Le salut qu'il y a quelques semaines encore étaient loin d'être acquis est désormais en vue. Une série de quatre matches sans défaites - trois victoires consécutives et un nul - ont suffi à ramener le Sporting dans des eaux plus calmes et ainsi à lui permettre d'envisager une fin de saison bien meilleure que celle que certains lui prédisaient, encore, il y a quelques semaines.
Dans un championnat où tout peut basculer dans un sens ou dans l'autre - le SCB est à 7 points de la… Ligue des Champions et compte 9 points de mieux que le premier relégable - rien ne devrait empêcher désormais l'équipe de Ciccolini de regarder bien plus vers le haut que dans son rétroviseur.
Mais le successeur de Ghislain Printant, qui ne se gargarise guère de mots, sait aussi qu'il n'y a rien jamais d'acquis et qu'il faut dans une compétition où tout le monde se vaut battre le fer en permanence, surtout quand il est chaud.
Battre le fer il faudra le faire une fois de plus ce mercredi en fin d'après-midi face à Nantes qui meurtri par son élimination en coupe de France face à Sochaux puis par sa déroute (4-1) dans le derby breton face à Rennes viendra sans doute à Furiani se refaire une santé.
Dès lors pour parvenir à ses fins le Sporting devra entendre les bons conseils de son entraîneur qui lors de la conférence de presse d'avant-match a demandé à ses joueurs de produire du jeu, ce qu'il est parvenu à faire face à Lorient sans pour autant réussir à emprunter la voie de l'efficacité.
C'est un peu le même discours que tenait Alexander Djiku en lançant "il faut que cela continue".
Sii le temps le permet, Furiani, qui nourrit les beaux mêmes rêves, ravivés par le musée virtuel du foot qui se met en place en ce moment au musée de Bastia, va lui aussi adhérer à ses bonnes intentions.
Dès lors si tout le monde pousse dans le même sens, Gillet et Nantes pourraient connaître leur troisième mésaventure consécutive de la semaine.
Dans un championnat où tout peut basculer dans un sens ou dans l'autre - le SCB est à 7 points de la… Ligue des Champions et compte 9 points de mieux que le premier relégable - rien ne devrait empêcher désormais l'équipe de Ciccolini de regarder bien plus vers le haut que dans son rétroviseur.
Mais le successeur de Ghislain Printant, qui ne se gargarise guère de mots, sait aussi qu'il n'y a rien jamais d'acquis et qu'il faut dans une compétition où tout le monde se vaut battre le fer en permanence, surtout quand il est chaud.
Battre le fer il faudra le faire une fois de plus ce mercredi en fin d'après-midi face à Nantes qui meurtri par son élimination en coupe de France face à Sochaux puis par sa déroute (4-1) dans le derby breton face à Rennes viendra sans doute à Furiani se refaire une santé.
Dès lors pour parvenir à ses fins le Sporting devra entendre les bons conseils de son entraîneur qui lors de la conférence de presse d'avant-match a demandé à ses joueurs de produire du jeu, ce qu'il est parvenu à faire face à Lorient sans pour autant réussir à emprunter la voie de l'efficacité.
C'est un peu le même discours que tenait Alexander Djiku en lançant "il faut que cela continue".
Sii le temps le permet, Furiani, qui nourrit les beaux mêmes rêves, ravivés par le musée virtuel du foot qui se met en place en ce moment au musée de Bastia, va lui aussi adhérer à ses bonnes intentions.
Dès lors si tout le monde pousse dans le même sens, Gillet et Nantes pourraient connaître leur troisième mésaventure consécutive de la semaine.