Décontracté, tee-shirt gris, jean, baskets, Satya Oblette respire la simplicité. Sa présence à L’Ile-Rousse ne passe pas inaperçue. Qui en effet ne connaît pas Satya, lui qui a fait la couverture de tous les grands magazines et qui a défilé aux quatre coins du globe pour Jean-Paul Gaultier et Kenzo. Ses cheveux et son bouc teint en blond, sa peau mat et son physique branché ont largement contribué à sa renommée.
Celui qui se décrit comme le plus indien des français et le plus français des indiens, marque les esprits par son activité débordante, sa passion pour l’aviation, cette soif d’aller de l’avant.
Dans les discussions deux mots reviennent sans cesse : famille, amis.
Sans doute en raison de son enfance et de son parcours sombre et chaotique qui ne peut laisser indifférent.
Du livre « Une vie en mille morceaux, itinéraire d’un enfants adopté », il en parlera au cours de l’entretien, mais, paradoxalement ce n’est pas sa priorité.
Et, inévitablement les amis ressurgissent dans la discussion. Il y a bien entendu Virginie Bruno, une amie rencontrée au cours d’une soirée chez des amis communs : « Virginie, vous pouvez tout lui demander, elle a toujours la solution »
Et d’ajouter aussitôt : « Les gens qui m’entourent sont tous des amis très proches ».
Comme dans une pièce de théâtre, c’est justement un autre ami qui s’introduit dans la maison, Paul Bourion.
« Paul Bourion est un ancien champion automobile, manager de l’écurie Kia, avec Yvan Muller. Nous nous sommes rencontrés il y a plus de 10 ans au trophée Andros et depuis nous sommes les meilleurs amis du monde et nous développons ensemble un projet devenu aujourd’hui réalité. Paul est d’origine lorraine où, comme vous le savez sans doute, la Mirabelle est reine. Alors, avec un ami qui vit à Madagascar, et qui s’occupe d’associations qui forment des jeunes à l’artisanat, il y eu l’idée d’exporter de la vanille bourbon pour créer une liqueur du nom de Miranille. Cette liqueur fête son 2e anniversaire. C’est un excellent digestif utilisé aujourd’hui par des chefs de renom. Un livre de cuisine avec des recettes à base de Miranille est du reste en cours d’élaboration avec Virginie de Elle Cuisine .
Et comme l’ami Paul ne voulait pas en rester là, avec Etienne Descoings, champion du monde des cocktails, barman du festival de Cannes, ils ont, en binôme, revisité le célèbre Mojito en Miranito ou si vous préférez : le Mojito des lorrains. Et voilà comment je suis devenu l’ambassadeur de ces boissons que nous développons et qui en appelleront d’autres. »
A la question de savoir si cette image d’ambassadeur de boissons alcoolisées ne peut pas nuire à sa réputation, Satya balaye ça d’un revers de main : « ll s’agit là d’amitié avec une histoire liée à une rencontre entre deux terroirs, lorrains et malgache avec en toile de fond un partenariat humanitaire ».
Et Paul Bourion d’ajouter avec une pointe d’humour : « Quand on a des amis comme Satya, on n’a pas besoin d’amis »
Cinq mois d’écriture à quatre mains
Le temps s’écoule trop vite, il est grand temps de parler de ce livre autobiographique : « Une vie en 1000 morceaux, itinéraire d’un enfant adopté » paru chez Fayard.
L’heure de la séance de dédicaces à la Maison de la Presse, avenue Piccioni arrive.
« Il y a quelques années, j’ai commencé à écrire mon histoire mais je n’étais sans doute pas prêt et ce pour bien des raisons. De plus il me manquait des éléments importants. En fait, mes parents adoptifs n’ont jamais fait mystère de cette adoption mais il m’aura fallu de la version officielle à la version officieuse 28 ans pour connaître toute mon histoire ou si vous préférez le plus gros de mon histoire.
Finalement, avec un ami qui m’est très proche, nous avons écrit ce livre à quatre mains. Durant cinq mois je me suis plongé dans l’écriture pour parler de cette adoption, de mon enfance, de mes interrogations mais aussi de ma vie privée, de ma passion pour l’aéronautique et bien d’autres moments de ma vie, de mes vies ».
Au vu de ses commentaires, ce titre « Une vie en 1000 morceaux, itinéraire d’un enfant adopté » prend toute sa signification.
A la question de savoir quel était le moment fort de sa vie, Satya répond sans hésiter : « C’est celui qui commence dans la phase de rédemption. C’est là que l’on voit les choses d’un autre œil ».
Dans cette vie à mille et une facettes, la carrière de Top Model a-t-elle encore sa place ?
« Oui bien évidemment, mais elle n’est pas aussi intense et exigeante qu’à la grande époque. Aujourd’hui, je suis sur un projet pour représenter une marque française aux côtés d’une égérie, qui est une actrice américaine. Mais pour l’heure je ne souhaite pas en dire plus. Rendez-vous en octobre. Je travaille également sur le lancement d’un site marchand sur la toile avec un concept tout nouveau »
En soirée, Satya Oblette animait une soirée à "L'Acula Marina" où il avait repris son bâton d’ambassadeur de Miranille et Moranito…
Celui qui se décrit comme le plus indien des français et le plus français des indiens, marque les esprits par son activité débordante, sa passion pour l’aviation, cette soif d’aller de l’avant.
Dans les discussions deux mots reviennent sans cesse : famille, amis.
Sans doute en raison de son enfance et de son parcours sombre et chaotique qui ne peut laisser indifférent.
Du livre « Une vie en mille morceaux, itinéraire d’un enfants adopté », il en parlera au cours de l’entretien, mais, paradoxalement ce n’est pas sa priorité.
Et, inévitablement les amis ressurgissent dans la discussion. Il y a bien entendu Virginie Bruno, une amie rencontrée au cours d’une soirée chez des amis communs : « Virginie, vous pouvez tout lui demander, elle a toujours la solution »
Et d’ajouter aussitôt : « Les gens qui m’entourent sont tous des amis très proches ».
Comme dans une pièce de théâtre, c’est justement un autre ami qui s’introduit dans la maison, Paul Bourion.
« Paul Bourion est un ancien champion automobile, manager de l’écurie Kia, avec Yvan Muller. Nous nous sommes rencontrés il y a plus de 10 ans au trophée Andros et depuis nous sommes les meilleurs amis du monde et nous développons ensemble un projet devenu aujourd’hui réalité. Paul est d’origine lorraine où, comme vous le savez sans doute, la Mirabelle est reine. Alors, avec un ami qui vit à Madagascar, et qui s’occupe d’associations qui forment des jeunes à l’artisanat, il y eu l’idée d’exporter de la vanille bourbon pour créer une liqueur du nom de Miranille. Cette liqueur fête son 2e anniversaire. C’est un excellent digestif utilisé aujourd’hui par des chefs de renom. Un livre de cuisine avec des recettes à base de Miranille est du reste en cours d’élaboration avec Virginie de Elle Cuisine .
Et comme l’ami Paul ne voulait pas en rester là, avec Etienne Descoings, champion du monde des cocktails, barman du festival de Cannes, ils ont, en binôme, revisité le célèbre Mojito en Miranito ou si vous préférez : le Mojito des lorrains. Et voilà comment je suis devenu l’ambassadeur de ces boissons que nous développons et qui en appelleront d’autres. »
A la question de savoir si cette image d’ambassadeur de boissons alcoolisées ne peut pas nuire à sa réputation, Satya balaye ça d’un revers de main : « ll s’agit là d’amitié avec une histoire liée à une rencontre entre deux terroirs, lorrains et malgache avec en toile de fond un partenariat humanitaire ».
Et Paul Bourion d’ajouter avec une pointe d’humour : « Quand on a des amis comme Satya, on n’a pas besoin d’amis »
Cinq mois d’écriture à quatre mains
Le temps s’écoule trop vite, il est grand temps de parler de ce livre autobiographique : « Une vie en 1000 morceaux, itinéraire d’un enfant adopté » paru chez Fayard.
L’heure de la séance de dédicaces à la Maison de la Presse, avenue Piccioni arrive.
« Il y a quelques années, j’ai commencé à écrire mon histoire mais je n’étais sans doute pas prêt et ce pour bien des raisons. De plus il me manquait des éléments importants. En fait, mes parents adoptifs n’ont jamais fait mystère de cette adoption mais il m’aura fallu de la version officielle à la version officieuse 28 ans pour connaître toute mon histoire ou si vous préférez le plus gros de mon histoire.
Finalement, avec un ami qui m’est très proche, nous avons écrit ce livre à quatre mains. Durant cinq mois je me suis plongé dans l’écriture pour parler de cette adoption, de mon enfance, de mes interrogations mais aussi de ma vie privée, de ma passion pour l’aéronautique et bien d’autres moments de ma vie, de mes vies ».
Au vu de ses commentaires, ce titre « Une vie en 1000 morceaux, itinéraire d’un enfant adopté » prend toute sa signification.
A la question de savoir quel était le moment fort de sa vie, Satya répond sans hésiter : « C’est celui qui commence dans la phase de rédemption. C’est là que l’on voit les choses d’un autre œil ».
Dans cette vie à mille et une facettes, la carrière de Top Model a-t-elle encore sa place ?
« Oui bien évidemment, mais elle n’est pas aussi intense et exigeante qu’à la grande époque. Aujourd’hui, je suis sur un projet pour représenter une marque française aux côtés d’une égérie, qui est une actrice américaine. Mais pour l’heure je ne souhaite pas en dire plus. Rendez-vous en octobre. Je travaille également sur le lancement d’un site marchand sur la toile avec un concept tout nouveau »
En soirée, Satya Oblette animait une soirée à "L'Acula Marina" où il avait repris son bâton d’ambassadeur de Miranille et Moranito…