La journée promettait d'être belle pour le Cap Corse et l'Agriate avec la création -officielle - du Parc naturel marin que Ségolène Royal, Ségolène Royal, ministre de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer, chargée des Relations internationales sur le climat, venait porter sur les fonts baptismaux à deux pas du petit port d'Erbalunga dans le Cap Corse.
Le décret de création du Parc venait, en effet, d'être signé - il sera publié au Journal Officiel de Lundi - et il s'agissait pour la ministre, entourée du maire de la commune Dominique Ricci, du président du Conseil exécutif, du président de l'assemblée de Corse, du député de la circonscription de Bastia, de la présidente de l'office de l'environnement de la Corse, du président du conseil départemental de la Haute-Corse, du maire de Bastia, du préfet de Haute-Corse, du président de la CAB et de tous les maires concernés par l'aire du nouveau Parc Marin de célébrer son avènement…
Mais les tragiques événements de la veille qui ont endeuillé l'autre rive de la Méditerranée ont gâché la fête.
La naissance, officielle du plus grand parc naturel marin de métropole avec 6 830 km², a bien eu lieu mais avant de sceller la concrétisation du projet qui a mis à peine un an pour se concrétiser, l'assemblée a, à la demande de Ségolène Royal, observé un long moment de silence à la mémoire des innocentes victimes de Nice.
Puis toutes les personnalités concernées par la signature de la convention, liant désormais toutes les parties, ont sacrifié aux traditionnelles allocutions mais du maire de Brando Dominique Ricci, à Ségolène Royal en passant par Gilles Simeoni, Jean-Guy Talamoni, François Orlandi et tous ceux venus exposer leur expérience sur le terrain ou rappeler l'importance de la mer pour la Corse, le cœur n'y était vraiment pas...
De fait juste avant la concrétisation du rail maritime dans le canal de Corse - autre projet porté par Ségolène Royal qui a fait l'unanimité pour les engagements pris et tenus envers la Corse - la ministre décidait d'écourter sa visite et de s'envoler vers Paris.
Mais promesse a été faite de revenir compléter le programme qu'elle n'a pas pu mener à son terme.
Elle la tiendra…
Le décret de création du Parc venait, en effet, d'être signé - il sera publié au Journal Officiel de Lundi - et il s'agissait pour la ministre, entourée du maire de la commune Dominique Ricci, du président du Conseil exécutif, du président de l'assemblée de Corse, du député de la circonscription de Bastia, de la présidente de l'office de l'environnement de la Corse, du président du conseil départemental de la Haute-Corse, du maire de Bastia, du préfet de Haute-Corse, du président de la CAB et de tous les maires concernés par l'aire du nouveau Parc Marin de célébrer son avènement…
Mais les tragiques événements de la veille qui ont endeuillé l'autre rive de la Méditerranée ont gâché la fête.
La naissance, officielle du plus grand parc naturel marin de métropole avec 6 830 km², a bien eu lieu mais avant de sceller la concrétisation du projet qui a mis à peine un an pour se concrétiser, l'assemblée a, à la demande de Ségolène Royal, observé un long moment de silence à la mémoire des innocentes victimes de Nice.
Puis toutes les personnalités concernées par la signature de la convention, liant désormais toutes les parties, ont sacrifié aux traditionnelles allocutions mais du maire de Brando Dominique Ricci, à Ségolène Royal en passant par Gilles Simeoni, Jean-Guy Talamoni, François Orlandi et tous ceux venus exposer leur expérience sur le terrain ou rappeler l'importance de la mer pour la Corse, le cœur n'y était vraiment pas...
De fait juste avant la concrétisation du rail maritime dans le canal de Corse - autre projet porté par Ségolène Royal qui a fait l'unanimité pour les engagements pris et tenus envers la Corse - la ministre décidait d'écourter sa visite et de s'envoler vers Paris.
Mais promesse a été faite de revenir compléter le programme qu'elle n'a pas pu mener à son terme.
Elle la tiendra…