Les propriétaires de la résidence ne sont plus ne sont plus autorisés à y vivre depuis cette sinistre nuit du 19 Octobre 2015, quand la falaise s'est effondrée derrière le bâtiment qui a fait l’objet d’un arrêté de péril.
Un coup dur pour les propriétaires même si quelques temps après, à la faveur des mécanismes de la loi Barnier, la préfecture de Haute-Corse obtenait une enveloppe prenant en charge tous les frais de relogement auxquels ont dû faire face les habitants de la résidence.
Mais à l'époque déjà, la vraie question était de savoir si Rosa Verde pourrait redevenir habitable un jour.
On se souvient que le BRGM avait donné une réponse, à priori, favorable.
Il n'en demeure pas moins que ce retour était suspendu à la réalisation de lourds travaux de purge et de renforcement de la falaise où se poseraient également, aujourd'hui, des problèmes liés à la présence d'amiante.
Au terme de cheminement, que l'on a, à peine entamé, un retour dans le bâtiment pourrait être envisagé.
"Mais quand ? Et à quel prix ? Qui va financer ?" Les propriétaires, en colère, veulent savoir.
C'est la raison de leur action de ce mardi.
Et si rien ne bouge, ils ont bien l'intention de s'installer dans le bâtiment :" Qu'ils viennent nous faire sortir !" affirment-ils en chœur.
Gilles Simeoni, président du conseil exécutif de Corse, a pris contact avec eux. Et Michel Castellani, adjoint au maire de Bastia, est venu leur apporter son soutien. Il avait été précédé, dès le début de "l'occupation", par Michel Rossi, le maire de Ville-di-Pietrabugno (notre vidéo)
Mardi en début d'après-midi ils ont obtenu le rendez-vous demandé avec le représentant de l'Etat.
Pour mieux faire passer leur sentiment de ras-le-bol face à cette incroyable situation qui les condamne à vivre partout sauf chez… eux !
Un coup dur pour les propriétaires même si quelques temps après, à la faveur des mécanismes de la loi Barnier, la préfecture de Haute-Corse obtenait une enveloppe prenant en charge tous les frais de relogement auxquels ont dû faire face les habitants de la résidence.
Mais à l'époque déjà, la vraie question était de savoir si Rosa Verde pourrait redevenir habitable un jour.
On se souvient que le BRGM avait donné une réponse, à priori, favorable.
Il n'en demeure pas moins que ce retour était suspendu à la réalisation de lourds travaux de purge et de renforcement de la falaise où se poseraient également, aujourd'hui, des problèmes liés à la présence d'amiante.
Au terme de cheminement, que l'on a, à peine entamé, un retour dans le bâtiment pourrait être envisagé.
"Mais quand ? Et à quel prix ? Qui va financer ?" Les propriétaires, en colère, veulent savoir.
C'est la raison de leur action de ce mardi.
Et si rien ne bouge, ils ont bien l'intention de s'installer dans le bâtiment :" Qu'ils viennent nous faire sortir !" affirment-ils en chœur.
Gilles Simeoni, président du conseil exécutif de Corse, a pris contact avec eux. Et Michel Castellani, adjoint au maire de Bastia, est venu leur apporter son soutien. Il avait été précédé, dès le début de "l'occupation", par Michel Rossi, le maire de Ville-di-Pietrabugno (notre vidéo)
Mardi en début d'après-midi ils ont obtenu le rendez-vous demandé avec le représentant de l'Etat.
Pour mieux faire passer leur sentiment de ras-le-bol face à cette incroyable situation qui les condamne à vivre partout sauf chez… eux !
wcb
La Résidence Rosa Verde le 20 Octobre 2015