Stéphane Le Gallais nous raconte cet instant unique.
"Mon ami pécheur, Sébastien, m'avait prévenu que nous pourrions croiser un requin Mako en cette période de l'année même si ce type de rencontre est plutôt rare : autant les rencontres avec les requins Peaux bleus sont fréquentes autant le mako est plus discret.
Mais il n'aura pas fallu attendre plus d'une quinzaine de jours, pour enfin voir, ce magnifique poisson, le cousin du grand blanc. Le requin mako est aussi appelé « taupe bleue » ou requin « à nageoires courtes », il est un nageur très rapide (près de 75 km/h).
La rencontre reste exceptionnelle, les requins cherchent la tranquillité, et évitent le contact avec les humains, les photos ne sont pas extraordinaires, car c'est un poisson beaucoup plus nerveux que le Peau Bleu.
Une expérience qui je l'espère se reproduira, mais il n'y a pas de secret, il faut être en mer le plus souvent pour croiser toute cette biodiversité qui entoure la Corse."
Wikipédia nous apprend aussi que malgré quelques attaques, dont deux fatales, non provoquées mettant en cause cette espèce, on peut raisonnablement dire que sa réputation de dangerosité pour l' est largement surfaite.
Reste, que nombreux sont ceux à redouter une telle rencontre avec ce pélagique, qui évolue de la surface à 740 m de profondeur,
"Mon ami pécheur, Sébastien, m'avait prévenu que nous pourrions croiser un requin Mako en cette période de l'année même si ce type de rencontre est plutôt rare : autant les rencontres avec les requins Peaux bleus sont fréquentes autant le mako est plus discret.
Mais il n'aura pas fallu attendre plus d'une quinzaine de jours, pour enfin voir, ce magnifique poisson, le cousin du grand blanc. Le requin mako est aussi appelé « taupe bleue » ou requin « à nageoires courtes », il est un nageur très rapide (près de 75 km/h).
La rencontre reste exceptionnelle, les requins cherchent la tranquillité, et évitent le contact avec les humains, les photos ne sont pas extraordinaires, car c'est un poisson beaucoup plus nerveux que le Peau Bleu.
Une expérience qui je l'espère se reproduira, mais il n'y a pas de secret, il faut être en mer le plus souvent pour croiser toute cette biodiversité qui entoure la Corse."
Wikipédia nous apprend aussi que malgré quelques attaques, dont deux fatales, non provoquées mettant en cause cette espèce, on peut raisonnablement dire que sa réputation de dangerosité pour l' est largement surfaite.
Reste, que nombreux sont ceux à redouter une telle rencontre avec ce pélagique, qui évolue de la surface à 740 m de profondeur,