Ces offres fermes sont toutefois assorties de conditions et en tout cas tienne compte de la décision du tribunal administratif de Bastia quia a résilié il y a quelques jours la délégation de service public (DSP) Corse-Continent.
Ainsi selon le marin.fr, l'offre de Patrick Rocca prévoit la reprise de "473 à 475 salariés" sur environ 1 500 CDI.
"On a tant promis aux salariés qu'ils vont de désillusion en désillusion. Il faut qu'ils comprennent que l'on fait ce que l'on peut faire compte tenu de la situation juridique de l'entreprise", souligne dans Le Marin Patrick Rocca. "Une augmentation des effectifs aurait en revanche lieu en cas de nouvel appel d'offres de DSP", soutient-il.
L'offre du chef d'entreprise corse prévoit le maintien des quatre cargos mixtes : trois navigueront en permanence et exclusivement entre Corse et Continent, le quatrième sera dans le même temps en arrêt technique.
Christian Gerin a par ailleurs confirmé à l'AFP qu'il avait déposé une nouvelle offre mais qu'il en réservait la teneur au tribunal de commerce.
Quant à Daniel Berrebi son offre prévoit le maintien de 775 emplois mais elle contiendrait deux clauses suspensives inhérentes aux décisions européennes et à la renégociation des accords d'entreprise.
Le tribunal de commerce de Marseille doit examiner le 22 avril les trois projets de reprise de la SNCM, déposés vendredi.
Ainsi selon le marin.fr, l'offre de Patrick Rocca prévoit la reprise de "473 à 475 salariés" sur environ 1 500 CDI.
"On a tant promis aux salariés qu'ils vont de désillusion en désillusion. Il faut qu'ils comprennent que l'on fait ce que l'on peut faire compte tenu de la situation juridique de l'entreprise", souligne dans Le Marin Patrick Rocca. "Une augmentation des effectifs aurait en revanche lieu en cas de nouvel appel d'offres de DSP", soutient-il.
L'offre du chef d'entreprise corse prévoit le maintien des quatre cargos mixtes : trois navigueront en permanence et exclusivement entre Corse et Continent, le quatrième sera dans le même temps en arrêt technique.
Christian Gerin a par ailleurs confirmé à l'AFP qu'il avait déposé une nouvelle offre mais qu'il en réservait la teneur au tribunal de commerce.
Quant à Daniel Berrebi son offre prévoit le maintien de 775 emplois mais elle contiendrait deux clauses suspensives inhérentes aux décisions européennes et à la renégociation des accords d'entreprise.
Le tribunal de commerce de Marseille doit examiner le 22 avril les trois projets de reprise de la SNCM, déposés vendredi.