacques Ristorcelli se souvient aussi d’une perle rare au-dessus de toutes les autres. « Désireux de se rendre sur l'île d'Elbe, des vacanciers ont souhaité savoir si, en se mettant sur le port avec un panneau, quelqu'un pourrait les y conduire en stop », se remémore-t-il, hilare.
Jean-Jacques Ristorcelli se souvient aussi d’une perle rare au-dessus de toutes les autres. « Désireux de se rendre sur l'île d'Elbe, des vacanciers ont souhaité savoir si, en se mettant sur le port avec un panneau, quelqu'un pourrait les y conduire en stop », se remémore-t-il, hilare.
Des demandes motivées par une idée de la Corse fantasmée ?
Parmi les nombreuses requêtes que centralise l'Office de tourisme, certaines relèvent aussi d'idées fantasmées. « Dernièrement, quelqu'un est venu à l'Office de Tourisme pour demander comment traduire ’camping' en Corse, afin de pouvoir demander son chemin aux habitants s'il se perdait », s'amuse le responsable marketing et digital.
Selon Jean-Jacques Ristorcelli, l’image erronée que certains vacanciers se font de la Corse est accentuée par certains reportages télévisés. « Certaines activités leur paraissent très accessibles alors qu'elles sont très loin de faire partie du quotidien insulaire », analyse-t-il, en pointant notamment les demandes de balades à dos... d'âne dans Bastia qui sont, entre autres, régulièrement évoquées.
Les clichés, les petites erreurs d’étourderie et les demandes farfelues qui accompagnent les touristes lors de leur visite en Corse n’ont pas fini de rythmer les journées de l’Office de tourisme intercommunal de Bastia.
Selon Jean-Jacques Ristorcelli, l’image erronée que certains vacanciers se font de la Corse est accentuée par certains reportages télévisés. « Certaines activités leur paraissent très accessibles alors qu'elles sont très loin de faire partie du quotidien insulaire », analyse-t-il, en pointant notamment les demandes de balades à dos... d'âne dans Bastia qui sont, entre autres, régulièrement évoquées.
Les clichés, les petites erreurs d’étourderie et les demandes farfelues qui accompagnent les touristes lors de leur visite en Corse n’ont pas fini de rythmer les journées de l’Office de tourisme intercommunal de Bastia.