L'ambiance
On est bien d'accord. Le Sporting n'allait pas très fort avant ce rendez-vous et son comportement sur le terrain n'avait pas soulevé jusque-là des vagues d'enthousiasme. Mais si vous mettez un peu de PSG du côté de Furiani, ne vous étonnez pas de voir comment sur l'air de "Solu noi" le stade Armand-Cesari se met à chanter, à danser - et à enfumer l'aire de jeu - à la gloire de ses "bleus".
Le match
Le début de match ?
Il fut "bleu" avec d'entrée de jeu Danic qui mettait un ballon de but dans le... dos de Ngando puis Cahuzac qui jouait les meneurs de jeu sur le côté droit avant d'emmener la défense centrale parisienne à cafouiller sur son centre et à mettre maladroitement en corner.
A l'évidence ce n'était pas du grand PSG qui était de sortie mais même en évoluant au petit trop l'écurie parisienne restait dangereuse même si Pastore, sollicité par Aurier, ne pouvait pas faire mieux que de placer sa reprise de la tête à gauche de la cage de Leca qui attendit un bon moment avant de toucher son premier ballon.
A l'inverse Sirigu pouvait s'estimer heureux de voir Danic cafouiller ce ballon que tout Furiani voyait déjà au fond des filets parisiens.
Mais si Le Sporting poussait, parfois à bon escient, le match restait dans les starting-blocks. Les "bleus" essayaient bien d'aller de l'avant. Paris résistait mais sans donner l'impression de vraiment vouloir aller au-delà...
Bref, le spectacle était resté aux vestiaires...
Les choses ne pouvaient pas en rester là.
A la reprise le PSG entreprenait alors de sortir un peu bois. En perçant sempiternellement du côté droit pour essayer de trouver dans l'axe Ibrahimovic et Cavani.
Le Sporting répliquait par Peybernes qui jouait les ailiers de de débordement ou par Fofana qui prenait sa chance, en force, face à Sirigu.
Mais en face le duo Cavani-Ibrahimovic faisait encore des siennes.
Une fois puis deux Jean-Louis Leca avait repoussé de fort belle manière les tentatives parisiennes. La troisième fut fatale au Sporting. Un contrôle, tranquille - trop parce que hors-jeu -, dans la surface puis un petit ballon en retrait pour le premier et bientôt une frappe du second : c'était trop pour que Jean-Louis Leca joue, une fois encore, le pompier de service !
Et quand Aurier remit ça, dix minutes plus tard, avec une nouvelle fois Ibrahimovic à la conclusion, on put mieux mesurer l'écart qui séparait les deux équipes.
Les miracles, même face au PSG, ne se reproduisent jamais deux fois !
Le Sporting
Le SCB, avec ses petits moyens, pouvait-il faire mieux face à la constellation parisienne ? Furiani en a longtemps rêvé samedi après-midi surtout quand les "Bleus" de Printant ont réussi à secouer le cocotier parisien. Mais la réalité du terrain a pris le pas sur tous les rêves. Le Sporting, même s'il ne s'est pas ménagé, n'a pas gagné. Surement parce qu'il a eu à composer avec plus fort que lui. Et avec un adversaire supplémentaire : le juge de ligne et l'arbitre qui n'ont pas vu comment Ibrahimovic a abusé Jean-Louis Leca.
L'adversaire
On sait que le PSG n'a pas besoin de forcer son talent au plan national surtout pour gagner un match. Cette partie de samedi l'a une fois de plus démontré : les parisiens ont longtemps joué à l'économie. Face à un adversaire, qui a joué pied au plancher et qui s'est battu, malgré tout, avec une belle énergie, il a su frapper au bon moment pour remporter sans coup férir un énième succès
Le bilan
Si l'on s'en tient au seul résultat il est totalement négatif pour le Sporting. Mais Printant et les siens, qui étaient les seuls à espérer à réaliser une "perf" face au PSG, retireront malgré tout des motifs de satisfaction.
Au plan du comportement surtout. Et de la confiance.
Ils en auront bien besoin au cours des journées à venir !
On est bien d'accord. Le Sporting n'allait pas très fort avant ce rendez-vous et son comportement sur le terrain n'avait pas soulevé jusque-là des vagues d'enthousiasme. Mais si vous mettez un peu de PSG du côté de Furiani, ne vous étonnez pas de voir comment sur l'air de "Solu noi" le stade Armand-Cesari se met à chanter, à danser - et à enfumer l'aire de jeu - à la gloire de ses "bleus".
Le match
Le début de match ?
Il fut "bleu" avec d'entrée de jeu Danic qui mettait un ballon de but dans le... dos de Ngando puis Cahuzac qui jouait les meneurs de jeu sur le côté droit avant d'emmener la défense centrale parisienne à cafouiller sur son centre et à mettre maladroitement en corner.
A l'évidence ce n'était pas du grand PSG qui était de sortie mais même en évoluant au petit trop l'écurie parisienne restait dangereuse même si Pastore, sollicité par Aurier, ne pouvait pas faire mieux que de placer sa reprise de la tête à gauche de la cage de Leca qui attendit un bon moment avant de toucher son premier ballon.
A l'inverse Sirigu pouvait s'estimer heureux de voir Danic cafouiller ce ballon que tout Furiani voyait déjà au fond des filets parisiens.
Mais si Le Sporting poussait, parfois à bon escient, le match restait dans les starting-blocks. Les "bleus" essayaient bien d'aller de l'avant. Paris résistait mais sans donner l'impression de vraiment vouloir aller au-delà...
Bref, le spectacle était resté aux vestiaires...
Les choses ne pouvaient pas en rester là.
A la reprise le PSG entreprenait alors de sortir un peu bois. En perçant sempiternellement du côté droit pour essayer de trouver dans l'axe Ibrahimovic et Cavani.
Le Sporting répliquait par Peybernes qui jouait les ailiers de de débordement ou par Fofana qui prenait sa chance, en force, face à Sirigu.
Mais en face le duo Cavani-Ibrahimovic faisait encore des siennes.
Une fois puis deux Jean-Louis Leca avait repoussé de fort belle manière les tentatives parisiennes. La troisième fut fatale au Sporting. Un contrôle, tranquille - trop parce que hors-jeu -, dans la surface puis un petit ballon en retrait pour le premier et bientôt une frappe du second : c'était trop pour que Jean-Louis Leca joue, une fois encore, le pompier de service !
Et quand Aurier remit ça, dix minutes plus tard, avec une nouvelle fois Ibrahimovic à la conclusion, on put mieux mesurer l'écart qui séparait les deux équipes.
Les miracles, même face au PSG, ne se reproduisent jamais deux fois !
Le Sporting
Le SCB, avec ses petits moyens, pouvait-il faire mieux face à la constellation parisienne ? Furiani en a longtemps rêvé samedi après-midi surtout quand les "Bleus" de Printant ont réussi à secouer le cocotier parisien. Mais la réalité du terrain a pris le pas sur tous les rêves. Le Sporting, même s'il ne s'est pas ménagé, n'a pas gagné. Surement parce qu'il a eu à composer avec plus fort que lui. Et avec un adversaire supplémentaire : le juge de ligne et l'arbitre qui n'ont pas vu comment Ibrahimovic a abusé Jean-Louis Leca.
L'adversaire
On sait que le PSG n'a pas besoin de forcer son talent au plan national surtout pour gagner un match. Cette partie de samedi l'a une fois de plus démontré : les parisiens ont longtemps joué à l'économie. Face à un adversaire, qui a joué pied au plancher et qui s'est battu, malgré tout, avec une belle énergie, il a su frapper au bon moment pour remporter sans coup férir un énième succès
Le bilan
Si l'on s'en tient au seul résultat il est totalement négatif pour le Sporting. Mais Printant et les siens, qui étaient les seuls à espérer à réaliser une "perf" face au PSG, retireront malgré tout des motifs de satisfaction.
Au plan du comportement surtout. Et de la confiance.
Ils en auront bien besoin au cours des journées à venir !
La fiche technique
A Furiani, SC Bastia : 2 Paris SG : 0 (0-0)
Pour le PSG : Ibrahimovic (72e, 82e))
Arbitre : M. Jaffredo
Avertissements : Danic (28e), Nando (38e), Cahuzac (47e) au SCB; Marquihnos (41e) au PSG.
13 071 spectateurs
SC Bastia
Leca, Cioni, Peybernes, Squillaci, Palmieri,Cahuzac, Fofana, Diallo puis Brandao (62e), Danic, Ngando, Ayité (Hansen, Modesto, Alexandre, Houri, Coulibaly, Raspentino)
PSG
Sirigu, Aurier, Marquihnos, Maxwel puis Kurzawa (86e), Thiago, Stambouli puis Motta (62e), Rabiot,Lucas puis Lavezzi (73e), Pastore, Cavani, Ibrahimovic (Douchez, Van der Wiel, Augustin, Ongenda)
Pour le PSG : Ibrahimovic (72e, 82e))
Arbitre : M. Jaffredo
Avertissements : Danic (28e), Nando (38e), Cahuzac (47e) au SCB; Marquihnos (41e) au PSG.
13 071 spectateurs
SC Bastia
Leca, Cioni, Peybernes, Squillaci, Palmieri,Cahuzac, Fofana, Diallo puis Brandao (62e), Danic, Ngando, Ayité (Hansen, Modesto, Alexandre, Houri, Coulibaly, Raspentino)
PSG
Sirigu, Aurier, Marquihnos, Maxwel puis Kurzawa (86e), Thiago, Stambouli puis Motta (62e), Rabiot,Lucas puis Lavezzi (73e), Pastore, Cavani, Ibrahimovic (Douchez, Van der Wiel, Augustin, Ongenda)