« Nous sommes très fiers d’être le pays invité d’honneur cette année au RMM et cela coïncide avec le 50ème anniversaire de la Révolution des Œillets au Portugal » souligne Rui Vaz de la formation QuatroAoSul. Le groupe vient du sud du pays, de l’Alentejo, une région très peuplée et très dynamique du Portugal. « Notre formation regroupe 5 musiciens et chanteurs, nous étions 4 au début, dont les origines musicales sont diverses et nous sommes réunis autour d’un projet musical basé sur la tradition du Cante Sul, les modas de l’Alentejo. Nous sommes là pour perpétuer la tradition avec des chansons souvent oubliés du répertoire de notre pays.».
Le projet de «QuatroAoSul » est né de la passion de ses chanteurs et musiciens pour le Cante Alentejano et de leur désir de recréer, sans préjugés, des modas dont la beauté dépasse le répertoire habituel des chœurs de l’Alentejo. Tout comme le Fado, chant emblématique du Portugal, le Cante Alentejano est inscrit au Patrimoine Culturel Immatériel de l’Humanité de l’Unesco depuis 10 ans. Il présente d’ailleurs de nombreuses similitudes avec la paghiella, chant polyphonique traditionnel de Corse, lui-même inscrit au Patrimoine Culturel de l’Unesco. « C’est la première fois que nous participons à ces rencontres et on apprécie beaucoup les rencontres et les partages avec les autres pays participants » déclare R. Vaz. Le groupe a rendu hommage à un chanteur corse Michel Giacometti en l'occurrence, "qui est venu très souvent chez nous pour étudier nos chants et effectuer de nombreux enregistrements" et a terminé son récital en interprétant l’hymne du 24 avril 1974, date de la Révolution des œillets.
L’ensemble musical français « Ondes plurielles » est né en 2017 de la volonté de membres de différents orchestres amateurs parisiens d’offrir une structure caractérisée par son ouverture. «Nous interprétons aussi bien de la musique de chambre que des œuvres symphoniques, de la musique baroque à la création contemporaine, du répertoire symphonique à l’opéra pour toucher tous les publics» explique Maude Rouchaleou, violoniste de la formation. L’ensemble s’associe bien souvent à d’autres groupes pour la production de ballets, de pièces de théâtre ou d’opéra. Une souplesse qui permet aux « Ondes plurielles » de libérer la musique classique de ses contraintes tout en conservant ce qui en fait l’essence.
Le projet de «QuatroAoSul » est né de la passion de ses chanteurs et musiciens pour le Cante Alentejano et de leur désir de recréer, sans préjugés, des modas dont la beauté dépasse le répertoire habituel des chœurs de l’Alentejo. Tout comme le Fado, chant emblématique du Portugal, le Cante Alentejano est inscrit au Patrimoine Culturel Immatériel de l’Humanité de l’Unesco depuis 10 ans. Il présente d’ailleurs de nombreuses similitudes avec la paghiella, chant polyphonique traditionnel de Corse, lui-même inscrit au Patrimoine Culturel de l’Unesco. « C’est la première fois que nous participons à ces rencontres et on apprécie beaucoup les rencontres et les partages avec les autres pays participants » déclare R. Vaz. Le groupe a rendu hommage à un chanteur corse Michel Giacometti en l'occurrence, "qui est venu très souvent chez nous pour étudier nos chants et effectuer de nombreux enregistrements" et a terminé son récital en interprétant l’hymne du 24 avril 1974, date de la Révolution des œillets.
L’ensemble musical français « Ondes plurielles » est né en 2017 de la volonté de membres de différents orchestres amateurs parisiens d’offrir une structure caractérisée par son ouverture. «Nous interprétons aussi bien de la musique de chambre que des œuvres symphoniques, de la musique baroque à la création contemporaine, du répertoire symphonique à l’opéra pour toucher tous les publics» explique Maude Rouchaleou, violoniste de la formation. L’ensemble s’associe bien souvent à d’autres groupes pour la production de ballets, de pièces de théâtre ou d’opéra. Une souplesse qui permet aux « Ondes plurielles » de libérer la musique classique de ses contraintes tout en conservant ce qui en fait l’essence.