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Les organisations associatives, politiques et syndicales du Mouvement National se sont rassemblées ce lundi 22 avril à l'Università di Corsica, pour discuter d'une réponse unifiée à ce que le mouvement estime être une "politique répressive" venant de Paris et devenue plus intense ces derniers temps.
Parmi les signataires de la déclaration commune issue de cette réunion figurent les partis politiques Femu a Corsica, PNC, et Core in Fronte, ainsi que le syndicat STC et les syndicats étudiants Ghjuventù in Core, Ghjuventù Paolina, et Ghjuventù Indipendentista. Les collectifs Aiutu Patriotticu, Aiutu Paisanu, et Patriotti in Lotta ont également apporté leur soutien à cette démarche. Cependant, le mouvement indépendantiste Nazione ainsi que l’Associu Sulidarità n'ont pas signé cette déclaration commune.
Suite à la réunion, l'Associu Sulidarità a tenu à expliquer les raisons de sa non-participation et à clarifier sa position. "Après l'appel lancé par Sulidarità, nous avons tout d'abord regretté que cette initiative ait été récupérée par un parti politique qui a décidé du cadre et des modalités de cette rencontre de façon unilatérale. Nous avons décidé d'y participer malgré tout afin de ne pas alimenter la surenchère stérile sur le sujet." indique un communiqué diffusé ce jeudi 25 avril à la presse.
Le texte précise que l'Associu Sulidarità incarne "le courant qui a subi et subit toujours les plus lourdes conséquences de la répression" et souligne que "les tentatives de récupération ou de manipulation ne peuvent que nuire à tous." L'organisation affirma avoir proposé pendant la réunion "que toutes les organisations de prisonniers coordonnent les différentes initiatives, sans laisser les partis politiques prendre le leadership."
Pour l'Associu Sulidarità, le texte de la déclaration commune "n'était pas à la hauteur des enjeux et de la réponse nécessaire à l'acharnement répressif de l'État français". L'organisation exprime le souhait que "les échanges puissent se poursuivre entre les différentes composantes du mouvement national" pour trouver une réponse commune, forte et déterminée à cette logique répressive.
Parmi les signataires de la déclaration commune issue de cette réunion figurent les partis politiques Femu a Corsica, PNC, et Core in Fronte, ainsi que le syndicat STC et les syndicats étudiants Ghjuventù in Core, Ghjuventù Paolina, et Ghjuventù Indipendentista. Les collectifs Aiutu Patriotticu, Aiutu Paisanu, et Patriotti in Lotta ont également apporté leur soutien à cette démarche. Cependant, le mouvement indépendantiste Nazione ainsi que l’Associu Sulidarità n'ont pas signé cette déclaration commune.
Suite à la réunion, l'Associu Sulidarità a tenu à expliquer les raisons de sa non-participation et à clarifier sa position. "Après l'appel lancé par Sulidarità, nous avons tout d'abord regretté que cette initiative ait été récupérée par un parti politique qui a décidé du cadre et des modalités de cette rencontre de façon unilatérale. Nous avons décidé d'y participer malgré tout afin de ne pas alimenter la surenchère stérile sur le sujet." indique un communiqué diffusé ce jeudi 25 avril à la presse.
Le texte précise que l'Associu Sulidarità incarne "le courant qui a subi et subit toujours les plus lourdes conséquences de la répression" et souligne que "les tentatives de récupération ou de manipulation ne peuvent que nuire à tous." L'organisation affirma avoir proposé pendant la réunion "que toutes les organisations de prisonniers coordonnent les différentes initiatives, sans laisser les partis politiques prendre le leadership."
Pour l'Associu Sulidarità, le texte de la déclaration commune "n'était pas à la hauteur des enjeux et de la réponse nécessaire à l'acharnement répressif de l'État français". L'organisation exprime le souhait que "les échanges puissent se poursuivre entre les différentes composantes du mouvement national" pour trouver une réponse commune, forte et déterminée à cette logique répressive.