Ce mercredi 20 juillet, la consternation règne sur la commune de Santa-Maria-di-Lota. Depuis une dizaine de jours, de nombreuses dégradations ont été constatées sur diverses infrastructures. La plaque commémorative sur le banc rouge en hommage aux femmes victimes de violences a été arrachée, les jeux gonflables aquatiques lacérés et décrochés, le cadenas menant à la carrière brisé.
Le maire de Santa-Maria-di-Lota, Guy Armanet, a du mal à comprendre ces actes et exprime son ras-le-bol. « C’en est trop. Il faut que ça s’arrête. Comment peut-ont faire preuve d’autant d’incivilité ? », se questionne l’édile.
Par ailleurs, de nombreux tags réalisés par des jeunes ont été retrouvés à l'intérieur du groupe scolaire en construction. Guy Armanet regrette un tel comportement qui engendrera des surcoûts dont les contribuables de la commune feront les frais.
Dernier incivisme relevé par la municipalité : un tag sur le mur extérieur de la future maison culturelle en chantier, qui dans l’attente des menuiseries, devrait ouvrir ses portes en septembre prochain. Sur l'entrée, des inscriptions « Douches mairie Fora ». Cette inscription fait référence à la coupure d’eau volontaire des douches extérieures de la plage de la municipalité, à cause de la sècheresse. « On ne sait pas si on aura de l’eau jusqu’au 12 août et des gens pensent aux douches. Mais dans quel monde vit-on ? », s’indigne, le maire. D’après les vidéos de caméra-surveillance installées à proximité, une femme serait à l’origine de ces tags.
Si la commune n’a pas encore déposé de plainte à la gendarmerie, elle se réserve le droit de le faire en s’appuyant sur son réseau de caméras de vidéosurveillance. « On espère ne pas en arriver là. Nous invitons les personnes qui sont mécontentes à se manifester de manière intelligente en se présentant en mairie tout simplement », lance Guy Armanet.
Le maire de Santa-Maria-di-Lota, Guy Armanet, a du mal à comprendre ces actes et exprime son ras-le-bol. « C’en est trop. Il faut que ça s’arrête. Comment peut-ont faire preuve d’autant d’incivilité ? », se questionne l’édile.
Par ailleurs, de nombreux tags réalisés par des jeunes ont été retrouvés à l'intérieur du groupe scolaire en construction. Guy Armanet regrette un tel comportement qui engendrera des surcoûts dont les contribuables de la commune feront les frais.
Dernier incivisme relevé par la municipalité : un tag sur le mur extérieur de la future maison culturelle en chantier, qui dans l’attente des menuiseries, devrait ouvrir ses portes en septembre prochain. Sur l'entrée, des inscriptions « Douches mairie Fora ». Cette inscription fait référence à la coupure d’eau volontaire des douches extérieures de la plage de la municipalité, à cause de la sècheresse. « On ne sait pas si on aura de l’eau jusqu’au 12 août et des gens pensent aux douches. Mais dans quel monde vit-on ? », s’indigne, le maire. D’après les vidéos de caméra-surveillance installées à proximité, une femme serait à l’origine de ces tags.
Si la commune n’a pas encore déposé de plainte à la gendarmerie, elle se réserve le droit de le faire en s’appuyant sur son réseau de caméras de vidéosurveillance. « On espère ne pas en arriver là. Nous invitons les personnes qui sont mécontentes à se manifester de manière intelligente en se présentant en mairie tout simplement », lance Guy Armanet.