Malgré ses presque trente-cinq ans d’existence, l’association est plus que jamais active. Pour Gilles Andreani, de la « scola », « Natale a ouvert un sillon et nous tachons de rester dans cette lignée. Nous n’avons pas comme seul objectif de former des chanteurs. Le but de notre travail est de s’impliquer auprès des jeunes dans l’apprentissage de notre langue, de notre histoire, de notre culture. L’autre partie de notre engagement réside également dans le fait de leur faire passer des messages».
Ce rôle sociétal se réalise au travers de l’apprentissage de chansons écrites spécialement pour l’association et mises en musique par les bénévoles : « nous travaillons sur des thèmes liés à l’histoire, à l’actualité. Cette année, nous avons étudié des textes qui parlent de la Xylella fastidiosa pour expliquer l’importance de préserver notre patrimoine naturel mais aussi sur Alexis Mondoloni, jeune corse décédé durant la guerre d’Algérie. L’an passé nous avons traité de certains dangers qui menacent la jeunesse avec une chanson de canta u populu Corsu qui parle de la mort d’Antoine Casanova, étudiant à l’Université de Corse ».
Dès lors, a Scola di Cantu se veut aussi être un outil pour faire de la prévention, de l’accompagnement auprès d’une jeunesse à laquelle il faut donner des repères. « C’est dans cette optique que nous établissons le choix de nos représentations. On met l’accent sur le rural pour lutter contre la désertification, les concerts de quartier quant à eux vont servir à aller à la rencontre de jeunes qu’on invitera à venir nous rejoindre, enfin il y a la participation à des évènements dont la thématique nous tient à cœur comme par exemple a festa di a lingua corsa lundi dernier à l’espace diamant. »
De beaux moments de rassemblement assurés par les bénévoles qui préparent les élèves dès l’âge de huit ans durant toute l’année scolaire (les lundis soir pour l’atelier chant et les mercredis pour l’atelier guitare au Lycée Fesch*) et qui gèrent la logistique.
Una autre volonté respectée de Natale Luciani : la gratuité de l’inscription pour favoriser l’accès à tous.
Nul doute qu’au vu de l’ampleur de la tâche, de l’investissement de ses membres et des résultats obtenus tant sur le plan artistique que personnel, «una fede, una scola », sa chanson-hymne prend désormais tout son sens….
Ce rôle sociétal se réalise au travers de l’apprentissage de chansons écrites spécialement pour l’association et mises en musique par les bénévoles : « nous travaillons sur des thèmes liés à l’histoire, à l’actualité. Cette année, nous avons étudié des textes qui parlent de la Xylella fastidiosa pour expliquer l’importance de préserver notre patrimoine naturel mais aussi sur Alexis Mondoloni, jeune corse décédé durant la guerre d’Algérie. L’an passé nous avons traité de certains dangers qui menacent la jeunesse avec une chanson de canta u populu Corsu qui parle de la mort d’Antoine Casanova, étudiant à l’Université de Corse ».
Dès lors, a Scola di Cantu se veut aussi être un outil pour faire de la prévention, de l’accompagnement auprès d’une jeunesse à laquelle il faut donner des repères. « C’est dans cette optique que nous établissons le choix de nos représentations. On met l’accent sur le rural pour lutter contre la désertification, les concerts de quartier quant à eux vont servir à aller à la rencontre de jeunes qu’on invitera à venir nous rejoindre, enfin il y a la participation à des évènements dont la thématique nous tient à cœur comme par exemple a festa di a lingua corsa lundi dernier à l’espace diamant. »
De beaux moments de rassemblement assurés par les bénévoles qui préparent les élèves dès l’âge de huit ans durant toute l’année scolaire (les lundis soir pour l’atelier chant et les mercredis pour l’atelier guitare au Lycée Fesch*) et qui gèrent la logistique.
Una autre volonté respectée de Natale Luciani : la gratuité de l’inscription pour favoriser l’accès à tous.
Nul doute qu’au vu de l’ampleur de la tâche, de l’investissement de ses membres et des résultats obtenus tant sur le plan artistique que personnel, «una fede, una scola », sa chanson-hymne prend désormais tout son sens….