L'ambiance
Un match de Ligue 1 un mercredi à 18h30 n'a aucune chance d'attirer les foules. Ce SCB-Nantes n'a pas dérogé à la règle. On n'était pas à huis clos au coup d'envoi, mais vraiment en petit comité. Difficile dans ces conditions d'enflammer les courageux qui avaient bravé le froid glacial et humide de Furiani. Heureusement qu'il y avait les "allez Bastia" de la tribune Petrignani pour réchauffer l'atmosphère...
Le match
Squillaci, Palmieri, Cahuzac et Ayité sur le banc : François Ciccolini a fait "tourner", comme il l'avait annoncé, mercredi soir à Furiani. Il est vrai qu'au-delà de ce match de mise à jour du calendrier face à Nantes, il y en a un plus important qui se profile à l'horizon immédiat du Sporting : il y celui de ce samedi face à Lille de Frédéric Antonetti qui lutte, lui aussi, pour assurer son maintien en Ligue 1.
Mais pas question pour autant au Sporting de laisser filer ce match qui gagné rapprocherait encore un peu plus le SCB d'un nouveau "mandat" à ce niveau.
Certes le Nantes de Guillaume Gillet fut le premier à montrer le bout de son nez mais Iloky ne sut pas tirer profit de ce tout premier ballon.
Danic dans le camp opposé ne se montra pas plus inspiré en se faisant contrer en pleine surface par Cana pour avoir sans doute temporisé alors qu'il avait le but grand ouvert devant lui.
Puis c'était au tour de Brandao de se rater sur ce service peut-être un peu trop en retrait de Ngando que le Brésilien fut incapable de maîtriser.
Bref malgré quelques mouvements agréables à l'oeil mais totalement improductif, Furiani n'eut guère l'occasion de s'enflammer, bien au contraire...
Pourtant face à cet adversaire qui avait décider de jouer haut, ce fut le Sporting qui contribua un peu à réchauffer l'atmosphère avec une première frappe cadrée de Fofana que Riou capta sans danger puis une seconde qui se perdit dans la tribune Petrignani. Riou eut encore très chaud à la 40e minute sur ce corner de Danic qu'il se montra incapable de maîtriser : le ballon retomba dans les pieds de Modesto mais impossible pour le capitaine bastiais de le récupérer et de le glisser au fond des filets de Nantes.
Mais un peu avant la pause ce fut au tour du Sporting de craindre le pire quand après un contre rapidement mené sur le côté gauche Sabaly débordait et centrait en retrait pour Bambou . Sa frappe tendue était heureusement repoussée des deux poings par Jean-Louis particulièrement inspiré pour la circonstance !
A la reprise la physionomie de la rencontre ne changeait pas : Le Sporting restait toujours aussi peu inspiré face à un adversaire qui, il est est vrai, était bien en place.
Et ce furent, encore, les Nantais qui mirent la plus belle opportunité à leur actif avec une frappe de Thomasson repoussée une fois de plus par Leca.
Finalement malgré une fin de match animée avec le ballon qui voyageait rapidement d'u camp à l'autre les deux équipes se quittaient dos à dos 0 à 0.
Le deuxième en trois jours pour le Sporting : il faudra remettre les gaz face à Lille pour obtenir ce maintien qui n'est plus maintenant qu'à trois toutes petites unités !
Le Sporting
"Il y a des joueurs qui ont besoin de se faire voir" disait, encore, la veille Ciccolini en anticipant, sans doute, ce qu'il allait faire ce mercredi soir. Ceux-là n'ont manqué ni d'entrain, ni d'envie. De tranchant plus sûrement. Il y a eu, mercredi soir à Furiani comme samedi dernier face à Nantes, des opportunités. Et quelques occasions. Mais ce n'est pas pour autant que ceux qui ont été appelés par Ciccolini ont réussi à faire la différence. A emballer la partie comme sans doute Furiani aurait aimé les voir faire. C'est la raison pour laquelle l'entraîneur bastiais a décidé de dynamiser son équipe en appelant sur le terrain deux de ses meilleurs atouts offensifs : Ayité et Palmieri.
Mais ce fut en vain.
L'adversaire
Le FC Nantes au sortir de son élimination en coupe de France à Sochaux puis sa lourde défaite dans le derby breton (1-4) face à Rennes avait besoin de se rassurer. Les Bretons l'ont face au Sporting. Bien sûr ce ne fut pas du grand Nantes comme ce ne fut pas du grand Bastia, mais les visiteurs ont su parfaitement ménager leur monture pour, in fine, sans briller pour autant d'un vif éclat, décrocher un point qui conforte leur position juste au-dessus de Bastia au classement.
Le bilan
Au match aller au mois de Novembre le Sporting qui avait pris un point à Nantes (1-1) avait cédé sa place de premier relégable à Lille. Mercredi soir en partageant également les points avec les "Canaris" le SCB de François Ciccolini s'est installé dans le Top 10 de la Ligue 1 ! Que dire de plus ?
Un match de Ligue 1 un mercredi à 18h30 n'a aucune chance d'attirer les foules. Ce SCB-Nantes n'a pas dérogé à la règle. On n'était pas à huis clos au coup d'envoi, mais vraiment en petit comité. Difficile dans ces conditions d'enflammer les courageux qui avaient bravé le froid glacial et humide de Furiani. Heureusement qu'il y avait les "allez Bastia" de la tribune Petrignani pour réchauffer l'atmosphère...
Le match
Squillaci, Palmieri, Cahuzac et Ayité sur le banc : François Ciccolini a fait "tourner", comme il l'avait annoncé, mercredi soir à Furiani. Il est vrai qu'au-delà de ce match de mise à jour du calendrier face à Nantes, il y en a un plus important qui se profile à l'horizon immédiat du Sporting : il y celui de ce samedi face à Lille de Frédéric Antonetti qui lutte, lui aussi, pour assurer son maintien en Ligue 1.
Mais pas question pour autant au Sporting de laisser filer ce match qui gagné rapprocherait encore un peu plus le SCB d'un nouveau "mandat" à ce niveau.
Certes le Nantes de Guillaume Gillet fut le premier à montrer le bout de son nez mais Iloky ne sut pas tirer profit de ce tout premier ballon.
Danic dans le camp opposé ne se montra pas plus inspiré en se faisant contrer en pleine surface par Cana pour avoir sans doute temporisé alors qu'il avait le but grand ouvert devant lui.
Puis c'était au tour de Brandao de se rater sur ce service peut-être un peu trop en retrait de Ngando que le Brésilien fut incapable de maîtriser.
Bref malgré quelques mouvements agréables à l'oeil mais totalement improductif, Furiani n'eut guère l'occasion de s'enflammer, bien au contraire...
Pourtant face à cet adversaire qui avait décider de jouer haut, ce fut le Sporting qui contribua un peu à réchauffer l'atmosphère avec une première frappe cadrée de Fofana que Riou capta sans danger puis une seconde qui se perdit dans la tribune Petrignani. Riou eut encore très chaud à la 40e minute sur ce corner de Danic qu'il se montra incapable de maîtriser : le ballon retomba dans les pieds de Modesto mais impossible pour le capitaine bastiais de le récupérer et de le glisser au fond des filets de Nantes.
Mais un peu avant la pause ce fut au tour du Sporting de craindre le pire quand après un contre rapidement mené sur le côté gauche Sabaly débordait et centrait en retrait pour Bambou . Sa frappe tendue était heureusement repoussée des deux poings par Jean-Louis particulièrement inspiré pour la circonstance !
A la reprise la physionomie de la rencontre ne changeait pas : Le Sporting restait toujours aussi peu inspiré face à un adversaire qui, il est est vrai, était bien en place.
Et ce furent, encore, les Nantais qui mirent la plus belle opportunité à leur actif avec une frappe de Thomasson repoussée une fois de plus par Leca.
Finalement malgré une fin de match animée avec le ballon qui voyageait rapidement d'u camp à l'autre les deux équipes se quittaient dos à dos 0 à 0.
Le deuxième en trois jours pour le Sporting : il faudra remettre les gaz face à Lille pour obtenir ce maintien qui n'est plus maintenant qu'à trois toutes petites unités !
Le Sporting
"Il y a des joueurs qui ont besoin de se faire voir" disait, encore, la veille Ciccolini en anticipant, sans doute, ce qu'il allait faire ce mercredi soir. Ceux-là n'ont manqué ni d'entrain, ni d'envie. De tranchant plus sûrement. Il y a eu, mercredi soir à Furiani comme samedi dernier face à Nantes, des opportunités. Et quelques occasions. Mais ce n'est pas pour autant que ceux qui ont été appelés par Ciccolini ont réussi à faire la différence. A emballer la partie comme sans doute Furiani aurait aimé les voir faire. C'est la raison pour laquelle l'entraîneur bastiais a décidé de dynamiser son équipe en appelant sur le terrain deux de ses meilleurs atouts offensifs : Ayité et Palmieri.
Mais ce fut en vain.
L'adversaire
Le FC Nantes au sortir de son élimination en coupe de France à Sochaux puis sa lourde défaite dans le derby breton (1-4) face à Rennes avait besoin de se rassurer. Les Bretons l'ont face au Sporting. Bien sûr ce ne fut pas du grand Nantes comme ce ne fut pas du grand Bastia, mais les visiteurs ont su parfaitement ménager leur monture pour, in fine, sans briller pour autant d'un vif éclat, décrocher un point qui conforte leur position juste au-dessus de Bastia au classement.
Le bilan
Au match aller au mois de Novembre le Sporting qui avait pris un point à Nantes (1-1) avait cédé sa place de premier relégable à Lille. Mercredi soir en partageant également les points avec les "Canaris" le SCB de François Ciccolini s'est installé dans le Top 10 de la Ligue 1 ! Que dire de plus ?
La fiche technique
A Furiani, SCB : 0 FC Nantes : 0
Buts pour le Sporting, pour le FC Nantes
Arbitre : M. Moreira
Avertissements : Modesto (55e) au Sporting, Sabaly (19e), Iloki (43e), Sigthersson (77e) à Nantes
Spectateurs : 11 071
SCB
Leca, Djiku, Peybernes, Modesto, Marange puis Palmieri (60e) Fofana, Mostefa, Ngando puis Coulibaly (82e), Kamano puis Ayité (60e) , Brandao, Danic
FC Nantes
Riou, Sabaly, Vizcarrondo, Cana puis Djidji (72e) , Dubois, Gomis, Gillet, Iloki, Bammou puis Sala (85e), Thomasson puis Audel (72e), Sigthersson
Buts pour le Sporting, pour le FC Nantes
Arbitre : M. Moreira
Avertissements : Modesto (55e) au Sporting, Sabaly (19e), Iloki (43e), Sigthersson (77e) à Nantes
Spectateurs : 11 071
SCB
Leca, Djiku, Peybernes, Modesto, Marange puis Palmieri (60e) Fofana, Mostefa, Ngando puis Coulibaly (82e), Kamano puis Ayité (60e) , Brandao, Danic
FC Nantes
Riou, Sabaly, Vizcarrondo, Cana puis Djidji (72e) , Dubois, Gomis, Gillet, Iloki, Bammou puis Sala (85e), Thomasson puis Audel (72e), Sigthersson