Mais l'homme, qui n'a jamais été aussi bien dans ses… gants, n'en est pas ému pour autant.
Il a certes conscience de l'effervescence que suscite dans le monde médiatique l'événement de dimanche, mais il en faudrait certainement beaucoup plus pour ébranler la sérénité du dernier rempart des "bleus" de Bastia.
Pour lui pas vraiment le temps de réaliser. Ou d'apprécier.
Il y a encore des échéances, importantes, comme celle de ce dimanche face à Evian-Thonon à honorer, et Landreau n'entend pas vraiment se disperser. " Un gardien a tellement de responsabilités sur les épaules qu'il ne peut pas prendre le temps de prendre de se poser pour savourer". Mais quand même…
Entre deux questions, lors d'un face à face avec les journalistes de Bastia et d'ailleurs, Mika avoue quand même que ce 602ème match sera une situation particulière à vivre.
D'autant qu'après avoir disputé son premier professionnel à Furiani il y disputera son 602ème, ce dimanche puis - le dernier ? - de sa carrière à la fin de la saison face à Nantes.
Plus de liens qu'il n'en voudrait donc avec Furiani et la Corse.
Mais si les quatre clubs de sa carrière - Nantes, Paris, Lille et Bastia - auront marqué, comme bien l'on pense sa carrière, pour Mikaël Landreau Bastia et Furiani compteront une place particulière sur les principales étapes de sa carrière.
"Quand j’ai eu l’occasion de signer à Bastia, je ne trouvais pas ça anodin" soulignait encore l'ancien nantais. Certes tous ses clubs ont compté - Landreau ne le nie pas - il est même fier des valeurs qui pendant 10 ans lui ont "été inculquées" en Loire-Atlantique.
Mais il est quand même heureux - "ravi" dira t-il - de vivre l'événement à Bastia.
"Parce que l'histoire est aussi belle à Bastia avec cette forte identité, avec cette passion pour le jeu, pour le foot, pour ce que représente le Sporting pour Bastia et pour la Corse. Aujourd'hui je suis ravi que l'événement soit associé au club".
Ravi aussi de voir ce que l'on y fait. De son évolution. Des hommes qui le font avancer.
"Aujourd'hui, c'est pour moi une chance d'être ici".
Et demain, une fois qu'il aura posé ses gants, il prendra tout le temps pour savourer la journée de dimanche et celles qui vont suivre et qui jusqu'au mois de Mai prochain lui permettront de rentrer dans les annales du football français.
A moins bien sûr qu'après Rio, le Brésil et le Mondial il ne décide de porter encore plus loin et plus haut ce record.
L'après Bastia-Nantes, qui devrait marquer la fin de sa carrière, a, en effet, été évoqué mais Landreau a, déjà, prévenu : "Je ne fais pas les choses à moitié et donc je verrai. Je ne me pose déjà pas la question du physique, car tout va très bien. Si je devais continuer, ce serait probablement ici. Je ne me vois pas en tous cas continuer autre part."
Mais d'abord il y aura Sporting-Evian-Thonon et ses trois points en jeu.
Trois points que le Sporting aimerait offrir à son futur recordman. Avec Furiani derrière lui, cela relève du domaine du possible, non ?
Il a certes conscience de l'effervescence que suscite dans le monde médiatique l'événement de dimanche, mais il en faudrait certainement beaucoup plus pour ébranler la sérénité du dernier rempart des "bleus" de Bastia.
Pour lui pas vraiment le temps de réaliser. Ou d'apprécier.
Il y a encore des échéances, importantes, comme celle de ce dimanche face à Evian-Thonon à honorer, et Landreau n'entend pas vraiment se disperser. " Un gardien a tellement de responsabilités sur les épaules qu'il ne peut pas prendre le temps de prendre de se poser pour savourer". Mais quand même…
Entre deux questions, lors d'un face à face avec les journalistes de Bastia et d'ailleurs, Mika avoue quand même que ce 602ème match sera une situation particulière à vivre.
D'autant qu'après avoir disputé son premier professionnel à Furiani il y disputera son 602ème, ce dimanche puis - le dernier ? - de sa carrière à la fin de la saison face à Nantes.
Plus de liens qu'il n'en voudrait donc avec Furiani et la Corse.
Mais si les quatre clubs de sa carrière - Nantes, Paris, Lille et Bastia - auront marqué, comme bien l'on pense sa carrière, pour Mikaël Landreau Bastia et Furiani compteront une place particulière sur les principales étapes de sa carrière.
"Quand j’ai eu l’occasion de signer à Bastia, je ne trouvais pas ça anodin" soulignait encore l'ancien nantais. Certes tous ses clubs ont compté - Landreau ne le nie pas - il est même fier des valeurs qui pendant 10 ans lui ont "été inculquées" en Loire-Atlantique.
Mais il est quand même heureux - "ravi" dira t-il - de vivre l'événement à Bastia.
"Parce que l'histoire est aussi belle à Bastia avec cette forte identité, avec cette passion pour le jeu, pour le foot, pour ce que représente le Sporting pour Bastia et pour la Corse. Aujourd'hui je suis ravi que l'événement soit associé au club".
Ravi aussi de voir ce que l'on y fait. De son évolution. Des hommes qui le font avancer.
"Aujourd'hui, c'est pour moi une chance d'être ici".
Et demain, une fois qu'il aura posé ses gants, il prendra tout le temps pour savourer la journée de dimanche et celles qui vont suivre et qui jusqu'au mois de Mai prochain lui permettront de rentrer dans les annales du football français.
A moins bien sûr qu'après Rio, le Brésil et le Mondial il ne décide de porter encore plus loin et plus haut ce record.
L'après Bastia-Nantes, qui devrait marquer la fin de sa carrière, a, en effet, été évoqué mais Landreau a, déjà, prévenu : "Je ne fais pas les choses à moitié et donc je verrai. Je ne me pose déjà pas la question du physique, car tout va très bien. Si je devais continuer, ce serait probablement ici. Je ne me vois pas en tous cas continuer autre part."
Mais d'abord il y aura Sporting-Evian-Thonon et ses trois points en jeu.
Trois points que le Sporting aimerait offrir à son futur recordman. Avec Furiani derrière lui, cela relève du domaine du possible, non ?