Pas moins de 1 800 personnes se sont pressées durant toute la journée à la Marana, à la recherche d'un emploi, d'un conseil, d'une aide. Et prouesse à mettre à l'actif de tous ceux qui, organisateurs, partenaires et chefs d'entreprise, se sont mobilisés pour la circonstance, près de 1 500 entretiens ont pu être menés avec des résultats, concrers, à leur terme.
"Il y a eu beaucoup plus de monde que l'an dernier" soulignait en fin de journée Dominique Gatti, directrice de l'agence Pôle Emploi de Bastia Sud. "160 essais fixes ont été finalisés et 700 seconds rendez-vous sont programmés" ajoutait-elle en précisant que les professionnels de la restauration et de l'hôtellerie, particulièrement satisfaits de cette 16e édition des Rencontre pour l'Emploi "avaient pu finaliser leurs équipes en vue de la prochaine saison".
Mais le recrutement du jour n'a pas été uniquement le fait des hôteliers et des restaurateurs. "Des grandes enseignes déjà installées, ou en passe de le faire, qui vont opérer de nombreux recrutements, ont pu, elles aussi, finaliser leurs choix. En tout cas les candidatures qui se sont manifestées ont été jugées probantes essentiellement par la motivation qui animait des demandeurs" soulignait encore Dominique Gatti.
Mais Bastia et sa région n'ont pas été les seuls à proposer des emplois potentiels. Le rural, avec essentiellement les services dédiés à l'aide à la personne; ont proposé des solutions aux demandeurs d'emploi.
D'où l'utilité de ces rencontres qui incitent aujourd'hui tous ceux qui sont affectés par la conjoncture à se manifester.
"Les déclarations de première embauche ont baissé de 3,5% entre 2012 et 2013. Le chiffre n'est certes pas bon mais on aurait pu s'attendre à pire en raison de la crise qui nous frappe actuellement de plein fouet".
Sans être la panacée ces rencontres permettent donc à ceux qui se donnent la peine d'aller vers elles, de se doter de moyens que seuls ils auraient du mal à rassembler. On pense notamment aux ateliers de coaching et de relooking par lesquels de nombreux candidats à l'emploi sont passés. Aux ateliers de la CCI pour permettre à ceux-là de mieux entreprendre. Et aux conseils et aux aides mis en place par l'Adec vers laquelle nombre de candidats à la création d'entreprise se tournent.
"Il y a eu beaucoup plus de monde que l'an dernier" soulignait en fin de journée Dominique Gatti, directrice de l'agence Pôle Emploi de Bastia Sud. "160 essais fixes ont été finalisés et 700 seconds rendez-vous sont programmés" ajoutait-elle en précisant que les professionnels de la restauration et de l'hôtellerie, particulièrement satisfaits de cette 16e édition des Rencontre pour l'Emploi "avaient pu finaliser leurs équipes en vue de la prochaine saison".
Mais le recrutement du jour n'a pas été uniquement le fait des hôteliers et des restaurateurs. "Des grandes enseignes déjà installées, ou en passe de le faire, qui vont opérer de nombreux recrutements, ont pu, elles aussi, finaliser leurs choix. En tout cas les candidatures qui se sont manifestées ont été jugées probantes essentiellement par la motivation qui animait des demandeurs" soulignait encore Dominique Gatti.
Mais Bastia et sa région n'ont pas été les seuls à proposer des emplois potentiels. Le rural, avec essentiellement les services dédiés à l'aide à la personne; ont proposé des solutions aux demandeurs d'emploi.
D'où l'utilité de ces rencontres qui incitent aujourd'hui tous ceux qui sont affectés par la conjoncture à se manifester.
"Les déclarations de première embauche ont baissé de 3,5% entre 2012 et 2013. Le chiffre n'est certes pas bon mais on aurait pu s'attendre à pire en raison de la crise qui nous frappe actuellement de plein fouet".
Sans être la panacée ces rencontres permettent donc à ceux qui se donnent la peine d'aller vers elles, de se doter de moyens que seuls ils auraient du mal à rassembler. On pense notamment aux ateliers de coaching et de relooking par lesquels de nombreux candidats à l'emploi sont passés. Aux ateliers de la CCI pour permettre à ceux-là de mieux entreprendre. Et aux conseils et aux aides mis en place par l'Adec vers laquelle nombre de candidats à la création d'entreprise se tournent.
Paul-Antoine Dary : "S'il faut travailler dur, autant le faire pour soi"
Paul-Antoine Dary est de ceux-là. 33 ans et une forte envie d'avancer et de créer quelque chose à soi.
" J'aimerai ouvrir une agence immobilière à Bastia. Je suis venu à ces rencontres pour solliciter un triple soutien financier, technique et administratif. J'ai fourni mon business plan. En contrepartie l'on ma décliné toutes les aides dont on peut bénéficier dans ce cas de figure".
Il est vrai que le futur créateur d'entreprise est venu à l'Igesa avec ses diplômes, acquis au terme d'une première expérience dans l'immobilier, et la carte professionnelle qu'il vient d'obtenir.
"Je sais que je le lance sur un marché qui est difficile, mais s'il faut travailler dur, autant le faire pour soi" affirme le jeune homme qui a, aussi, présente à l'esprit l'idée d'ouvrir un restaurant. Avec à l'appui, là-aussi, son diplôme obtenu au lycée hôtelier et son expérience du terrain.
Avec la motivation qui est la sienne, il ne devrait pas tarder à troquer son statut de demandeur d'emploi contre celui de chef d'entreprise.
Surtout si, comme l'expliquait Florence Bonifaci de l'Adec, le projet passe - celui-ci comme les dizaines d'autres qui ont été proposés aux techniciens de la CCI de Bastia et de la Haute-Corse - le premier cap.
"Nous jugeons d'abord de la maturité du projet. Cette phase passée nous mettons toute la batterie d'outils que nous avons en commun avec la CCI et la Boutique corse de gestion pour suivre, soutenir, accompagner et porter -gratuitement pour son concepteur - le projet jusqu'à son terme".
" J'aimerai ouvrir une agence immobilière à Bastia. Je suis venu à ces rencontres pour solliciter un triple soutien financier, technique et administratif. J'ai fourni mon business plan. En contrepartie l'on ma décliné toutes les aides dont on peut bénéficier dans ce cas de figure".
Il est vrai que le futur créateur d'entreprise est venu à l'Igesa avec ses diplômes, acquis au terme d'une première expérience dans l'immobilier, et la carte professionnelle qu'il vient d'obtenir.
"Je sais que je le lance sur un marché qui est difficile, mais s'il faut travailler dur, autant le faire pour soi" affirme le jeune homme qui a, aussi, présente à l'esprit l'idée d'ouvrir un restaurant. Avec à l'appui, là-aussi, son diplôme obtenu au lycée hôtelier et son expérience du terrain.
Avec la motivation qui est la sienne, il ne devrait pas tarder à troquer son statut de demandeur d'emploi contre celui de chef d'entreprise.
Surtout si, comme l'expliquait Florence Bonifaci de l'Adec, le projet passe - celui-ci comme les dizaines d'autres qui ont été proposés aux techniciens de la CCI de Bastia et de la Haute-Corse - le premier cap.
"Nous jugeons d'abord de la maturité du projet. Cette phase passée nous mettons toute la batterie d'outils que nous avons en commun avec la CCI et la Boutique corse de gestion pour suivre, soutenir, accompagner et porter -gratuitement pour son concepteur - le projet jusqu'à son terme".