Autour de Fabiana Giovannini et Sylvain Mazelly, à droite, les invites d'Aghjasole
Porteurs de projet solaire thermique, installateurs et bureaux d'études régionaux, représentants des collectivités, EDF et les acteurs économiques ont juger de la qualité et de la fiabilité du solaire thermique en grimpant mercredi en fin d'après-midi jusque sur le toit de l'Ehap Sainte-Thérèse, dans les quartiers Sud de Bastia, où l'on a fait confiance à la filière thermique dès 2011.
Il s'agissait là de la première manifestation de la relance de l'utilisation de l'énergie solaire thermique - trois autres événements similaires se dérouleront avant la fin de l'année dans d'autres régions de l'Île - qui s'inscrit dans le sillage de l'audit* réalisé sur la filière solaire thermique de 2015 au terme duquel la CTC, via son agence de l'urbanisme et du développement durable, et l'Etat, via l'Ademe, ont décidé de mettre en place des moyens exceptionnels pour le redéploiement de l'énergie solaire thermique en Corse.
"Nous avons ce qu'il faut sur ce plan en Corse" disait Fabiana Giovannini, présidente de l'AAUC. "Nous avons du travail à effectuer ensemble. Il faut nous donner la main pour y parvenir" a t-elle déclaré en s'adressant aux invités de l'association Aghjasole dont Georges Guironnet, chargé de mission, venait de définir le rôle ainsi que de préciser celui confié à Sylvain Mazzely**, ingénieur dédié à la relance de l'ensemble de la filière avec le soutien d'EDF Corse, dans le cadre de l'appel à projets.
Des moyens financés par la CTC, AAUC et l'Ademe qui vont aller de pair avec la réalisation d'une charte des installateurs pour encadrer l'activité et diffuser les bonnes pratiques.
Mercredi, en compagnie de Christian Mariani, responsable de l'unité énergie à l'AAUC, les invités d'Aghasole ont donc pu visiter l'installation de production d'eau chaude solaire de l'Hepad (3 000 l avec 110 m2 de capteurs solaires pour un coût total de 60 000€ dont 39 000 d'aides), mais aussi évoquer les mesures de soutien financier de la CTC et de l'Ademe, l'appel à projets en cours et la formation, indispensable, qui en Septembre permettra à tous les acteurs de la filière d'atteindre le plus haut niveau de compétence pour tirer avantage " de cette magnifique centrale thermonucléaire gratuite et inépuisable : le soleil !" ainsi que le rappelait justement Georges Guironnet.
Il s'agissait là de la première manifestation de la relance de l'utilisation de l'énergie solaire thermique - trois autres événements similaires se dérouleront avant la fin de l'année dans d'autres régions de l'Île - qui s'inscrit dans le sillage de l'audit* réalisé sur la filière solaire thermique de 2015 au terme duquel la CTC, via son agence de l'urbanisme et du développement durable, et l'Etat, via l'Ademe, ont décidé de mettre en place des moyens exceptionnels pour le redéploiement de l'énergie solaire thermique en Corse.
"Nous avons ce qu'il faut sur ce plan en Corse" disait Fabiana Giovannini, présidente de l'AAUC. "Nous avons du travail à effectuer ensemble. Il faut nous donner la main pour y parvenir" a t-elle déclaré en s'adressant aux invités de l'association Aghjasole dont Georges Guironnet, chargé de mission, venait de définir le rôle ainsi que de préciser celui confié à Sylvain Mazzely**, ingénieur dédié à la relance de l'ensemble de la filière avec le soutien d'EDF Corse, dans le cadre de l'appel à projets.
Des moyens financés par la CTC, AAUC et l'Ademe qui vont aller de pair avec la réalisation d'une charte des installateurs pour encadrer l'activité et diffuser les bonnes pratiques.
Mercredi, en compagnie de Christian Mariani, responsable de l'unité énergie à l'AAUC, les invités d'Aghasole ont donc pu visiter l'installation de production d'eau chaude solaire de l'Hepad (3 000 l avec 110 m2 de capteurs solaires pour un coût total de 60 000€ dont 39 000 d'aides), mais aussi évoquer les mesures de soutien financier de la CTC et de l'Ademe, l'appel à projets en cours et la formation, indispensable, qui en Septembre permettra à tous les acteurs de la filière d'atteindre le plus haut niveau de compétence pour tirer avantage " de cette magnifique centrale thermonucléaire gratuite et inépuisable : le soleil !" ainsi que le rappelait justement Georges Guironnet.
Sainte-Thérèse est également doté d'une chaudière à bois.
*L'audit réalisé tout au long de l'année 2014 démontre que globalement les utilisateurs sont satisfaits mais que le nombre d'installations collectives (secteur touristique, médico-social etc...) est en régression constante. La technologie est délaissée par les acteurs professionnels.
Reste que le SRCAE ( Schéma régional climat air énergie), volet énergétique du Padduc définit l'autonomie de la Corse ) l'horizon 2050. Le solaire thermique est l'un des moyens pour y parvenir. Pour cela, d'ici 2023, 30 000m2 de capteurs solaires supplémentaires doivent être posés en Corse.
** sylvain.mazelly@aghjasole.fr
Maison du Parc Technologique, 20600 Bastia
Reste que le SRCAE ( Schéma régional climat air énergie), volet énergétique du Padduc définit l'autonomie de la Corse ) l'horizon 2050. Le solaire thermique est l'un des moyens pour y parvenir. Pour cela, d'ici 2023, 30 000m2 de capteurs solaires supplémentaires doivent être posés en Corse.
** sylvain.mazelly@aghjasole.fr
Maison du Parc Technologique, 20600 Bastia
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