L'ambiance
Ce n'est pas parce que le Sporting traverse une mauvaise passe que Furiani l'a abandonné. Bien au contraire. Certes Armand-Cesari était un peu moins garni qu'à l'accoutumé - quatre défaites consécutives ça peut, en effet, freiner les ardeurs - mais l'amour du bleu et de ce maillot atténue toutes les déceptions. En tout cas il ne sera jamais de nature à détourner le public de Furiani de son équipe.
Le match
Dans la situation où il était le Sporting ne pouvait pas se contenter de subir les événements. Il lui fallait les provoquer. Et il l'a très bien fait en entrant dans ce match le mors aux dents. Et en moins de temps qu'il ne faut presque pour l'écrire, il s'est retrouvé à la tête d'un capital d'un but, fruit de l'investissement idéal de Brandao et surtout Plamieri qui se retrouva à point nommé pour reprendre de la tête le ballon renvoyé par la transversale de Goiecoechea sur la la première tentative du Brésilien.
Cela ne pouvait mieux démarrer pour les joueurs de Ghislain Printant qui n'avaient pas attendu que tous les spectateurs de Furiani aient regagné leurs places pour, enfin, retrouver le chemin des filets.
Mais les retardataires en eurent, aussi, pour leur argent.
Et devinez qui fit le spectacle qui permit au SCB d'atteindre la pause avec un confortable 3 à 0 ?
Sébastien Squillaci. Sa tête plutôt. Celle qu'il plaça à deux reprises sur deux coups de pied arrêtés.
La première fois sur ce coup-franc que Goicoechea fut incapable de maîtriser. "Toto", bien placé, frappa une première pour le plus grand bonheur de Furiani.
"Toto", la tête du Sporting "remit ça" un peu avant la pause. Un peu comme à l'entraînement en étant oublié par tout le Toulouse FC au second poteau à la suite d'un corner frappé par Diallo.
Et cela faisait 3 à 0 à la pause.
Mais on doit à la vérité de dire que cela était plutôt bien payé par le Sporting qui doit une sacré et fière chandelle à Jean-Louis Leca, décisif à deux ou trois reprises, tenant ainsi la "baraque" d'un Sporting qui connut un long et sérieux passage à vide avant que Squillaci ne lui donne de l'air en deux temps, trois mouvements.
Bizarre le foot quand même...
Mais on ne va pas s'en plaindre, non !
D'autant qu'à la reprise le TFC, sans doute vexé appuya encore plus sur l'accélérateur mais même dominateurs les toulousains qui ont encore mis Leca à contribution, n'ont pas réussi à désarçonner le SCB.
Le Sporting
On lui avait demandé de faire face à l'adversité. Et au sort qui s'acharne sur lui et à celui que lui fait subir le corps arbitral. Samedi soir il a fait mieux que cela. Il a démarré le match pied au plancher avec le seul but de vaincre afin que ce mois de Septembre ne soit pas totalement noir ! Mission accomplie donc et au-delà de toutes espérances. Pourtant sans vouloir à tout prix faire la fine bouche, on aura remarqué cette période qui entre le premier et le deuxième but bastiais fut totalement toulousaine. Les visiteurs certes ne surent pas en tirer profit et Leca fit des prodiges, mais durant cette longue demi-heure Furiani est passé par tous les états d'âme avant de pousser un bon soupir de soulagement au terme du doublé de Squillaci
L'adversaire
Dominique Arribagé ne doit sans doute plus savoir à quel bon Dieu du football se vouer. Samedi à Furiani son équipe qui, c'est vrai, n'a pas été aidée par Goicoechea, s'est pourtant créée mille et une occasions. Brathwaite, Ben Yedder et Akpa Akpro ont eu, plus souvent qu'à leur tour la possibilité de faire trembler, dans le jeu, les filets de Leca mais paradoxalement ce sont eux qui se sont retrouvés sèchement menés à la marque 3 à 0. Mais même si Leca a fait des prodiges durant toute la soirée cela ne saurait expliquer les carences offensives d'un ensemble qui sait se créer des opportunités sans parvenir, pour autant, à les concrétiser.
Le bilan
La chute qui semblait inexorable vers le bas du tableau est, enfin, interrompue. Ces trois points vont, c'est évident, faire le plus grand bien au Sporting qui en avait bien besoin. Il n'a pas vraiment convaincu : Et alors ?
Ce n'est pas parce que le Sporting traverse une mauvaise passe que Furiani l'a abandonné. Bien au contraire. Certes Armand-Cesari était un peu moins garni qu'à l'accoutumé - quatre défaites consécutives ça peut, en effet, freiner les ardeurs - mais l'amour du bleu et de ce maillot atténue toutes les déceptions. En tout cas il ne sera jamais de nature à détourner le public de Furiani de son équipe.
Le match
Dans la situation où il était le Sporting ne pouvait pas se contenter de subir les événements. Il lui fallait les provoquer. Et il l'a très bien fait en entrant dans ce match le mors aux dents. Et en moins de temps qu'il ne faut presque pour l'écrire, il s'est retrouvé à la tête d'un capital d'un but, fruit de l'investissement idéal de Brandao et surtout Plamieri qui se retrouva à point nommé pour reprendre de la tête le ballon renvoyé par la transversale de Goiecoechea sur la la première tentative du Brésilien.
Cela ne pouvait mieux démarrer pour les joueurs de Ghislain Printant qui n'avaient pas attendu que tous les spectateurs de Furiani aient regagné leurs places pour, enfin, retrouver le chemin des filets.
Mais les retardataires en eurent, aussi, pour leur argent.
Et devinez qui fit le spectacle qui permit au SCB d'atteindre la pause avec un confortable 3 à 0 ?
Sébastien Squillaci. Sa tête plutôt. Celle qu'il plaça à deux reprises sur deux coups de pied arrêtés.
La première fois sur ce coup-franc que Goicoechea fut incapable de maîtriser. "Toto", bien placé, frappa une première pour le plus grand bonheur de Furiani.
"Toto", la tête du Sporting "remit ça" un peu avant la pause. Un peu comme à l'entraînement en étant oublié par tout le Toulouse FC au second poteau à la suite d'un corner frappé par Diallo.
Et cela faisait 3 à 0 à la pause.
Mais on doit à la vérité de dire que cela était plutôt bien payé par le Sporting qui doit une sacré et fière chandelle à Jean-Louis Leca, décisif à deux ou trois reprises, tenant ainsi la "baraque" d'un Sporting qui connut un long et sérieux passage à vide avant que Squillaci ne lui donne de l'air en deux temps, trois mouvements.
Bizarre le foot quand même...
Mais on ne va pas s'en plaindre, non !
D'autant qu'à la reprise le TFC, sans doute vexé appuya encore plus sur l'accélérateur mais même dominateurs les toulousains qui ont encore mis Leca à contribution, n'ont pas réussi à désarçonner le SCB.
Le Sporting
On lui avait demandé de faire face à l'adversité. Et au sort qui s'acharne sur lui et à celui que lui fait subir le corps arbitral. Samedi soir il a fait mieux que cela. Il a démarré le match pied au plancher avec le seul but de vaincre afin que ce mois de Septembre ne soit pas totalement noir ! Mission accomplie donc et au-delà de toutes espérances. Pourtant sans vouloir à tout prix faire la fine bouche, on aura remarqué cette période qui entre le premier et le deuxième but bastiais fut totalement toulousaine. Les visiteurs certes ne surent pas en tirer profit et Leca fit des prodiges, mais durant cette longue demi-heure Furiani est passé par tous les états d'âme avant de pousser un bon soupir de soulagement au terme du doublé de Squillaci
L'adversaire
Dominique Arribagé ne doit sans doute plus savoir à quel bon Dieu du football se vouer. Samedi à Furiani son équipe qui, c'est vrai, n'a pas été aidée par Goicoechea, s'est pourtant créée mille et une occasions. Brathwaite, Ben Yedder et Akpa Akpro ont eu, plus souvent qu'à leur tour la possibilité de faire trembler, dans le jeu, les filets de Leca mais paradoxalement ce sont eux qui se sont retrouvés sèchement menés à la marque 3 à 0. Mais même si Leca a fait des prodiges durant toute la soirée cela ne saurait expliquer les carences offensives d'un ensemble qui sait se créer des opportunités sans parvenir, pour autant, à les concrétiser.
Le bilan
La chute qui semblait inexorable vers le bas du tableau est, enfin, interrompue. Ces trois points vont, c'est évident, faire le plus grand bien au Sporting qui en avait bien besoin. Il n'a pas vraiment convaincu : Et alors ?
La fiche technique
A Furiani, Sporting : 3 Toulouse : 0 (3-0)
Buts pour le Sporting : Palmieri (8e), Squillaci (32e, 43e)
Arbitre : M. Ben El Hadj
Avertissements : Cahuzac (2e), Mostefa (38e) au SCB; Regattin (2e), Blin (60e) à Toulouse
Spectateurs : 10 658
Sporting
Leca, Cahuzac puis Cioni (81e), Squillaci, Peybernes, Marange, Fofana, Mostefa puis Maboulou (77e), Diallo puis Coulibaly (64e), Danic, Brandao (Hansen, Modesto, Cioni, Houri, Raspentino)
Toulouse
Goicoechea, Kana Biyik, Akpa Akpro, Spajic, Tisserand,Doumbia, Regattin puis Pesic (66e) Bodiger, Blin, Braithwaite, Ben Ydder puis Benali(77e), (Ahamada, Spano, Amian Adou, Didot, Cafaro, Pesic, Benali)
Buts pour le Sporting : Palmieri (8e), Squillaci (32e, 43e)
Arbitre : M. Ben El Hadj
Avertissements : Cahuzac (2e), Mostefa (38e) au SCB; Regattin (2e), Blin (60e) à Toulouse
Spectateurs : 10 658
Sporting
Leca, Cahuzac puis Cioni (81e), Squillaci, Peybernes, Marange, Fofana, Mostefa puis Maboulou (77e), Diallo puis Coulibaly (64e), Danic, Brandao (Hansen, Modesto, Cioni, Houri, Raspentino)
Toulouse
Goicoechea, Kana Biyik, Akpa Akpro, Spajic, Tisserand,Doumbia, Regattin puis Pesic (66e) Bodiger, Blin, Braithwaite, Ben Ydder puis Benali(77e), (Ahamada, Spano, Amian Adou, Didot, Cafaro, Pesic, Benali)